Fais dodo, cola mon Keiji [PV Sun Hee Kang]

Ah, enfin à l’infirmerie, la matinée avait été très dure pour notre étudiant de Todai. Il rentra après avoir frappé et s’avança directement vers un lit libre. Bon fallait avouer qu’il avait le choix, personne n’était là a part l’infirmier qui hocha la tête en voyait l’étudiant s’étaler de tout son long sur le lit qui était placé dans un endroit discret. Il hocha donc la tête en voyant notre cher Keiji s’étaler, laissant son sac tomber par terre et s’approcha de lui, lui demandant par la même occasion la raison de sa visite. Mais il n’eut pas besoin de comprendre en voyant le visage fatigué de notre basketteur.

Keiji le regarda un moment et quelques mots sortirent de sa bouche, lui expliquant furtivement qu’il avait une heure de trou et qu’il aimerai dormir. Il demanda en même à l’infirmier s’il pouvait le réveiller dans une heure, celui ci accepta, lui expliquant qu’il le ferai. Après tout, il avait l’habitude, ce n’était pas la première fois que Keiji venait faire une sieste dans l’infirmerie. Sans rien ajouter, il s’éloigna du lit, fermant un peu le rideau et alla dans son bureau dont il ferma la porte pour laisser en paix notre étudiant. Ce dernier s’installa plus confortablement et il ne lui fallu par deux minutes pour que son esprit parte ailleurs et s’endorme.

Comment notre basketteur préféré en est arrivé là ? Petite explication.
Bon déjà pour faire court, le responsable de cette fatigue n’est autre que : Shota. Oui bon on ne peut pas trop lui en vouloir normal pour un bébé qui n’a pas encore 1 ans. Mais voilà, notre jeune gamin est malade en ce moment et pour tout avouer, les nuits sont très courte, en moyenne 2 heures par jours et quand vous enchaînez ça sur plusieurs nuits, la fatigue comment à peser. Voilà, vous connaissez donc la raison de la fatigue de notre étudiant de Todai, il doit s’occuper de Shota toutes les nuits, vu que sa chambre est à côté de la sienne. Son père ? Alors lui, faut pas qu’il entend parler du bébé, il a certes accepté qu’il fasse partit des Yamamoto mais c’est son fils, Keiji qui doit s’occuper de lui. Alors notre basketteur assume et s’occupe de lui. Cela ne le dérange pas du tout car il l’aime ce môme, il ne pourrait pas se séparer de lui, inimaginable.

Moi je vous le dit, heureusement qu’il y a la nounou dans la journée, sinon bonjour pour les cours…
Enfin voilà, ce matin, Keiji avait lutté pour ne pas s’endormir sur sa table, cela ne l’aurait pas fait, en plus c’est le genre de cours où ils ne sont pas nombreux et un étudiant qui s’endort se repère donc très facilement. Ah, si seulement il n’avait pas prit cette option… Mais s’était à la demande de son père. Ah oui, son père…

Après trois heures de cours très longue, cela prit enfin fin et Keiji s’était dirigé automatiquement vers l’infirmerie et s’était donc étaler sur le lit le plus au calme. Bon alors, s’était ;.. la cinquième fois qu’il venait ici, l’infirmier allait vraiment devenir son ami et il pourrait limite négocier des somnifère pour dormir encore mieux…

Enfin au calme, notre Keiji ferma les yeux et il commença à s’endormir, mais pas un sommeil profond, il était sensible au moindre bruit. Comme chez lui quoi, il s’était habituer à ne pas dormir profondément pour entendre le moindre pleur de l’enfant.
C’est là qu’il entendit des bruits dans le couloir, bruits qui pour l’instant ne le retirait pas de son sommeil, mais qui sait, cela allait peut être arrivé ne… ?

Ah, cette sensation de bien être, des draps sur son corps frissonnant par la fatigue . Cela faisait drôlement du bien de se sentir en sécurité et pouvoir profiter d’une heure de sommeil. Pour certains c’était très peu mais pour Keiji s’était une bénédiction du ciel. Bah oui, lui la marmotte numéro un qui peut faire de belle grasses matinées, qui passe son temps à manger et dormir bénit une heure de sommeil.

Si les Gboy le voyait ainsi, que diraient-ils, ils sont tellement habituer à un Keiji dormeur, toujours en retard à cause d’un panne d’oreiller. Alors le voir ainsi, ils se demanderaient sûrement si le basketteur n’est pas malade et ils seraient à la limite l’emmener dans un hôpital pour fou tellement cela ne serait pas normal. Mais non, je vous rassure, Keiji n’est pas du tout malade ni fou, il est juste fatigué de ses derniers jours à ne dormir que 2 voir des fois avec de la chance, 3 heures par jours. Et puis cela n’a jamais été un sommeil profond donc cela réduit facilement…

En tout cas, une heure de pause entre deux cours, s’étaient une heure de sommeil bien mérité après avoir lutté toute la matinée pour ne pas s’assoupir. A peine l’infirmier était-il partit de la salle que les yeux de notre Golden Boy se fermèrent doucement et il commença rapidement à s’endormir des plus profondément. Cela aurait très bien put se passer si on ne l’avait pas déranger.

Non mais qu’est ce qu’elle à l’autre à crier ainsi, elle ne pouvait pas arrêter ce bordel, y’en a qui essaie de dormir et se reposer pour la suite de la journée. Mais c’est qu’elle n’arrête pas en plus, heureusement que l’infirmier n’est pas sourd, sinon il aurait dut subir ses cris encore longtemps et là cela n’aurait pas duré avec Keiji. En parlant de lui, ce qu’il était devenu pendant ses cris. ? Ah, pas grand chose, son esprit entendit très bien les cris hystérique de la nipponne pas loin de lui mais il n’arrivait même pas à ouvrir les yeux et puis pour quoi faire. Il se contenta donc de froncer les sourcils et se tourner histoire de faire du bruit mais cela n’eut aucun effet car l’infirmier parla au même moment.

Les yeux de notre basketteur finirent par s’ouvrir et il se redressa sur son lit. Soupirant, il tira le rideau qui cachait son lit pour regarder la jeune fille assit elle aussi sur un lit et l’infirmier qui l’examinait.

‘Non mais c’est pas bientôt finit ce bordel, y’en a qui aimerait dormir. C’est vraiment impossible d’avoir une infirmerie au calme dans cette établissement. Donc on se calme maintenant.’

Ouai, vas-y Keiji, fait toi respecter !!!
Même si cela ne sert à rien mais bon, que voulez-vous…
Et oui, hier aussi on l’a déranger, pas autant, heureusement. Juste un étudiant qui demande de l’aspirine et qui bien sur parle ouvertement sans retenir sa voix. Oh grand infirmier, il avait été gentil et lui avait demandé de baisser d’un ton. Arigato…
De nouveau, Keiji balaya la salle du regard, une fois vers l’infirmier et vers la fille. Vous savez, comme s’il a casser l’ambiance. Bah oui qui sait, elle et l’infirmier était peut être… Mouhaha, pervers va ><

‘Bon tu les met son atèle là, et après on dit plus un mot. Et quelle idée de mettre des talons aussi, vous êtes vraiment des dingues vous les filles…’

Bah quoi, il n’a jamais comprit le principe des chaussures à talons, c’est beau, c’est haut et ? Ca les met à la même hauteur que des hommes, certes plus facile pour embrasser. Mais pour lui, les talons étaient plus signes de soucis que d’avantage…

Oui, trop c’est trop, juste une heure, apparemment c’est trop demandé à la population de Todai, les étudiants ne pouvaient donc pas être un minimum silencieux ? Même lui Keiji Yamamoto avait un minimum de respect et était calme. Oui, calme, vous avez bien entendu, LUI calme. C’est un exploit mais que voulez vous… Bon c’est sur que si on le met en présence des autres Goldens Boys, c’est une autre pair de manche et vous ne trouverez plus Keiji calme.

Bon enfin, tout ça pour dire qu’il n’avait pas sa langue dans sa poche et avait dit le fond de ses pensées quand à l’attitude de la jeune fille dans l’infirmerie. Non mais elle comprend donc pas ? Si elle était blonde il aurait comprit mais là… Mais qui sait, peut être se fait-elle des teintures pour cacher se nature blonde. Mouhaha…
Non mais franchement, l’infirmerie c’est comme une bibliothèque, tu ne parles pas fort en respect envers les autres, c’est pas si dure à comprendre ça ? Oui enfin bon, y’a une différence entre la bibliothèque et l’infirmerie. Dans cette dernière, il y a des fois des blessés graves et on va pas leur en vouloir de crier de douleur. Ouai sauf que la pour une entorse, elle va pas en faire un plat non plus…

Bah si tu n’écoutes pas notre Keiji d’amour, à tes risques et périls jeune demoiselle. Quand elle dit ça, notre basketteur ne put s’empêcher de sourire et rire doucement sans pour autant dire quoi que se soit. Ouai bah il avait rien à dire, mais allait sûrement agir si elle continuait ainsi.
Keiji ne se priva pas de faire sa remarque sur les talons. Non mais ouai, quelle idée aussi ? Bon c’est une fille, elle peut mettre des talons, cela c’est sur mais l’excuse qu’elle trouva étonna encore plus notre Golden Boy.

Et donc pour répondre à la jeune demoiselle, non il ne comprend pas. Etait-elle à ce point complexé de sa taille ? Bon, il pourrait le comprendre mais dans l’autre sens. Imaginez qu’elle soit très très grande, qu’elle dépasse la taille d’un garçon, là c’est compréhensible qu’elle soit complexe par sa taille et essaye de tout faire pour paraître plus petite. Mais dans son cas, être petite est pas rien, enfin personnellement, Keiji préfère justement les tailles petites, c’est tellement… adorable, serrer une fille dans ses bras qui est petite, avoir cette envie de la protéger, trop adoraaaaable…

Oui notre Keiji est gaga des filles petites, n’est-il pas moignon ? Ouai bon ça va, lui le dragueur de service on le sait mais c’est comme ça, il a changé après tout ne ? Et puis avoir une petite amie petite est mieux qu’une petite amie grande ne ?
Intrigué par les paroles de la jeune nipponne ainsi que sur les talons, Keiji ne s’empêcha pas de prendre la parole sur ce sujet.

‘ Tu es aussi complexer par ta taille ? Tu n’es pas non plus minuscule, et puis les talons sont dangereux, la preuve, voilà où tu atterris grâce à eux, c’est malin ne ?’

Notre étudiant de Todai se rallongea sur son lit, sur le dos, les mains derrière sa tête et le regard fixer contre le plafond. Il ne prit pas la peine de refermer le rideau car en plus de cela il reprit la parole accompagné d’un sourire.

‘Et non je comprend pas, être petite n’est pas un drame, je trouve les filles petites plus adorable que si elles sont grandes. C’est si adorable une fille petite, tu l’as prend dans tes bras, tu as l’impression de la protéger…’

Voilà qu’il nous fait un débat sur la taille, il part en plus dans son délire, limite s’il ne se parle pas tout seul. Ayant fermer les yeux, il s’imagina avec une petite amie plus petite, la tenant dans ses bras. Ah, vraiment adorable…
Revenant à la réalité, notre basketteur rouvrit les yeux et se redressa et ferma alors le rideau. Il s’allongea de nouveau, soupira et prit la parole.

‘C’est pas tout mais j’aimerai dormir moi, finit de lui mettre son atèle et que le silence règne please…’

Cette remarque était pour la jeune fille ainsi que pour l’infirmier qui était encore en pleine travail et qui n’avait pas loupé une goutte de la conversation.

Les filles sont vraiment étrange, Keiji ne se le répètera jamais assez, elles pensent toujours à trop de choses, veulent que des choses sans réelle important soit parfait, l’exemple avec la taille. Pour complexer sur sa taille, ce n’est pas un crime d’être petite et puis ne pas aimer sa taille veut dire aussi que la personne ne s’accepte pas comme elle est. Autre exemple, le maquillage, elles prennent une temps fout à s’en mettre sur les visages alors qu’une fille naturelle n’était-elle pas la plus jolie ? Juste avec un peu de mascara et de rouge à lèvre ? Pas besoin de fond de teint débile ou autre saleté qu’elles peuvent avoir.

Bref, les filles sont un vrai mystère pour notre basketteur et il ne les comprendra jamais. Lui le garçon ne se prend pas la tête, en dix minutes il est près, il n’essaie pas d’être parfait bien qu’il s’est bien s’habiller, enfin, il est cohérent dans son côté vestimentaire, il ne va pas mettre un jean délavé avec une belle chemise… ><
« Ce que tu dis pourrait être vrai, mais sûrement pas avec une fille comme moi... Personne n'aurait assez de courage pour me prendre dans ses bras, et personne ne me protège ni même a l'impression de me protéger puisque je le fais très bien toute seule et cela depuis bien longtemps ~ »
Drôle de parole quand même pour une fille, serait-elle un garçon manqué ? Qui sait, c’est peut être ça en fin de compte, car en tout cas c’est comme ça que Keiji interpréta ses paroles à moins que…

‘Peut être n’as-tu jamais laissé un garçon te prendre dans tes bras car ça te frustre…’

Ses mots étaient sortit tout seul de la bouche de notre étudiant sans s’en rendre compte et il n’avait fait que les murmurer doucement. Allez savoir si la nipponne a entendu ses paroles ou pas, il ne put le dire.
Bon c’est pas le tout mais y’en a qui aimerait dormir là… Et notre basketteur ne se fit pas prier pour le faire cela, demandant en même temps à l’infirmier d’accélérer l’allure pour lui faire son atèle qu’il en soit débarrasser. Notre jeune étudiant se retourna sur son lit pour s’allonger et ferma les yeux après avoir fermé le rideau.

Mais bien sur, il fallait s’en douter, le calme ne s’en suivit pas car le téléphone de la nipponne se mit à sonner et elle décrocha sans gêne. Bon après c’est vrai que la suite fut marrante et Keiji ne regretta pas de l’avoir entendu. La jeune fille expliqua à la personne à l’autre bout du fils ça mésaventure et cela valait l’écoute. Accrocher vous bien, elle est tomé dans l’escalier à cause……………… *roulement de tambour* une mouche. Mouhahaha, on pouvait pas faire pire et le rire de notre basketteur se fit très vite entendre.
Sans bouger le rideau ni se redresser, il prit la parole quand elle raccrocha.

‘Non mais c’est la vérité ou tu as voulu te rendre intéressante au téléphone ? Car là vraiment, j’ai jamais entendu une histoire aussi marrante… Moi je plaint la pauvre mouche, tu aurais quand même put la tuer.’

Keiji, c’est mieux que tu ne dises plus rien, tu t’enfonces tout seul là, tu le savais ? non et bah maintenant oui…

Spoiler:

Allait-il vraiment pouvoir dormir ? S’était un peu la question qu’il se posait et c’était bien partit pour un ‘non’. Depuis l’interruption de la ‘fille’, notre jeune étudiant avait perdu son sommeil, impossible de s’endormir. Son esprit était bel et bien fatigué, mais ses yeux et ses sens étaient à l’affût. Maintenant qu’on l’avait réveiller, il ne pouvait plus se rendormir et elle allait payer pour avoir commit un tel crime. Oui bon c’est pas non plus la mort Keiji, tu pourras faire dodo se soir ne ?
Et bah non, car cette nuit allait être dure avec Shota malade, il pleure toutes les heures et c’est un miracle si Keiji enchaîne deux heures sans être réveiller. Bref…

Tout ça pour dire que notre étudiant n’arrivait pas à s’endormir. Sans compte que la jeune fille à côté de lui ne s’empêcha pas de répondre au téléphone, raison de plus pour Keiji de ne pas dormir car la conversation fut forte intéressant. C’est là qu’il lui demanda si elle voulait se la ‘jouer’ ou si s’était vraiment vrai de vrai (nani ? XD)
Elle ne répondit pas mais il se doutait que oui, on va pas raconter des choses pareil, bien que Keiji en était bel et bien capable malheureusement.
Stupide insecte ? non, en tout cas Keiji ne le pensait pas. Après, qui était le plus stupide, elle ou l’insecte ?
Oui je sais, c’est pas bien, mais quand même, il ne lui a rien fait pauvre insecte. Et puis elle n’avait pas qu’à mettre des talons la jeune étudiante, cela lui aurait éviter la suite à l’infirmerie…

‘Tu vas pas te plaindre ne ? J’suis sur qu’au fond cela t’arrange, car ça te permet de sécher les cours ne ?’

Bah oui, il y a toujours un bon compromis quand on va à l’infirmerie. Après bien sur, si elle n’aime pas sécher c’est sur que c’est pas un bon point. Mais les étudiants ici ne rate pas l’occasion de ne pas aller en cours avec une raison valable en plus. La chance…
Notre basketteur se tortilla alors dans le petit lit de l’infirmerie. Il finit par soupirer et se redressa, soupirant doucement

‘Si tu veux, quand j’aurai finit ma sieste, on ira la chasse à la mouche pour que tu te venges…’

Tais toi Keiji, c’est mieux comme ça…

‘Bien que j’ai déjà finit ma sieste…’

Nouveau soupire dans la bouche de notre Golden Boy qui s’étira doucement, laissant un bâillement sortir. Il laissa retomber ses bras le long de son corps et fixa le rideau derrière lequel était la jeune fille.

Et oui, notre basketteur préféré a bel et bien finit sa sieste. Bon, d’un côté, il n’avait vraiment pas eut le choix avec l’autre perturbatrice, impossible d’être au calme dans cette infirmerie, il y a toujours quelqu’un pour vous déranger, c’est désolé. Aller va, il dormira mieux ce soir. Ou peut être pas tout compte fait avec Shota… Oui, donc il dormir malheureusement en cours. Faut viser le bon maintenant, le genre de cours qui ne vous intéresse pas trop, qui est le moins utile et voilà… Vous pouvez dormir. Oui, on trouve vite la technique…

Bref, tout ça pour dire que Keiji n’avait plus du tout envie de dormir et s’était donc redresser sur le petit lit et s’était retrouver en position assise. Il regarda un moment le plafond après s’être étiré et répondit à la jeune fille au travers du rideau, lui proposant alors d’aller à la chance à la mouche, lui disant en même temps qu’il n’allait plus faire sa sieste. Il ne se fit pas attendre en entendant la réponse de la jeune fille. Un sourire apparut sur son visage suivit d’un soupire.

Il sauta alors du lit et partit à la recherche de son sac. I le retrouva quelques minutes après en dessous du lit. Quel idée de le mettre dans un endroit pareil. Ah bah c’est lui qui l’y a mit aussi… oui, il se traite limite de baka ^^’. Il finit par attraper le rideau et le tira brusquement, se retrouvant de nouveau face à la jeune étudiante. Il la fixa un moment du regard, mit son sac sur son épaule.

Bah oui, pourquoi traîner plus longtemps à l’infirmerie si le sommeil l’avait quitter. Son esprit était bel et bien fatiguer, mais l’excitation était là. Quelle excitation ? Aller savoir, lui même de c’est pas. La seule chose qu’il sait, c’est qu’il ne va pas rester ici s’il n’arrive pas à récupéré des minutes de sommeil.
Il s’avança donc vers la porte de sortit et au moment où il allait la franchir, il s’arrêta et se tourna vers la blesser.

‘Je ne me moquais pas, juste une proposition. La mouche était sûrement une excuse pour parler avec toi. Mais apparemment, tu penses que tous le monde se moque de tout. Je l’ai fait, mais cela n’a en rien été méchant…’

Sans attendre, il quitta les lieux de l’infirmerie et dans le couloir, il regarda un moment à droit puis à gauche. Il se décida enfin à aller vers le parc.
Etait-il sérieux en lui proposant ça ? Oui, complètement, il n’avait en rien été moqueur quand il lui avait proposé de partir à la chasse à la mouche. Excuse bidon pour faire tout simplement connaissance avec l’étudiante.