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 Elle est à moi. [PV le voleur de robes!]

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MessageSujet: Elle est à moi. [PV le voleur de robes!]   Elle est à moi. [PV le voleur de robes!] EmptyLun 31 Aoû - 22:01

Elle est pour moi !

CRAAAAAAK.

La jeune femme sursauta. Elle qui dormait tellement bien. Bien dans sa tartine de Nutella. En effet, la jeune femme qui était rentrée dans sa résidence était très fatiguée et s’était à nouveau endormi tout en mangeant son petit-déjeuner. Quelle BAKA ! Elle se frotta les yeux et aperçut, enfin qu’elle avait du Nutella partout. Elle courut vers les lavabos, se lava le visage et râlant. Elle venait de se réveiller à cause d’un bruit étrange, non ? Seulement avec la mémoire de poisson de la jeune demoiselle, elle ne se rappelait même plus de ce bruit jusqu’à ce qu’elle sente une odeur de brulé. Qu’avait-elle encore fait ? Elle alla le plus vite possible dans sa cuisine et remarqua que son microonde fumait. Eh merde, elle avait du se faire du lait et avait oublié de l’éteindre. Eriko ne voulait pas risquer de se brûler les doigts ou de faire sauter la maison. Elle prit donc un sceau, le remplit d’eau et PSCHOU, l’envoya en plein sur le microonde qui arrêta immédiatement de fumer.

Après ces forts événements, la jeune femme alla prendre sa douche, se coiffa, se maquilla et s’habilla. Pour aller où ? FAIRE DU SHOPPING PARDIS ! En effet, une fois par semaine, la jeune femme allait faire les boutiques. Eriko se sent réellement bien en essayant des nouveaux habits. Dans que genre de magasins ? Ha ha. Pas n’importe les quels ! De grandes marques où le prix n’est pas petit. Autant en profiter puisqu’elle en a les moyens ! Eh oui, c’est bien d’être la petite fille du directeur de cette école ! Eriko enfila ses bottes d’été à talon et sortit de chez elle en prenant bien soin de fermer à clé. Manquerait plus qu’elle se fasse cambrioler !

Une fois dans la rue des boutiques, un grand sourire s’afficha sur les lèvres de la jeune femme et elle commença à marcher fièrement vers un magasin. Elle essaya des tonnes d’habits, de robes, de chaussures mais pas tout lui plaisait alors elle n’acheta que quelques articles. A nouveau dehors, elle vit un nouveau magasin féminin. La semaine dernière, elle ne l’avait pas vu. Nouveau magasin veut dire nouvelle choses à acheter ! La jeune femme pressa le pas pour rentrer dans la boutique où tout, absolument tout est magnifique. La salle était moderne, bien rangé et il y avait des tonnes d’habits absolument magnifique. Eriko marcha dans l’allée centrale et sn regard se posa directement sur une robe rouge à bretelle, un rouge parfait et sexy. Quoi rêver de mieux ? La jeune femme l’arracha de sa place et courut dans une cabine d’essayage. Elle l’essaya. Parfaite ? Non, elle était un peu trop grande. Eriko l’enleva, se rhabilla et se dirigea là où elle venait de trouver cette robe, la reposa et au moment où elle prit la taille en-dessous, une autre main la prit aussi.

« Hééé ! Je l’avais en première ».

E riko regarda la personne qui venait de lui voler la plus belle robe du monde. Un regard assassin se blottit sur le visage de la jeune femme et elle l’arracha aux mains de l’homme. Qu’est-ce qu’un homme faisait dans une boutique pour femme ? Rha la la. Les hommes sont fous.
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MessageSujet: Re: Elle est à moi. [PV le voleur de robes!]   Elle est à moi. [PV le voleur de robes!] EmptyDim 6 Sep - 18:08

    Depuis quand on lui posait des lapins ? En plus, c'était Neji quoi ! Depuis quand il loupait des sorties entre amis, surtout lorsqu'il était question de foutre la merde dans les boutiques. Comme d'habitude. Emmerder les petites naines frappa dingues qui dépensent tous leurs argents dans les vêtements. N'importe quoi... ~ Voilà maintenant qu'ils se retrouvait tout seul à se balader en ville, on ne pouvait même pas parler de balade vu que notre nippon martelait le sol comme un fou enragé. Il en avait marre. Marre de tout, marre de tout le monde, marre surtout de son père qui était sûrement déjà partis à sa recherche en le sachant une fois de plus dehors. S'il avait envi de passer sa vie dans la rue, c'était son problème. Vivement qu'il soit à l'université. Il en avait marre de Sakurai, marre des contraintes. Enfin bon, le principal, c'est qu'il avait peut être des idées pour ne pas s'ennuyer. Il pouvait très bien se mettre à suivre un ou une débile, et l'embêter un tout petit peu ? Les heures défileraient alors, et finalement, il tomberait sur un autre de ses amis. Il lâcherait enfin sa proie comme si de rien était puis profiterait réellement de l'après-midi... Akiyo poussa un profond soupire. Il s'installa contre la vitrine d'un magasin, quelques minutes plus tard, le commerçant vint gueuler qu'il n'avait pas le droit de se mettre devant la vitrine.

    " Y-a personne qui la lit ta vitrine de merde... "

    Les mots du jeune homme ne semblèrent pas choquer le vendeur qui le regarda seulement s'éloigner. Il s'était peut être déjà fait remballer plus d'une fois avec ce genre de propos. Pas étonnant, l'avant de sa vitrine était un peu plus confortable que les autres. Les mains dans les poches, le regard dans le vague, le jeune homme finit par trouver quelqu'un. Il y avait une fille non loin de lui, en train d'examiner simplement une vitrine avec envi. D'après son accoutrement et les vêtements qu'elle portait, elle semblait être très riche. D'ailleurs, sa tête lui disait vaguement quelque chose. Mais après, s'il l'avait connu directement cette mignonne petite bouille, sans aucun doute qu'il aurait retrouver le nom et le prénom en quelques secondes à peine. Sans oublier qu'elle avait la tête d'une naïve et stupide en puissance, rien de mieux pour en faire sa victime. Le jeune homme plissa le front, puis se mit à la suivre. Il avait trouvé son futur jouet, du moins, son jouet d'une heure ou deux. Après seulement, il prendrait le temps de rentrer chez Monsieur le Père mécontent. Il lui expliquerait simplement qu'il avait eu besoin de prendre l'air parce que les examens approchaient. Excuse bidon qui à l'art de bien marché avec n'importe quel parent, sauf pour Akiyo bien entendu... La remarque de son géniteur serait du genre : " Tu te fous de moi ? Depuis quand tu as pris en main tes études ? " " C'est vrai. Tu es con mais quand même perspicace le vieux... " L'amour d'un fils envers son père, ça se mérite...

    Akiyo s'ennuyait déjà à en mourir. La gamine ne faisait que passer devant les vitrines. Pourtant, on voyait dans ses yeux qu'elle avait réellement envi d'acheter ça et ça... Pourquoi elle ne rentrait pas dans ce fichu magasin pour s'acheter un habit ? Il lui suffirait alors de lui arracher le vêtement des mains pour l'acheter et le jeter dans une poubelle ensuite. Juste pour le plaisir d'ennuyer la gamine. Finalement, c'est dans un magasin haute couture qu'elle fit son entrée. Dit haute couture dit, limite de stock. En gros, il n'y avait pas tellement de double. Plus il contemplait la jeune, plus il se souvenait d'une photographie, où elle faisait beaucoup plus jeune... Sakurai... AH ! LA FILLE DU DIRLO ! Okay ! C'est pour ça qu'il avait eu l'impression de la connaître, elle faisait quand même partie des GG, et ... Tiens, c'était un bon point d'être tomber sur elle. Mais, il se demandait comment la demoiselle faisait pour ne pas se retrouver avec ses amis... Pourtant, Eriko avait l'art d'être bien entouré d'habitude...

    Et vas-y que je rentre dans une cabine avec une magnifique robe... Akiyo repéra rapidement la robe, et quelques minutes plus tard, il vit Eriko sortir de la dite cabine pour aller droit sur lui. Tiens, la robe ne lui allait pas ? Aller... Pioche juste... Taille en dessous ? Ou taille au dessus ? Il aurait été tenté de dire au dessus... Juste pour le plaisir. Mais attrapa la taille en dessous... Visant, parfaitement juste...

    " Tu plaisantes quand même ? J'ai posé mes yeux avant toi sur cette robe. Et puis, tu dois avoir des tonnes d'habits dans ton armoire, pourquoi ne pas te priver de celle-ci. Ca va mieux à un top modèle comme ma petite amie, qu'à un boudin tu sais... "

    Merci quiiiiii ?
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MessageSujet: Re: Elle est à moi. [PV le voleur de robes!]   Elle est à moi. [PV le voleur de robes!] EmptyMer 16 Sep - 18:17

Passer sa journée à faire les boutiques ! N’est-ce-pas un délice ? Etre en extase rien qu’en voyant une robe parfaitement rouge…Une robe avec de jolies petites bretelles, un peu froufrou à la fin. Miam. N’importe qu’elle fille aurait craqué pour le tissu, la forme, la couleur. En plus, il y avait deux colories ! Rouge & noir. Rha la la. Tout simplement, MAGNIFIQUE ! On en mangerait presque. Regarder la robe comme si on allait la dévorer. La prendre délicatement et courir le plus vite possible vers une cabine. Se déshabiller sans faire attention à ses habits, les jetant presque à terre. Tout ce qui importe est…La robe, la MAGNIFIQUE robe rouge. Rentrer avec délicatesse dans le tissu. Sentir le tissu sur sa peau, se contempler mais remarquer un petit défaut. La robe qui baille un peu au niveau des hanches et des fesses. Pousser un soupir, se rhabiller pour recourir vers l’endroit où reposent les belles robes. Regarder tout ce qu’il y a et prendre la dernière taille en dessous. Un homme qui arrive et qui prend en même temps la robe. Non mais. C’est un habit de fille. Qu’est-ce qu’il fou avec ? Se sentir trahie par la robe. N’était-elle pas faite pour Eriko Sakurai ? Mais si, si, si alors pourquoi un monstre la tenait-il entre ses doigts ?! Il venait de lui prendre son futur bébé (un peu excessif xD) . Puis, l’arracher des mains de l’homme pour dire qu’elle l’avait en première. Ahh. Ca y est, elle est nouveau à la petite Eri.

« Non, je ne plaisante pas ! »

Parler très vite, sans le laisser continuer sa phrase. Quand une dispute parle…D’habits, il n’est pas question de plaisanter. Cette robe , elle allait pouvoir la mettre en été puisqu’elle est légère mais aussi en automne, avec des collants noirs, un gilet et une écharpe. N’est-ce-pas magnifique ? Non, là-dessus, Eriko ne peut pas plaisanter. Eriko tira une tête très sérieuse.
L’inconnu continua ensuite de parler. Non, elle l’avait vu avant, elle avait même essayé la taille au dessus. Oui, elle a des tonnes d’habits dans on armoire, et alors ? Se priver de celle-ci ? Jamais de la vie ! Elle était trop parfaite pour la laisser à un homme qui vient de la traiter de boudin. Eriko sentit ses joues s’empourpre de rouge puisqu’elle était en colère. Comment osait-il lui dire « boudin ». Elle qui est si fine, tout le monde lui dit et là, un homme gros et moche (Ok..Pas trop) lui dit le contraire. Le regarder avec mépris en réfléchissant. Que pouvait-elle lui répondre ? Il fallait qu’elle fasse vite…Sion, une merveille allait disparaître de la terre !

« Je suis un boudin, hein ? C’est cette taille qui me va. Si ta copine fait cette taille alors, elle aussi est un boudin. »

Non, ce qu’elle venait de lui dire n’était pas assez provoquant, il fallait qu’elle trouve quelque chose qui blesse non pas sa copine mais lui-même. Pas de petit air de victoire sur le visage d’Eriko puisqu’elle n’en avait pas fini avec ce crétin ! La tête du jeune homme lui disait quelque chose. Elle l’avait déjà vu, à Sakurai ? Surement ! Seulement, s’il était à Sakurai…Il saurait qu’elle fait partie des Golden Girls et que les Golden Girls on les embête pas sinon Aie, aie, aie. Ce petit crétin cherchait des ennuis !

« D’ailleurs, elle t’a payé combien pour que tu sois avec elle ? »

Un petit sourire d’afficha sur les lèvres de la jeune femme. Un petit air de victoire sur ses lèvres. Venait-elle de gagner ? Elle l’espérait mais elle avait tout de même un adversaire redoutable alors quoi faire dans ce genre de moment ? tout simplement, FUIR ! En effet, la jeune femme prit la robe et se dirigea en courant vers la caisse. Pourvu que leur chamaillerie s’arrête maintenant. Eriko souhaitait cette robe plus que tout tandis que l’inconnu voulait lui aussi quelque chose plus que tout…
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MessageSujet: Re: Elle est à moi. [PV le voleur de robes!]   Elle est à moi. [PV le voleur de robes!] EmptyDim 18 Oct - 16:12

    C'était son jour de chance ! La fille du directeur de Sakurai ! Toute seule ! C'est vrai qu'elle était sacrement jolie. Mais c'était pas trop son genre, elle n'avait pas le visage assez mature, et elle ressemblait trop à un gosse de 10 ans. Akiyo esquissa un petit sourire lorsqu'il attrapa la même robe que la nipponne. Apparemment, elle prit cela pour une guerre ouverte. Et, elle tenait sérieusement à avoir la robe. Après, il était fort probable qu'elle se pose de nombreuses questions sur le jeune homme en face de lui. Bah, il était tout à fait possible qu'un homme aille dans un magasin de filles (surtout si c'est des robes, si l'homme se retrouve dans un magasin de sous vêtement : c'est un pervers) pour offrir une robe à sa copine. Mais bon, les garçons ne savaient toujours pas la taille exacte des vêtements de leur petite amie. Et là, maintenant, tout de suite, Akiyo n'avait pas de petite amie. Donc bon... Il allait s'en inventer une imaginaire, même s'il voyait très bien Miyuki dans cette jolie robe rouge. Remarque, la belle avait peut être une taille encore au dessus. La honte s'il lui achetait une robe trop large pour elle... Cela pouvait être plus vexant que s'il lui achetait une robe un peu trop serrer. TT___TT Alors, il allait tout simplement improviser comme toujours.

    Eriko était une lionne dit donc ! Et en plus, elle avait un sacré répondant. Tant mieux, il allait pouvoir jouer avec qu'elle quelques minutes. Elle allait avaler de la poussière la petite.

    Pour clore la conversation, il avait déjà une petite idée derrière la tête. Mais pour le moment, il avait bien l'intention de la faire tourner en bourrique. Un petit sourire en coin étira son visage lorsqu'elle insulta sa copine imaginaire. En fin de compte, la nipponne ne savait franchement pas quoi lui dire. Eriko n'avait pas l'air franchement vexé : c'était le désavantage de se retrouver devant une nana qui avait de l'assurance. Mais, tout de même, elle n'avait pas l'air ravis de l'insulte qu'il venait de lui envoyer dans la figure.

    " Pathétique. N'essaye pas de tourner ma propre phrase en ta faveur, ça sonne beaucoup moins bien dans ta bouche. Et puis, justement, tu rentreras pas dans cette robe. La taille au dessus doit bien t'aller, c'est juste que tu veux te croire fine... "

    À ce rythme là, ils allaient déchirer la robe. C'était pas très intelligent, parce que c'est la jeune fille qui devra se charger de payer la robe déchirer. Pour la simple et bonne raison qu'Akiyo aurait déjà disparu du magasin. Mais ce serait fort dommage, le plaisir ne serait plus là, et son bouc-émissaire du moment ne râlerait pas assez longtemps. Est-ce que la demoiselle avait compris qu'il était en train de jouer avec elle ? Fort peu probable, il faudrait que la demoiselle lise dans les pensées. Hors, on ne voyait cette capacité que dans les films.

    Allez, il fallait qu'elle s'énerve. Par contre, il sentait bien venir la gifle un peu plus tard. Là, maintenant, tout de suite, elle n'était pas encore assez énervée la jolie nipponne. Il fallait d'abord qu'elle ait des envies de meurtres, et ensuite qu'elle passe à l'acte. Qui n'avait pas envi de le tuer ?

    " Lâche cette robe... " Dit-il avant qu'elle lui pose une autre question. Question qui lui resta en travers de la gorge. Ouille. Mauvais ça. Elle le cherchait bien. Et elle allait bien le trouver. Déjà, la personne qui devrait se faire payer, c'était pas lui, mais elle. Non... Non. Calme toi, elle était en train de réussir à l'énerver. Ce qui était en soi remarquable, mais il ne devait en aucun cas laisser la colérimètre exploser. Surtout pour si peu quoi ! Quand il avait des petites amies, c'était elle qui venait. Toujours. On a la classe ou on l'a pas. Et Eriko était célibataire depuis longtemps sûrement.

    " T'es vraiment stupide hein ? C'est toi qui devrait te faire payer pour qu'on te mette une ceinture de chasteté... "

    Aie...

    Non, il ne venait pas de l'insulter... Il renvoyait juste la balle hein ?

    C'était bien la première fois qu'il disait un truc aussi méchant... Mais, la pauvre Eriko l'y avait forcé. Elle était bien mignonne, bien gentille, mais maintenant il allait l'avoir cette robe...
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