Nanae Komusaki [Fiche Terminée]

I - Carte d'Identité

Nom : Komusaki
Prénom : Nanae
Âge : 17 ans
Profession : Etudiante
Groupe : 2ème année
Avatar : Aya Kamiki
Post Vacant : Non

II - Description

Physique : [10 lignes minimum]

Une Kogal (1) ? Et puis quoi encore ! T’as quelque chose contre les peaux mates ?! C’est juste un style, voilà tout ! Un peu débraillé et plus excentrique que soft, j’en conviens, mais ça me plaît ! Des bas résilles, des mini jupes, des bottes en cuir mais aussi des jeans délavés, troués, des chaussures beaucoup trop grandes, des chaînes, une couleur de cheveux aussi très changeante…J’crois qu’on a fait le tour ! J’allais oublier mes ongles, eux aussi souvent différents, multicolores et en totale inadéquation avec mes autres affaires. J’fais un peu tâche dans le paysage de ces bon chis bon genres et si ça dérange quelqu’un…et ben ça le dérange, que voulez-vous ? Il faut de tout pour faire un monde ! ^^ J’suis pas une grande fan du shopping et j’peux très bien me créer mes propres vêtements, histoire de bien prouver que je ne fais pas partie de ces consommateurs médiocres, accros au téléachat ! La récup’ est mon amie !!! En plus de ça, j’suis écolo…Un ange quoi ! Je déchire, découpe, colle, rafistole, avec deux – trois trucs que plus personne ne porte et hop ! Me voilà une veste toute neuve et unique ! Si ça c’est pas de l’art !!! Bien sûr que j’aimerais porter des robes, devenir une petite princesse comme ces autres filles riches mais chuuuut ! C’est un secret que je ne dévoilerai jamais à personne alors…ça reste entre nous, promis ?

Caractère : [15 lignes minimum]

Un caractère de cochon ? Piggy Girl ! Mouahahahaha ^^ Soyons sérieux une minute : je suis une teigne, chieuse comme pas permis qui déteste se mêler à la populasse. J’ai mes coups de gueule et je ne mâche pas mes mots, même si je peux me transformer en une adorable peluche sans autre activité que de battre des cils. Je ne suis pas quelqu’un de renfermé, c’est juste que j’ai besoin d’espace et être avec une même bande d’amis, tout le temps, c’est impossible pour moi. J’ai toujours l’impression qu’on me juge, parce que je suis différente alors je n’accepte pas la critique et je me méfie facilement. J’ai aussi mes petites surprises, mes bégins, mes coups de cœur pour certaines personnes qui ont réussi à percer ma coquille pas si épaisse en réalité. Je ne demande qu’un peu d’attention…rien d’autre ! Bon d’accord, j’suis lunatique, usant trop souvent d’ascenseurs émotifs, au grand dam de connaissances qui n’arrivent pas à me suivre. J’ai des rêves, pleins en fait, que je ne partage qu’avec moi-même. Je sépare toujours ma vie au Sakurai Gakuen de celle à l’extérieur, bien que je sois la même personne. Question d’habitude et de principe à la noix. J’aime les choses simples : les glaces, l’odeur de l’herbe coupée, l’encens, le bruit du vent dans les feuilles, les feux d’artifices, ma guitare, une paire de pompes qui ont fait la guerre et dont je ne me séparerai jamais, un bout de papier froissé avec deux noms inscrits dessus…Mélancolique parfois, souriante de temps à autre, je me cherche encore beaucoup. Je ne mords pas et ne réplique pas toujours méchamment, sauf si ta tête ne me revient pas ou si je me suis levée du pied gauche - une fois sur deux, soi dit en passant ^^ -. Je suis facile à corrompre, malheureusement pour moi T.T Il suffit de me proposer un troc ou une promesse toute bête pour que je m’emballe et voilà ! Mais attention, pas de fourberies avec la bête du Gévaudan réincarnée ! Une seule entourloupe et je suis accrochée à ta jambe pour le restant de ta vie ! Réfléchissez, votez et éliminez le maillon faible qui est en vous ! >> hors sujet mais j’aime tellement Laurence Boccolini ! *O*

Histoire : [20 lignes minimum]

Do…shite ?

Pourquoi on ne me laisse pas sortir ? Quelque chose cloche ? Kasan ne sent-elle pas mes coups de pieds ? J’ai beau me débattre, bouger en tous sens, c’est comme si personne ne prêtait attention à moi ! Au secours ! J’étouffe là-dedans ! Laissez-moi sortir !!!

Avant même ma naissance, c’en était ainsi. Hurler, brailler, faire conneries sur conneries en espérant qu’on me remarque, j’avais tout essayé, tout tenté, pour que le regard de mes parents ne se pose sur moi rien qu’une minute. Enfant non désiré, illégitime de surcroît, n’importe quel médium ou gourou aurait pu vous dire que je finirais par faire la manche dans le métro, une guitare et deux chiens pour seuls bagages. Chaque personne peut commettre des erreurs : celle de mes parents, c’était moi. 52 centimètres à se trimballer à droite à gauche, 4.5 kg de soucis supplémentaires, sans compter les nuits sans sommeil, les maladies respiratoires et autres problèmes dans le genre - je passe le chapitre sur les couches et le lait en poudre -. Enfin voilà, tout ça pour dire que je me suis retrouvée à l’âge de 16 jours dans un sanctuaire de Kyoto, laissée pour compte à des moines qui n’avaient rien d’autre à m’offrir qu’un toit, de la nourriture et des prières. Est-ce que je devais faire la fine bouche ? Non ! J’ai passé une bonne partie de mon enfance à apprendre l’introspection, même si je n’avais pas vraiment idée de ce en quoi cela consistait véritablement. La plupart du temps, je me contentais de les imiter : le silence était d’or et je ne comprenais plus que je ne m’exprimais réellement. Ils m’ont pris sous leur aile un temps, jusqu’à ce que je sois assez grande pour regagner un foyer, non loin de là.

Mes "amis", mes amours (???), mes emmerdes…

" Komusaki !!! KOMUSAKI !!! Reviens ici immédiatement ! Komu… "

Je savais pertinemment qu’elle avait des rhumatismes ! Ooouuuu la vilaine fille ! Tirer profit des faiblesses des autres, j’adorais ça ! Du haut de mes 13 ans, j’étais le leader de la bande de voyous ! Un vrai p’tit singe, capable de cavaler n’importe où, de réaliser n’importe quoi, du moment que j’inspirais le respect. Bien sûr, je n’étais pas la plus âgée, mais certainement la plus futée et la plus "cap", d’où l’admiration de certains pour ma petite personne. Au foyer, tout le monde me connaissait pour être "celle-qui-était-passée-chez-le-Directeur-plus-d’une-centaine-de-fois". Mes supercheries allaient du vol au passage à tabac, sans oublier les contrebandes de substances dites illicites par nos supérieurs. A dire vrai, cette vie-là ne me suffisait plus. J’avais envie de voir le monde, de m’évader, de ne rendre de comptes à personne. Mais c’était trop tôt, beaucoup trop tôt, et je n’avais pas encore retrouvé ceux qu’on appelle communément « parents ». Rien, pas même une fois, je n’avais tenté quoique ce soit pour demander qui ils étaient ou encore pourquoi ils m’avaient abandonnée. C’est Die qui m’a forcée. Lui et ses rêves anodins et trop accessibles. Lui et ses envies stupides. Tout est de sa faute. Il est le seul pour qui je n’ai pas de caprices…ou fait semblant d’en avoir pour ne pas que les autres comprennent qu’il est particulier pour moi. Il est muet comme une tombe et cache ses yeux derrière une frange beaucoup trop grande aux goûts de certains. Moi, je la trouve superbe, cette frange…Le jour de mes 15 ans, il a saisi ma main, émettant une légère pression sans me regarder. J’avais des étincelles qui partaient de cette main pour parcourir tout mon être, jusqu’à faire éclater un immense feu d’artifices dans mon cœur. Il m’a tendue un bout de papier froissé où je pouvais reconnaître son écriture penchée maladroite entre mille. Deux noms, deux adresses. Je ne savais que trop bien ce que cela pouvait signifier et avant de pouvoir répliquer quoique ce soit, il avait disparu.

Identity

- C’est pourquoi ?
- Bonjour Monsieur, excusez-moi de vous déranger, je travaille pour la société MACROPO…
- J’ai déjà donné…

Il tente de refermer la porte sans s’apercevoir que mon pied la coince. Il frappe violemment une fois, deux fois et essaye une troisième avant que je ne force l’entrée. Je le pousse à l’intérieur, le faisait voltiger au sol et n’écoute pas ses braillements. Je veux savoir. Je veux tout voir. Tout découvrir. Un portrait de famille accroché dans l’entrée, une maison bien tenue, la chambre des enfants…leurs jouets…mes jouets. Je ravale mes larmes et hurle de rage, fracassant quelques objets pour déferler ma haine envers ce père indigne qui décroche le téléphone pour appeler la police. Je le lui arrache des mains avant de crier son nom. Mon nom. Il écarquille les yeux, feint de ne pas me connaître. Je le soulève par le col, l’obligeant à se redresser. Il n’est pas beaucoup plus grand que moi et se trouve plus secoué encore pour se débattre. Il acquiesce et détourne le regard. Il sort un chéquier de son portefeuille, m’expliquant qu’il peut me donner de l’argent, beaucoup d’argent, si je consens à l’oublier. Un discours attendu et copier-coller. J’éclate de rire et annonce une somme pharamineuse. Il déglutit et me remplit le chèque de suite avant de me claquer la porte au nez. Quelles heureuses retrouvailles ! J’ai appris par la suite que ma mère avait quitté le pays deux ans après ma naissance. Elle n’avait plus rien qui l’obligeait à rester ici. Maintenant, c’était à mon tour de tout plaquer.

Nouveau Depart

Parce qu’on a qu’une vie beaucoup trop courte pour la laisser nous filer entre les doigts, j’ai choisi de m’envoler pour Tokyo. Die n’a pas voulu m’accompagner, je l’ai traité de lâche et nos adieux se sont mal passés. Je ne pouvais plus attendre. Tokyo allait me donner un nouveau souffle…et je n’avais même pas idée à quel point ! Je me suis rapidement acclimatée j’ai découvert une réelle passion pour la musique. Etrangement, je me sentais à l’aise et selon des dires, j’avais même du talent. J’ai joué dans quelques bandes, histoire de me faire des connaissances, avant de bouger de bar en bar, essayant d’en apprendre plus. Apprendre ? Je devais être au lycée là…Depuis combien de temps je n’avais pas ouvert un cahier d’exercices ? Encore une envie stupide, mais pourquoi pas ? C’est comme ça que je me suis retrouvée le nez plongé dans les bouquins, découvrant des tas de trucs, réussissant plusieurs formules de calculs assez compliquées et hop ! Me voilà à passer les concours d’entrée au Sakurai Gakuen ! C’est pas extra ? Hier, je n’étais personne et aujourd’hui…ben…j’suis toujours personne, mais en mieux, neee ?! ^^ Oh ! Les Golden ? J’en ai entendu parlé mais je ne sais pas exactement qui ils sont…enfin si ! Mais je n’ai jamais eu l’occasion de leur parler et puis, n’ont-ils pas terminé leurs examens ? Je ne sais pas trop ce que me réserve l’avenir mais ce qui est sûr, c’est que ma nouvelle vie est géniale, pleine de bonnes ou mauvaises aventures mais des expériences tout de même ! Je n’ai aucun regret et je me fais cette promesse de vivre pour le présent, quoique l’avenir puisse décider à ma place ! Kambatte Nanae-chaaaaan !!!

III - Interpersonnel

Relations : C’est-à-dire que j’ai beaucoup de mal à retenir les prénoms de ceux de ma classe alors en dehors…c’est Mission Impossible ! =S Je ne suis pas physionomiste et réfléchir trop me donne mal au crâne. Flemmarde comme je suis, je ne me donne pas beaucoup de mal à aller vers les autres et c’est en cela que je suis la plupart du temps exclue. Bien sûr, je peux aider dans mes bons jours et essayer de m’incruster sans en avoir l’air…mais bon, le temps d’une journée, sans plus ! Pourtant, je n’ai pas ma langue dans ma poche et sors souvent des phrases incohérentes. Je délire beaucoup sans utiliser de mauvaises substances…c’est un peu la cause de ma solitude. M’enfin ! Je vais tâcher d’y remédier et tenter de me sociabiliser ! ^^

IV - Le RPGiste

Pseudo : Min-Oh
Âge : 18 ans
Mutli-Compte : Oui - Min-Oh Kang
Votre impression du forum : Je l’ai plus qu’adopté je crois ^^
Quelque chose à améliorer, ajouter? : Si la perfection avait un nom, ne serait-ce pas MIJ ?!
Fréquence de connexion : 4/7 mais en ce moment, un peu plus Xd

(1) Kogal : Kogaru ou gal ; mode vestimentaire japonaise, affectant particulièrement les jeunes filles et jeunes femmes urbaines (cheveux décolorés, au teint parfois artificiellement bronzé, portant microjupes, vêtements à la mode et accessoires tape-à-l'œil).