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 Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami}

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MessageSujet: Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami}   Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami} EmptySam 24 Oct - 17:06

    « Ashita kyou yori mo suki ni nareru... »
    Kiseki- Green

    Le portable de la jeune fille venait de sonner, la jolie sonnerie réveilla doucement la jeune demoiselle, qui se tournait dans son lit -enfin en l'occurrence, le lit que les Mayuko lui avait prêté. Kumiko se tournait, encore et encore dans le lit, ne voulant pas se réveiller. Elle décida de farfouillé sur la table de chevet pour trouver son portable. Une fois en main, elle l'approcha de son visage pour l'ouvrir. Ce n'était pas sa sonnerie d'appel, ni de message, mais celle qui lui servait de réveil et ça faisait bien dix minutes qu'elle sonnait... La demoiselle regarda l'heure de son portable avec de gros yeux, elle était carrément en retard, pourquoi ce baka de Junpei ne l'avait pas réveillé !? Peut-être parce qu'elle ne voulait pas qu'il rentre dans sa chambre. En effet, c'était sûrement pour ça qu'il ne l'avait pas réveillé.
    La demoiselle sauta hors de son lit pour prendre les vêtements qu’elle avait préparé la veille. Une fois habillée, elle enfila sa veste et se donna un coup de peigne, pour enfin attacher ses cheveux en queue de cheval. Elle prit son sac à main, où elle mit son petit maquillage et son portefeuille, ainsi que des mouchoirs.

    Pourquoi énumérer le contenu de son sac ? Vous ne tarderez pas à le découvrir !
    Donc, la demoiselle enfila ses talons aiguilles, la perd qui allait le mieux avec son jeans bleu et son haut rose. Elle sort de la maison des Mayuko une demie heure après son réveil, sans rien avaler. La demoiselle décida de s’acheter un petit pain au chocolat sur la route. Kumiko se recoiffa vite fait dans une des vitres de la boulangerie, la miss n’était pas maquillée, bah oui, elle n’avait pas eu le temps. En plus la jeune demoiselle avait encore les cheveux humides, vu qu’elle avait pris une douche.
    Kumiko s’arrêta en plein milieu de la rue, soupirant, pourquoi se presser ? Parce qu’au final on ne remarquera pas son absence avant une bonne heure, avec tout le peuple qu’il y a à Todai. Cela aurait était à Sakurai, tout le monde l’aurait remarqué, mais à Todai...

    Du coup, Kumiko regarda sa montre, elle soupira, à nouveau, et décida d’aller dans les toilettes d’un des magasins de Tokyo pour se maquiller un peu. Elle sortit des toilettes une dizaine de minutes plus tard, puis commence à marcher dans les rues de Tokyo, pour une fois, sans se perdre. Pas loin de Todai, on lui rentre dedans, elle râle un coup, mais cette personne se dépêche de s’enfuir sans faire attention aux hurlements de la demoiselle.
    Penchant la tête sur le côté Kumiko fut la moue. Bizarrement, elle ne sent plus la lanière de son sac dans sa main. Oui, il lui fallut bien deux minutes pour savoir qu’on lui avait pris son sac.

    Dans son sac, rappelons-le, il y avait sa carte bleu, son maquillage des mouchoirs et son portefeuille. Et qui dit portefeuille, dit papiers d’identités. Elle s’était tout fait voler, qu’elle cruche d’avoir crût une seule seconde qu’il ne l’avait juste « pas vue ». Si elle réfléchissait bien, c’était impossible de ne pas remarquer Kumiko, c’était quand même l’une des filles les plus populaires de Todai et Sakurai, même encore maintenant - et il faut le reconnaître, pour ça, on peut dire merci à maman.
    Bref, la demoiselle se mit à courir, mais avec des talons, ce n’est jamais pratique. Kumi s’arrêta et vit le voleur au loin, s’échapper. La jeune femme, quelque peut déboussolé par son malheur, se devait de trouver le poste de police, par chance un taxi passa et elle avait encore de la monnaie dans sa poche. Elle arriva au poste de police en dix petites minutes.

      • Ohayo goizaïmasu

    Elle entra d’un pas incertain. Soupire. Et se dirige vers le bureau des dépositions. Kumiko s’arrêta devant un policier un peu louche qui la regardait pratiquement en bavant. Quel manque de charme... Après un nouveau soupire, d’un geste habituel, elle voulu prendre son portable dans sa poche, mais elle se rappela qu’elle l’avait mit dans son sac. Elle se décida donc à parler :

      •  Monsieur ! Je me suis fait voler mon sac !
      • Aaah... Je pourrais avoir le contenue Mlle... ? Quel est votre nom ?

    ...
    Elle répondit aux questions de cet agent de police puis elle se tourna regardant les personnes qui rentrait et sortait, c’était un vrai moulin ici. De temps en temps elle voyait des criminels -supposés- entrer, des gens être relâché, mais après tout, c’est ça le poste de police, la garde-à-vue et tout le tralala...
    Kumiko eu un frisson quand elle entendit un « Bonjour » d’une voix qu’elle connaissait. Elle jeta un coup d’œil vite fait à la porte : Daichi Murakami venait d'entrer. Ce chieur était ici. Hey ! Mais si c’était lui qui avait embarquer les affaires de la demoiselle ?
    À cette idée, Kumiko le regarda de travers avec un petit air méprisant, avant de faire la moue ; Ce n’était pas obligatoirement lui le voleur. Appuyer contre l'espèce de comptoir, elle fit claquer ses ongles en signe d’impatience, faisant semblant de ne pas voir Daichi...
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MessageSujet: Re: Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami}   Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami} EmptySam 24 Oct - 23:18

    - Daichi ! Ce soir, on sort, tu viens avec nous ?
    - Sortir où ça ?
    - On va se faire un karaoke.
    - Je suis partant, si tu fais un superbe duo avec moi.
    - Okay, si tu me paies un verre !

    Et voilà, Daichi s'était fait avoir. Il jeta un coussin à la figure de son cousin tandis que Hiroto se mettait à rire devant leur jeu si enfantin. Mais il aurait dû ne pas le faire, puisque tout se retourna contre lui, même s'il avait été l'innocent dans l'histoire.

    Voilà comment s'était passé la matinée chez les Murakami. Éclats de rire, petites insultes pas bien méchantes, un bon petit déjeuner et une partie de jeu vidéo.
    Daichi avait invité ces meilleures amis à dormir à la maison, la veille, parce qu'aujourd'hui, ils avaient décidé de se rendre en cours, seulement, à la dernière minutes, ils avaient su qu'un professeur était malade, si bien que leur seule et première heure fut annulé. Si c'était pas un cadeau du ciel, ça.
    Mais il fallut pourtant se séparer, parce que l'un avait des choses à faire et l'autre devait aller rendre visite à une amie qui lui était chère. Mon oeil, ouais, encore un flirt xD M'enfin. Daichi se sentit bien vite seul, jusqu'à ce qu'il se décide de sortir pour aller en ville, pourquoi ne pas déjeuner là bas, d'ailleurs, pour ne pas avoir à faire 36 mille déplacements. Il attrapa son portable, qu'il glissa dans sa poche, son porte-feuille dans la poche arrière de son jean, et enfila des baskets avant d'être fin prêt.

    - Dégage !
    Il ne put éviter la collision. L'autre gars avait parlé trop tard. Il se fit littéralement rentrer dedans par un homme à l'allure plutôt bizarre qui semblait bien pressé. Pourquoi ? Ça il ne le savait pas, mais dans tout les cas, il ne put s'empêcher de rétorquer, attrapant l'inconnu par l'épaule, en attrapant sa veste. Il tenta bien de se dégager, mais Daichi était dos à lui, et être attaqué par derrière c'était bien plus difficile de se défendre. Un sac à main de jeune fille ? Oo L'inconnu était... Vraiment étrange. A moins que...
    - Hey, c'est pas à toi, j'me trompe ?
    - De quoi tu te mêles ? Et t'as pas compris ? Lâche-moi !
    Oo alors là, c'était trop. Il poussa l'inconnu face contre le mur, comprenant bien vite qu'il venait de subtiliser un sac à main à une jeune fille. S'attaquer à une nana, c'était bien lâche ça. Il arracha le sac des mains de l'homme qui ne sembla pas content et envoya un joli coup dans le visage de Daichi, qui recula de plusieurs pas, protégeant le sac. Aïe TT Ça fait mal u_u Il ne put que se défendre en envoyant son pieds dans le ventre de l'autre, qui recula de nouveau contre le mur. Les flics risquaient d'arriver, tant pis, il retrouverait Daichi un autre jour. C'est sûrement ce que se dit l'inconnu qui déguerpit, après avoir jeter un dernier coup d'oeil dans la rue. Daichi se retrouvait donc, au milieu du trottoir, avec une jolie blessure à la lèvre, et un sac à main de fille TT Il avait le chic pour toujours se mettre dans les ennuis lui.

    Il passa sa main sur sa lèvre, essuyant les quelques traces de sang qui s'était écoulé de sa lèvre, grimaçant sous la douleur du coup qui lui laisserait sûrement un jolie bleu au coin de ces lèvres. Il l'avait pas raté l'autre. TT Beuh.
    Il se remit en mouvement, laissant tomber sa journée "shopping" et son repas de midi, pour se rendre au commissariat. Il allait devoir raconter sa mésaventure et rendre le sac à monsieur les agents, histoire qu'on ne croit pas que ce soit lui le voleur si jamais on le retrouve chez lui xD Et puis, que ferait-il d'un sac de nana ? TT Voler ce qu'il y avait à l'intérieur, c'était pas trop son genre, puisqu'il avait déjà tout ce qu'il voulait.

    - Bonjour.

    Daichi venait d'entrer dans le commissariat, sans apercevoir Kumiko. De toutes façons, il n'aurait pas penser la voir ici. Ni voir aucune connaissance à lui. Il s'avança de l'accueil, doublant la jeune fille qui semblait s'impatienter à en écouter le 'tic' incessant de ces ongles sur le comptoir. Il posa le sac sans douceur sur le comptoir, face à l'agent qui le regarda, les yeux ronds.

    - J'ai trouvé "ça" entre les mains d'un inconnu. Vous me devez des soins pour les coups qu'il m'a donné TT

    L'agent sembla interloqué, observant Daichi, le sac, puis Kumiko. Interrogatif, Daichi jeta un coup d'oeil à sa voisine. ELLE ? Ah, mais nan TT Elle le suivait ou quoi ? TT Il soupira profondément, relâchant le sac avant de glisser ces mains dans ces poches.

    - Merci de votre aimable réponse et de vos félicitations qui m'ont réchauffés le coeur.

    Bah quoi ? TT Le flic ne lui avait même pas décerner de prix nobel pour son courage. Il se détourna, sans plus faire attention à Kumiko, reprenant le chemin de la sortie. Mais peut-être n'allait-elle pas vouloir le laisser partir comme ça XD
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MessageSujet: Re: Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami}   Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami} EmptyDim 25 Oct - 19:55

    Les ongles de Kumiko retentissaient encore sur le comptoir quand Daichi avait poussé la porte du poste de police. À peine un pas de fait et Kumiko le dévisagé, c’est vrai, c’était peut-être lui qui lui avait prit ses affaires, histoire de la faire rager un coup, ainsi que pour se marrer en la voyant courir. C’était bien le genre de Daichi en plus.
    Paranoïaque x.x
    Mais non, mais non, c’est sûr, Daichi Murakami est un mec louche naturellement, c’est sûrement lui le voleur !
    Kumiko ? Si c’était le voleur, logiquement...

      • J'ai trouvé "ça" entre les mains d'un inconnu. Vous me devez des soins pour les coups qu'il m'a donné TT

    Et Kumiko, aider de sa conscience et des paroles que le jeune homme avait lancés, le vit, Daichi Murakami armé d’un sac à main très... féminin. Kumiko regarda Daichi, puis le sac, à tour de rôle, pendant bien deux minutes. Puis, elle finit par s’apercevoir qu’il s’agissait de son sac à main. La demoiselle fit la moue avant d’entendre le discours de Daichi, quel monologue ennuyeux. Elle décida de regarder l’agent, qui ne sembler pas comprendre le Murakamien. Elle souffla, ennuyait, elle lui en devait une. C’était pas de pot ! Pour finir Kumiko déclara :

      • C’est... Mon sac !
      • Aaah... Nous n’avons donc plus besoin d’en faire plus ?
      • En effet...

    Un blanc s’installa, avant que l’agent tende le sac à la demoiselle qui s’était impatientée et occupée de remplir des formulaires pendant près de trois quarts d’heure, tout ça pour rien. C’était bel et bien l’oeuvre du diable Murakami, ce n’était pas possible autrement. Il avait envoyé quelqu’un pour prendre le sac de Kumiko, la faire courir, se marrer devant se spectacle exceptionnel puis pour finir, il reprend le sac et le ramène en héro au poste de police !
    Mais attention monsieur Daichi Murakami, Kumiko t’as démasqué ! Pas la peine de faire tout un foin pour passer pour un héro car devant Kumiko, ça ne prend pas !

    Parano... C’est peut-être au contacte de Junpei o_o
    Ça devient grave quand même, c’est inquiétant !

      • Merci de votre aimable réponse et de vos félicitations qui m'ont réchauffés le coeur. 

    Huh ? Mais il n’avait rien dit de tel l’agent, serait-ce possible que Daichi soit plus parano que Kumiko ? Non pas du tout, juste plus vaniteux, mais monsieur Murakami, attends-toi à subir les foudres de Fujita Kumiko, THE Kumiko toute puissante !
    Ahaha, parole de londonienne, tu vas souffrir !
    Juste un truc, Kumi’, on est plus à Londres là...

      • Daichi Murakami !

    Non, vous ne rêvez pas, c’était bien Kumiko qui avait crié, pourvu qu’en ce moment aucune personne de Sakurai ou de Todai ne soit là, sinon sa réputation allait en prendre un coup, c‘est sûr et certain.
    Pour revenir à la scène présente, Kumiko avait repris son sac, se tenait droite sur ses talons aiguilles, et elle regardait Daichi, avec un air énervé. Kumiko allait bientôt exploser, elle pensait vraiment que Daichi avait fait tous ça pour se moquer d’elle... Oui, miss Fujita est vraiment très paranoïaque, il n‘y a pas d’autres mots ni explications possible...
    Elle s’avança donc vers l’homme en question avant de froncer les sourcils avec un visage assez contrarié et boudeur.

      • Je sais que c‘est toi qui a tout manigancé, mais sache que je ne te remercierai pas ! Espèce de démon sur pattes ! é_è

    On vit quelque chose voler vers Murakami, en effet, il se prit un poudrier en pleine poire. Kumiko, s’approchant furieusement de Daichi, sentit une douleur dans sa cheville. C’est à dire qu’en courant après cet homme louche, qui lui avait piqué son sac, la demoiselle s’était foulée la cheville, mais jusque là ça ne lui faisait pas mal. Kumiko continua tout de même à avancer vers son bourreau.
    Maintenant toute proche de Daichi, elle ramassa le poudrier, envoyé tantôt. La demoiselle regarda sa cheville, puis avança de nouveau. Malheureusement, cette cheville décida de lâcher Kumiko, qui se vautra complètement sur Daichi. Scène assez comique à voir, surtout vu les mimiques de Kumiko, dont la tête était dans le cou de Daichi - c’est ça de ne pas être grande. Et de deux, elle lui en devait deux maintenant, c’est vrai que là il avait amortie la chute. Kumiko pria pour qu’il n’y ait aucune de ses connaissances ici.
    Elle décida de se relever, mais elle retomba si sec, sa cheville lui faisait horriblement mal, et le pauvre Daichi devait supporter le poids - léger, certes- de Kumiko...
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MessageSujet: Re: Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami}   Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami} EmptyDim 25 Oct - 21:23

    Inutile de préciser qu'il aurait largement préférer faire son shopping plutôt que de marcher en ville avec un sac à main de fille, avant de se rendre dans un commissariat prévu pour redonner le sac à des personnes plus compétente, également aussi pour s'en débarrasser. Il posa donc le sac à main sans douceur sur le comptoir, portant un regard à sa voisine. Kumiko. TT Raah, si seulement il avait attendue un peu avant d'arriver, histoire de rentrer une fois qu'elle était partie.
    C’est... Mon sac ! Aaah... Nous n’avons donc plus besoin d’en faire plus ? En effet... SON sac ? Mais pourquoi, à chaque fois que quelque chose n'allait pas pour lui, c'était autour d'elle que tout tournait ? Un second soupir traversa ces lèvres, optant pour l'idée de partir, la laissant seule avec son sac. Il fit deux pas. Deux malheureux petits pas avant qu'un hurlement perce le silence. Quelques gendarmes, d'ailleurs, avaient tourné le regard vers eux. Daichi Murakami ! C'est malin tout le monde nous regarde. Il serra les dents, grognant légèrement en tournant la tête, ces mains toujours dans ces poches.

    - Je t'ai déjà dis de ne pas prononcer mon prénom, tu le salis.

    Je sais que c‘est toi qui a tout manigancé, mais sache que je ne te remercierai pas ! Espèce de démon sur pattes ! é_è Lui ? Qui avait tout commanditer ? Il étouffa un léger rire moqueur.

    - Nan mais, tu crois vraiment que je n'ai que ça à faire ? J'ai déjà assez de malchance pour te croiser aujourd'hui, ce n'est pas pour venir te cherch.. Itaï !

    Il baissa le nez sur ce qui venait de tomber au sol mais qui, avant, avait percuté son front. Un poudrier ? TT Mais elle était pas nette celle-là. Toujours aussi dingue de lui ! Il releva son visage vers le sien, pointant son index sur sa propre tempe.

    - Ca ne tourne toujours pas rond chez toi, à se que je vois ! Il rabaissa à temps le bras pour la rattraper alors qu'elle venait.. de tomber entre ces bras. u_u Elle avait bu un coup ? Elle tenta bien de se relever, mais voilà qu'elle retombait de nouveau. Il semblerait qu'elle ai un problème du coté de la cheville. Il poussa une légère plainte.

    - Pourquoi ça tombe toujours sur moi ? Tu sais, je suis pas un garçon facile.

    D'un sourire moqueur, il décala son visage histoire de pouvoir la regarder en face TT Et puis, ce n'est pas que c'était gênant, mais au milieu d'un commissariat, y'avait mieux comme approche. Dans tout les cas, il n'allait pas l'abandonner là, et il voulait à tout prix sortir de cet endroit trop froid à son goût. Il se baissa, faisant basculer Kumiko sur son épaule, et une fois fait, il se redressa, la portant ainsi, comme on dirait, en sac à patate. Puis il sortit du commissariat sous l'oeil amusé des gendarmes qui les considéraient sûrement comme un vieux couple, ce à quoi ils paraissaient en étant ensemble. Une fois dehors, il la reposa, la laissant s'appuyer contre le mur. Il se baissa ensuite, à genoux face à elle, ne croyez certainement pas qu'il lui demanderait sa main, il vérifiait juste sa cheville. Il porta ces mains sur cette partie qui semblait bien enflée, une foulure, surement. Et pour une fois, c'est lui qui brisa le silence, continuant d'examiner cette cheville.

    - Tu as toujours le don pour savoir me remercier à chaque fois que je t'aide.
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MessageSujet: Re: Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami}   Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami} EmptyDim 25 Oct - 22:50

      • Je t’ai déjà dis de ne pas prononcer mon prénom, tu le salis.
      • Tais-toi è.é
      • Nan mais, tu crois vraiment que je n'ai que ça à faire ? J'ai déjà assez de malchance pour te croiser aujourd'hui, ce n'est pas pour venir te cherch.. Itaï !

    Elle le vit baisser la tête vers le poudrier et échappa un léger rire. C’était drôle de voir Daichi avec une marque rouge en plein milieu du front, alors Kumiko n’allait pas s’empêcher de rire. Mais elle reprit son sérieux -et son air faussement furieux pour se diriger vers Daichi, qui s’empressa de lui dire que ça ne tourner pas rond dans sa tête, mais ça, on le savait déjà ! Apprends-nous quelque chose que l’on ne sait pas Daichi !
    Puis, elle tomba dans les bras de son soi-disant agresseur.

      • Pourquoi ça tombe toujours sur moi ? Tu sais, je suis pas un garçon facile.

    Kumiko soupira juste un « baka », elle était quelque peu... gênée pour dire autre chose...
    Non, faire face à Daichi Murakami n’était pas chose facile, il fallait l’avouer, c’était peut-être un démon sur pattes ou n’importe quoi d’autre, c’était quand même gentleman quand il le voulait. Et aussi, nier qu’il est beau, c’est chose impossible quand on a les yeux en face des trous. Mais, là, ce n’était pas la beauté du jeune homme qui la gênée, mais les regards qui s’étaient posés sur Kumiko et Daichi. Quelle poisse d’être si maladroite quand même ! Encore heureux, personne de Todai, ni de Sakurai, ne semblait être ici... Ce n’était pas le moment de penser à ça, mais c’était tout de même la première chose qu’elle avait regardé aux alentours. Kumiko devait bien avouer qu’elle avait peur pour sa popularité en premier lieu, mais avec Daichi c’était différent, pourtant ce n’est pas « personne » à Todai, il a quand même un certain statu... Mais, avec Daichi, Kumiko a toujours l’impression qu’elle peut être elle-même, même si des fois ça donne des situations comme celle qui était entrain de se produire, sous les yeux des agents de police - qui se marraient bien d‘ailleurs.
    Avec Daichi tout semblait simple, comme s’ils se connaissaient depuis toujours, peut-être était-ce parce que pendant leur première rencontre, elle était naturelle.

    Bref, dans cette scène, qui pouvait ressemblait à une scène de ménage entre un vieux couple, Kumiko était sans doutes la plus gênée, et pour cause, elle ne savait pas quoi répondre à son présumé agresseur : Daichi.
    Soudainement, la demoiselle se sentit soulevée, ses pieds ne touchaient plus le sol et la demoiselle sentit des bras autours de sa taille. Sans réagir assez vite, Kumiko se retrouva bien vite sur l’épaule de Daichi, position du jour : le sac à patate u_u... La honte, ce n’était pas une gamine de cinq ans, même si des fois -avec tous ses caprices- elle pouvait en avoir l’air.

    Ce débattant sur l’épaule de Daichi, donnant des coups de poing dans le dos de Daichi, la demoiselle criait qu’il la pose par terre, ponctuer d’un « immédiatement ». Mais ses coups semblaient faire juste des petites chatouilles à Daichi, manque de pot...
    Et de trois, elle lui en devait trois maintenant, vu que Daichi lui a rapporté son sac, retenue pour éviter la chute et porter jusque dehors. Il avait du remarquer que Kumiko était gênée. Pourtant dieu sait à quel point Kumiko peut être sans gênes... C’était peut-être car on aurait facilement dit un couple.

    Elle ne parlait pas, alors que d’habitude, rien ne l’arrête, un vrai moulin à paroles... Kumiko s’inquiétait peut-être juste de son rang social ? Pas vraiment, bien qu’être vu dans cet état ne l’aurait pas aider à être « au top »... Bref, quelques mètres plus tard, la demoiselle fut posée au sol, comme elle le souhaitait Elle s’appuya contre le mur et soupira, elle avait mal, mais elle ne devait pas le montrer, c’était une femme qui se devait d’être forte, mais la douleur lui fit perdre une larme, si précieuse. Oui, elle avait vraiment mal, puis marcher jusqu’au poste de police avait appuyé sur sa foulure. Kumiko se retenait de pleurer de douleur, elle respira un coup, puis ferma les yeux quelques secondes, dire de ne pas pleurer, pour elle c’était la pire des hontes qu’il pouvait exister, déjà rien que pleurer c‘était considéré comme une honte, mais là, c’était encore pire, pleurer devant quelqu’un... Kumiko espérait simplement que cette larme passe inaperçue...

      • Tu as toujours le don pour savoir me remercier à chaque fois que je t'aide.
      • Gomen ne...

    Miracle ? Ou alors simplement malade ? Pour Kumiko, s’excuser s’est très rare, car en général, même quand elle à tort, elle ne s’excuse pas. Ce doit être sûrement à cause de la douleur et son envie de pleurer. Elle avait besoin d’aller voir un médecin, il fallait que cette douleur s’en aille à tous prix. Parce que Kumiko s’excuser c’est que c’est grave ! Limite, vous pouvez appeler la presse et tout le tralala, c’est tellement rarissime que c’est un événement à marquer dans un calendrier !
    Non, je n’en fais pas trop, c’est la pure vérité; s’excuser et pleurer devant les gens, on ne connaît pas chez les Fujita !
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MessageSujet: Re: Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami}   Rendez-moi mon sac ! {ft. Daichi Murakami} EmptyLun 26 Oct - 16:35

    Comment ça elle se moquait de lui ? Elle était suicidaire à ce point ? u_u Il la regarda, les joues gonflés de frustration tandis qu'elle s'approchait. Il pouvait l'adorer autant qu'il pouvait la détester. Il replia ces bras autour de la taille de Kumiko, une fois qu'elle s'y soit écrouler. Hein ? Elle voulait se faire pardonner ? A moins qu'elle soit saoule TT Ni l'un, ni l'autre, elle était blessé. En tant que bonne personne, Daichi n'allait pas l'abandonner dans un coin pour avoir la paix, même si elle le méritait avec tout ce qu'elle lui avait dit.
    Il se pencha et la porta sur son épaule, se qui lui valut des petits coups dans son dos, et des ordres, que Daichi n'obéit pas, d'ailleurs. Il voulait avant tout, sortir d'ici, après il l'a reposerait au sol. Il poussa la porte du commissariat et reposa Kumiko une fois qu'elle fut contre le mur. Là, elle pouvait se tenir seule et se tenir éloigner de Daichi.

    Il prit le temps d'examiner la cheville de la demoiselle, histoire d'en apercevoir les quelques dégâts. C'est vrai qu'elle était un peu gonflé, elle devrait aller consulter sans attendre. Il pourrait bien l'emmener aux urgences non loin d'ici. Gomen ne... Elle s'excusait ? TT Elle devait être malade. Il se releva, lui faisant face, remarquant cette trace humide sur sa joue. Il ne l'avait jamais vu comme ça, pleurait-elle à cause de la douleur ou à cause de quelque chose d'autre ? Il avança sa main du visage de Kumiko et effaça, de son pouce, la larme sur sa joue, qui avait presque disparut d'elle-même.

    - Tu devrais aller voir un médecin si tu as mal à ce point. Je pense qu'il te donnera de quoi passer ta douleur et t'immobilisera la cheville.

    Il retira sa main, après lui avoir adressé un fin sourire. Il glissa ces mains dans ces poches, haussant les épaules et jetant un coup d'oeil aux alentours.

    - Je suppose que c'est moi qui vais devoir t'y emmener. Il n'y a pas l'ombre d'un taxi dans cette rue.

    Bon, vous me direz, c'était pas si loin que ça, mais bon. Elle ne pouvait pas marcher et allait devoir la porter. Non pas que ça ne lui plaisait pas, mais son shopping l'attendait. Maah, de toute façon, sa journée avait été interrompu dès qu'il avait rencontrer l'inconnu-voleur. Il se retourna vers Kimiko et tendit le bras.

    - Soit je t'aide à marcher et tu t'appuis sur moi, soit je te porte. Pitié, fait le bon choix mais fais-le vite, peut-être que je serais très vite débarrasser de toi, comme ça.

    Encore un pique lancer, de cette façon, pourrait-il lui faire retrouver le sourire, ou lui ôter l'idée de pleurer. Elle se retenait de toutes façons, il l'avait bien vu, sinon pourquoi cette unique larme sur sa joue ?
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