Un petit verre? [PV ISAKO SAWAI]

Invité

Kumiko se balladait dans les rues de Tokyo, à la recherche de quelque chose à faire après sa longue journée de cours. Son sac pesait sur son épaule et elle avait hâte de trouver un endroit où s'assoir afin de pouvoir reposer son corps et un peu son esprit. Elle portait une longue tunique bleue avec de petits décors couleur or, qui lui faisait office de robe en cette belle après-midi, ainsi qu'une petite paire de ballerines discrètes pour ne pas faire trop tape à l'oeil. Elle avait laissé ses cheveux bruns détachés avec juste une petite barrette en forme de petit noeud afin d'empêcher une mèche de toujours atterrir devant ses yeux. Au fur et à msur de ses pas, la jeuen femme arriva dans le quartier d'Ikebukuro. Elle se sentait un peu perdue car même si elle connaissait bien la ville elle ne s'aventurait que très peu souvent en dehors du quartier où elle résidait. Peut-être avait-elle peur de se fourrer à nouveau dans le pétrin en tombant sur de mauvaises personnes... Ou alors était-ce juste par simple prudence car elle connaissait sa facheuse tendance à s'attirer des ennuis sans personne. Toujours était-il que Kumiko se promenait seule depuis une bonne heure maintenant, et ses pieds commençait vraiment à fatiguer. Il devenait donc urgent de tourver un endroit où elle pourrait se reposer.

* Il n'y a donc pas de café dans le coin? Non mais c'est quoi ce quartier? Où est-ce que je suis encore arrivée?*

Tout à coup la jeune fille trébucha sur un caillou qui était au milieu de la rue sans trop comprendre pourquoi. Mais cela ne l'empêcha pas de continuer à rester plongée dans ses pensées à la recherche d'un café dans les environs. Au bout de quelques minutes supplémentaires de recherche, la demoiselle Fujita trouva enfin un bar ce qui fit revenir son sourire sur ses lèvres. Elle rêvait déjà à ce qu'elle allait boire assise tranquillement à l'intérieur dans un petit canapé bien confortable. Kumiko accélra son pas afin de rentrer le plus vite possible à l'intérieur. Son sac se faisait de plus en lourd au fur et à mesure qu'elle approchait de son but, cela devait être dû à l'impateince que la jeune fille ressentait à l'idée de pouvoir poser ce dernier et de s'assoir. La demoiselle arriva enfin à la porte d'entrée du café. Elle s'arrêta quelques instants devant la devanture de ce dernier pour voir si la carte n'était pas inscrite sur cette dernière. Et elle eut raison puisqu'elle en trouva un exemplaire juste à côté de l'endroit où elle s'était arrêtée. Elle se décala donc d'un pas vers la gauche pour pouvoir la lire et réfléchir à ce qu'elle allait consommer. Après de longues minutes de réflexion, elle se décida enfin pour un chocolat viennois parce que Kumiko était une véritable gourmande. Elle devait tenir cela du père qu'elle n'a jamais connu puisque sa mère ne l'était pas du tout, gourmande. Enfin, elle finit par pousser la porte du café lorsqu'elle entendit derrière elle une voix qu'elle ne connaissait que trop et stoppa net son mouvement pour se retourner et être certaine d'avoir reconnu la personne à laquelle appartenait cette voix familère...

Invité

* La sonnerie.. aller la sonnerie. S'il vous plait, faite qu'il y est cette fichue sonnerie.. *

Isako avait eu une dure journée. Enfin, une journée comme les autres. Une journée de cours banal ou elle avait occupé une chaise prêt de la fenêtre. Toujours la même. Elle avait travaillé, comme tous les jours et avait attendue la sonnerie avec impatience comme tous les jours. Ce n'est pas qu'elle n'aimait pas les cours. Non, c'était plutôt intéressant. Mais, la fin de journée était horrible. La jeune fille regardait par le fenêtre, les yeux vide quand soudain.

Melle Sawai, est-ce que vous... Driiiiing.

C'est ce qu'on appel être sauvé par le gong. Elle avait échappé aux réflexions de son prof de maths qui lui aurait certainement demandé de resoudre le problème au tableau. La jeune fille y jetta un rapide coup d'oeil et sourit. Facile, trop facile.

Pour demain, vous me finirez cette exercice. Et vous lirez les page ...

Mais Isako n'écoutait déjà plus. Elle n'avait qu'une envie, c'était de sortir de prendre l'air. Quand son prof eu enfin finit ses explications la jeune fille prit son sac et sortit de la salle à grands pas. Au bout de quelques instant elle se retrouvait déjà dehors. Ne sachant pas quoi faire. Elle prit donc la direction d'Ikebukuro. Là bas elle trouverait sans doute quelque à faire. au pire, elle pourrait toujours faire les magasins. Ce n'était pas son genre, mais elle n'avait plus beaucoup de vêtement à se mettre ses deriers temps. Il faut dire que la moitiers de ses affaires était toujours chez ses parents. Mais ça, c'est une autre histoire.
Isako marchait rapidement, sortant son Ipod de la poche de son jean, elle mit ses écouteurs et sélectionnât sa chanson du moment. Il faut dire c'était une belle journée. Il faisait peut être un peu chaud tout de même. Ikebukuro n'était pas la porte à côté, mais Isako aimait ça. Ça lui permettait de réfléchir tranquillement. S'est derniers temps elle n'avait rien à faire et pourtant, le beau temps pointé son nez. La jeune fille n'avait rien de prévue ses derniers temps. Qu'est-ce que ça pouvait être ennuyant. Tiens, ce mot devait être celui qu'elle prononçait le plus souvent ses dernières temps.
une bonne vingtaine de minutes plus tard, Isako arriva a destination. Maintenant, que pouvait-elle faire. Elle commença a flaner de ci de la regardant les vitrines. Mais rien ne l'a tenté.
Elle alla même jusqu'à regarder les derniers films à l'affiche. Mais restait enfermé dans une salle noir pendant deux heures ne lui disait rien, surtout avec le temps qu'il faisait.

* Tiens, je me laisserais bien tenté par un thé. *

sur ceux, la jeune nippone partit à a recherche d'un café dans lequel elle pourrait être tranquille. Pas ceux que tous le monde fréquente. Ou il y a cette musique assourdissante et ou l'on ne s'entend plus penser. Non, dans un petit coin tranquille. Elle marchait tout en réfléchissant quand elle aperçue une silhouette qui ne lui était pas inconnue. Méfiante, elle se rapprocha pour voir de qui il s'agissait. Manquerait plus que ça soit quelqu'un qu'elle n'avait pas réellement envie de voir et ça serait la cerise sur le gâteau.

Kumiko-chan?

Oui c'était bien elle. Isako ne l'a connaissait pas beaucoup. Mais elle l'avait déjà embarqué dans des plans assez douteux qui avait mal finit. La pauvre jeune fille ne savait pas ce qui lui attendait a restait avec elle. Mais après tout, si ça lui faisait plaisir, il ne valait pas le contrarier.

Invité

Kumiko se retourna et reconnut la voix qui venait de s'adresser à elle. C'était Isako Sawai, la fille d'un directeur de banque qui avait dû faire comme elle, il y a quelques instants, c'est-à-dire se ruer hors de l'enceinte de l'université le plus vite possible afin de pouvoir faire ce dont elle avait envie. Mais Isako devait être venue sans un but précis dans ce quartier. Kumiko avait peur de ce qui allait arriver à présent, puisqu'en général à chaque fois qu'elle rencontrait cette jeune femme rien de bon ne pouvait lui arriver. Pourtant Isako était sympathique et tout ce que l'on peut souhaiter, tout du moins c'est ce qu'elle laissait paraitre. Parce qu'au fond d'elle, Kumiko savait bien qu'elle devrait se méfier de la personne qui se tenait en face d'elle. Avec tout ce que l'on racontait sur elle, il y en a qui n'aurait jamais osé approcher Isako. Mais Kumiko ne faisait pas parti de ces personnes-là, et était d'avis à toujours se faire son propre avis sur les personnes même si c'était au détriment de sa personne, et que ce que l'on racontait sur les personnes était vrai. Au fond, Kumiko ne comprenait pas encore le sens des bruits qui couraient sur le fait qu'Isako serait manipulatrice et était toujorus en quête de ceux que l'on qualifiaient de "victimes". Kumiko fit quelques pas vers la demoiselle qui lui avait dit :

Kumiko-chan?

et la salua. Non Kumiko n'avait vraiment que très peu envie d'écouter les rumeurs qui allaient bon train sur Isako Sawai. Parce qu'elle resterait toujours une personne avec qui elle aimait traîner et s'amuser à ses heures perdues. Et puis bon, si elle devait avoir quelques ennuis en prime, c'était dommage et tant pis pour elle. Non , elle n'écoutera pas ce que ses proches ami(e)s lui avaient dis , c'est à dire

"La prochaine fois que tu la voies prends tes jambes à ton cou et tire-toi, ou alors fais comme si tu ne l'avais pas entendue!"

parce que cela ne servirait à rien. Quand Kumiko avait une idée en tête, elle ne la quittait plus. Et son idée actuelle était d'apprendre à connaître plus et mieux Isako Sawaï qui 'lintriguait réellement. Qu'y avait-il donc de mal à passer un bon moment avec quelqu'un que l'on appréciait? Rien? Oui, c'est bien cela. Il n'y avait rien de mal là-dedans. Et c'est pour cela que Kumiko suivait une fois de plus son instinct et resterait là à parler avec Isako. Kumiko voulut ouvrir la bouche pour parler mais un éternuemetn bruyant lui échappa. Elle se demanda ce qui avait pu lui provoquer et ne trouva pas de réponse. Elle était rouge de honte et ne savait plus où se mettre pour avoir éternué d'une telle façon qui n'était absolument pas distinguée. Quelques secondes après, malgré une rougeur qui persistait sur ses joues, elle rééssaya de parler et réussit tant bien que mal , tout en retenant un autre éternuement, à articuler

Oyaho, Isako-Chan, genki? Que fais-tu ici par cette magnifique fin d'après-midi?

Elle tenta de sourire amicalement à la jeune femme qui se tenait stoïque devant elle. Au bout du troisième éternuement quasi imperceptible, Kumiko comprit que c'était surement le parfum ou quelque chose qu'Isako portait sur elle qui devait la faire éternuer comme cela. Enfin, ce n'était pas le plus important. Kumiko était vraiment intriguée par la présence de la demoiselle dans ce quartier peu fréquenté à cette période de l'année alors qu'Isako fréquentait d'habitude davantage les quartiers plus branchés, enfin disons plus fréquentés surtout lors du magnifique mois de mai que nous avions en ce moment. ENfin, peut-être avait-elle envie de calme, qu'il lui aurait été plsu difficile à trouver dans un autre quartier. Kumiko posa son sac par terre, il était devenu réellement trop lourd pour son épaule qui lui donnait l'impression qu'elle allait se détacher et tomber par terre. Kimuko attenait la réponse de la jeune fille qui ne semblait pas prête à lui donner. Elle tenta donc d'ajouter :

Un café ou un thé ça te dit?

Et elle lui emboîta le pas en direction du café devant lequel elles étaient arrêtées sans se soucier de ce qui allait arriver à présent.

Invité

Kumiko Fujita, qu'est-ce qu'elle savait sur elle déjà? Pas grand chose. Une fille impulsive qui ne suit que ce qu'elle pense et qui fait ce qu'elle veut. Des parents riche, comme tous le monde. Quoi d'autre ah oui, elle parlait beaucoup. Isako leva les yeux au ciel. God, qu'allait-elle pouvoir bien faire ci cette situation l'embêter? de toute manière trop tard. Et puis, Isako était intelligente elle arrivait toujours à ce tiré des situations délicate. Oh et puis, elle n'avait rien a craindre d'elle. Que pouvait elle faire de toute façon.
La jeune fille sourit à Kumiko. Elle avait plutôt l'aire gentille. Mais si il y avait une chose qu'Isako savait, c'est qu'il ne fallait jamais ce fier aux apparences. Elle en était la preuve vivante. Ave ses aires de petite fille timide. elle trompait les gens avec une facilitée tel que ça pouvait devenir ennuyeux parfois. La jeune fille enleva ses écouteurs. On ne sait jamais, peut être que Kumiko aller lui parlait. Et c'est ce que la jeune fille fit.
Elle n'eut pas un seul mouvement de recule quand elle vu Isako. Bon signe. Elle analysait toutes les situations. Il valait mieux ce méfier des gens. Qu'il soit proche ou pas de nous. Isako regarda le visage de son interlocutrice. Elle avait l'air tout à fait normale Enfin, comme d'habitude.

Oyaho, Isako-Chan, genki? Que fais-tu ici par cette magnifique fin d'après-midi?

Magnifique après-midi? Elle n'avait même pas pu en profité à cause des ses cours de mathématiques. Elle venait tout juste de sortir de cours qui il faut le dire, on le don de gâcher les après-midi comme celui-ci. un enorme rien faillit sortir de la bouche de la jeune fille. C'est vrai elle ne faisait rien. Elle regardait les vitrines des magasins en écoutant de la musique. Elle ne savait pas quoi faire. Et n'avait rien à faire. La jeune fille soupira. Sa vie était beaucoup trop calme en se moment. Mais passons.
La jeune fille afficha un grand sourire. Même si elle mit quelques minutes a répondre.

Ca va merci. Et toi? Et bien, rien, je n'ai absolument rien à faire. Je sors juste des cours là. Et toi?

En gros,, c'était la vérité. Elle sortait des cours et ne faisait rien. Tiens Isako, depuis quand est-ce que tu es gentille avec les gens et que tu affiches un si grand sourit? A tu decidais de te faire des amis aujourd'hui? Bonne nouvelle. Mais il ne faut pas rêver non plus hein? Chassé le naturel et il revient au grand galop?! Enfin, c'est ce que l'on dit.Et Isako-chan n'est pas du genre à oublier qui elle est. Et puis pourquoi ne serait-elle pas gentille avec cette fille, après tout, elle ne lui avait rien faire. Tu faiblis Isako tu faiblis, ton cerveau ce ramollie doucement, mais surement. Attention.
La jeune fille regarda son portable, il était qu'elle heure déjà: 17h34. Oh, et bien, elle avait fait vite pour venir il n'était pas tard bien au contraire. Que pouvait-elle faire de sa soirée. Et combien d'heure de cours avait-elle demain? Rentré trop tard n'allait certainement pas être possible si elle avait une journée aussi chargé qu'aujourd'hui. Baka, elle avait oublier son emploie du temps. Tant pis, bonne raison pour faire ce qu'elle voulait. (Même si elle se souvenait très bien de son emploie du temps.)

Un café ou un thé ça te dit?

La voix de Kumiko coupa cours a la réfléxion d'Isako. Nani? Un café, .. Un thé. Ah, oui c'est vrai. Elle n'était pas seule. La jeune fille regarda Kumiko. Un Café, ça non, elle en avait horreur, mais un thé pourquoi pas. Après tout, elle était venue pour ça ne?

Un thé, ma fois, pourquoi pas?

Invité

Les deux jeunes filles passèrent donc le pas de porte du café qui se tenait devant elle échappant donc à la chaleur épuisante qui régnait dehors. Kumiko trouvait la réaction de Isako un peu bizarre lorsqu'elle avait répondu à l'appel qu'elle avait lancé. ENfin ce n'était pas bien grave, c'est juste que la jeune fille n'était pas habituée à des réactions si bizarre quand elle parlait aux gens. Les deux jeunes femmes s'asseyèrent l'une en face de l'autre et se dévisagèrent durant de longues minutes. Kumiko ne savait quoi dire se sentant un peu mal à l'aise à cause de sa timidité. Les gfens devait se demander ce que deux jeune sfilles d'apparences si différentes pouvaient bien avoir à faire ensemble. Mais peu importait à Mademoiselle Fujita. L'important pour elle était de réussir à s'entendre avec quelqu'un ici. Car oui Kumiko avait parfois du mal à se lier avec les autres, on ne sait trop pourquoi. Et pourtant elle arrivait à être populaire. Ce n'est pas que les autres lui faisait peur. Non bien au contraire, Kumiko avait besoin de sentir que d'autres personnes l'entouraient car sans cela elle se sentait extrêmement seule. Et la jeune demoiselle détestait la solitude. Elle devait être son pire ennemi, oui c'était bien cela, son pire ennemi. Pourquoi ? Oh, et bien tout simplement parce que personne n'aime être ou se sentir seul. Et avec sa popularité gandissante, Kumiko n'avait que cette crainte là : que tout le monde la laisse tombée et l'abandonne à son triste sort. Enfin revenons à nos moutons et à ce face à face avec la belle demoiselle Isako Kawai. Kumiko réfléchissait sérieusement pour trouver quelque chose à dire, mais en vain pour le moment. Puis elle finit par sortie le blanc la mettant réellement très mal à l'aise.

Et si nous commandions?

dit-elle en souriant largement. Cela pouvait parraitre bête et très idiot de demander cela mais au moins cela comblait le blanc qui se réinstallait... Hmmmm, que dire? Il fallait trouver quelque chose et vite. S'il y avait bien une deuxième chose que Kumiko ne supportait pas c'était bien le silence. Il s'amuse à mettre un blanc dans la conversation et à mettre tout le monde mal à l'aise. Allez, il fallait que Kumiko lance une conversation . Sur n'importe quoi, mais une conversation, deux personnes qui se parlent.

Alors, qu'à tu à raconter? As tu passé une bonne journée?

*Baka! T'avais pas autre chose à dire?! Les cours personne n'aime ça!*

LE serveur arriva enfin et attendit les commandes des jeunes femmes. Kumiko dit :

Pour moi, ce sera un chocolat chaud viennois, et pour toi, Isako?

lança-t-elle au serveur puis à la jeune femme qui se tenait en face d'elle tout en souriant.

Invité

Spoiler:

Isako respira mieux quand elle se retrouva à l'interrieur de l'établissement. La chaleur? Elle n'aimait pas ça, surtout quand il y avait foule dehors. Et justement, le beau temps faisait que tous le monde avait envie de sortir. Elle soupira tout en suivant Kumiko jusqu'à un table ou elle s'assit en face d'elle.
Elle la regarda. N'avait-elle rien à dire? apparemment non. Un silence s'abattit sur la table des deux jeunes filles. Isako n'éprouvait pas le besoin de parler. Le silence lui convenait très bien. Elle avait l'habitude de toute manière. Mais cela fut de courte duré. Kumiko brisa le silence.

Et si nous commandions?

Pourquoi pas, après tout, elles n'étaient venue là pour se regarder dans le blanc de l'oeil. elle lui sourit. Essayons de l'a mettre à l'aise. Isako, essaye de ne pas passé pour un monstre. Essaye d'petre gentille et ne reste pas statique comme ça comme une statut. Ca mets les gens mal à l'aise. Tu devrais le savoir. >_<

Ma fois, pourquoi pas.

Sourit Isako Sourit. Essaye de ne pas avoir l'air aussi coincé. Mon dieu. C'était difficile pour elle s'avoir l'air normal. Pourquoi est-ce que les gens avaient-ils toujours besoin de parler. C'est vrai. Enfin, elle, ça ne l'a géner pas que les gens parlent. Mais elle avait-elle vraiment besoin d'ouvrir la bouche. Ses journées étaient bien trop pathétique pour être raconté.

Alors, qu'à tu à raconter? As tu passé une bonne journée?

Est bien, les cours que veux tu, je n'ai rein d'autre à faire. Ce fut une journée fatigante et assez ennuyante, je dois le dire..
La jeune fille se stoppa et regarda les gens autours d'elle.
Ils parlaient tous et riaient même. Et toi? Ajouta elle en tourna les yeux vers elle..

Ca résumait bien les choses. C'était la vérité.

Un thé.
Ajouta elle sans grande conviction et sans tournait les yeux vers le serveur. Un thé, c'était toujours ce qu'elle prenait. D'ailleurs, elle avait des envie de gauffres .. De sucettes et de glaces. L'appel du sucré était plus fort que tout.

» Il était une bergère... et son mouton sauce au poivre. [Isako Sawai]
» Un petit tour toute seule ? ~pV Isako~
» Journée catastrope [Isako S]
» Fais pêter le pop corn ! l PV Isako
» Kesako-chan, dessine moi un mouton |Isako|