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 Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. - Keiji Yamamoto

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Juka Namida

Juka Namida


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MessageSujet: Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. - Keiji Yamamoto   Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. - Keiji Yamamoto EmptyMar 22 Déc - 17:19

    Réveil difficile pour la jeune nippone ce matin là. Depuis trois nuits, des rêves assez oppressants hantaient son esprit, et, déjà qu'elle avait du mal à dormir en général, là ça devenait plus un combat digne de Ulysse. C'est bien simple, elle n'arrivait à s'endormir que très tard dans la nuit, ou tôt le matin, c'est selon, et elle ne se reposait qu'environs une ou deux heures. Autant dire que tenir à ce rythme trois jours durant, c'est plutôt ardu. Juka luttait pour ne pas tomber comme une feuille en cours, et ne sentait pratiquement plus ses jambes tant ses muscles étaient endoloris. Tout en elle réclamait le sommeil. C'était assez agaçant car quand elle était debout, elle aurait tout donné pour avoir un lit, et une fois qu'elle se couchait, impossible de fermer l'œil. Elle détestait ça. Maintenant, des vilaines cernes peignaient son visage, et ses pupilles reflétait tellement la fatigue que ça aurait presque pu paraître mignon. Presque, vu que du point de vue de la demoiselle, c'était plutôt pathétique. Assise sur le rebord du toit de son Université, elle soupira et bailla, puis passa une de ses main sur son visage pour frotter ses yeux mis à rude épreuve. Ses jambes pendaient dans le vide, un vide assez voir pas mal haut, mais ça ne l'effrayait même pas. Elle se disait tout le temps que si elle tombait, c'était qu'elle devait mourir. Pareil quand elle traversait la route sur un passage piéton. Elle ne regardait jamais s'il y avait des voitures, et se disait que si elle se faisait shootée, c'était qu'elle devait mourir aussi. Le Destin, quelque chose comme ça. Bref, du Juka tout craché quoi.

    Si elle ne s'en souciait pas plus que ça, c'était plus parce que ses pensées étaient accaparées par beaucoup de questions. Ces rêves... Se ressemblaient tous plus ou moins. Dans le premier, elle était dans une forêt et elle courait à perdre haleine, se sachant poursuivie sans jamais voir son agresseur. Mais la sensation très désagréable de poursuite était présente. Elle s'était réveillée quand elle était tombée au sol et qu'un main l'avait agrippée par l'épaule. Le deuxième s'était déroulé en plein dans la rue. Elle marchait sans vraiment savoir où aller quand, de nouveau, cette sensation d'être suivie. Cette fois, quand elle s'était retournée, elle avait vu un homme encapuchonné, dont elle ne voyait pas le visage, immobile à quelques mètres d'elle. A chaque fois qu'elle avançait, il avançait, jusqu'à ce qu'elle se mette à courir et qu'il courent à son tour. De la même façon, elle avait trébuché, et l'homme l'avait attrapé par le devant de sa veste, cette fois-ci. Le dernier, de cette nuit donc, était un remix du deuxième, sauf que cette fois elle avait pu voir le visage de l'homme... Qui n'était autre que celui de l'inconnu que l'avait "agressée" à l'hôtel. Quoi de plus logique, songea Juka, que ces rêves viennent de cet évènement, vu que c'était depuis qu'il s'était déroulé qu'elle ne pouvait plus dormir. De nouveau, la jeune femme bailla.

    Keiji et elle s'étaient quitté de façon assez simpliste. Ils étaient d'abord allé chez Juka, et au moment où elle allait sortir du taxi, Keiji lui avait dit qu'elle pouvait le contacter au moindre problème, ou même si elle avait besoin de parler. Le tout agrémenté d'un sourire. Elle s'était contenté de le remercier un peu maladroitement, puis elle était rentré chez elle, la tête pleine de questions sans réponses. La jeune japonaise ferma les yeux un instant. C'est vrai, elle avait pensé plus d'une fois à l'appeler, mais elle avait toujours renoncé. Pour lui dire quoi ? "Ouais, excuse-moi mais depuis ce qu'il s'est passé, je fais des rêves bizarres et j'arrive pas à dormir, t'en penses quoi ?" Ou même lui demander de lui raconter une histoire ou de lui chanter une berceuse ? Cette idée fit sourire la jeune femme. Non, vraiment, elle ne voyait pas ce qu'elle aurait bien pu lui dire... Alors elle avait simplement réfréné cette envie. Et lui ne s'attendait sûrement pas à ce qu'elle l'appelle aussi rapidement, et même à ce qu'elle l'appelle tout court. Il avait peut-être lancé ça juste dans le but de la réconforter, ou de "faire genre".

    « Juka, tu n'es qu'une abrutie. »

    Quoi de plus radical pour se remettre les idées en place ? Elle n'était pas le genre de fille à se poser des questions pour les garçons. C'était stupide. Elle se lança une claque mentale et garda les yeux ouvert, profitant du petit vent frais qui soufflait sur son visage. On était tôt le matin, Juka n'avait pas eu le courage d'aller en cours, il devait donc être 8h15 maintenant. Le ciel était encore un peu bleuté, un tout petit soleil apparaissait à l'horizon.
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Keiji Yamamoto

Keiji Yamamoto


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▍Citation : Familles je vous hais ! Foyers clos, portes refermées, possessions jalouses du bonheur.

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MessageSujet: Re: Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. - Keiji Yamamoto   Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. - Keiji Yamamoto EmptyMer 23 Déc - 0:25

Keiji baya pour la unième fois alors que sa main continuait de glisser le long de sa bouche, il se rattrapa de justesse pour ne pas que sa tête tombe et cogne la table qui lui servait pour écrire. Se redressant donc vivement, il marmonna des tels du style : Hum, quoi ? ou suis je ?
Quand il croisa le regard de son professeur qui continuait de donner son cours, une moue l’envahit et de nouveau, des petits bruits de mécontentement sortit d’entre ses lèvres. Ces bruits se firent plus fort quand il croisa l’horloge accroché un peu plus haut au dessus du tableau. Deux heures, que deux heures, cela paraissait une éternité. Bon, il fallait positiver et se dire qu’il n’en restait plus qu’une.

Se redressant de nouveau, essayant de se réveiller le mieux que possible et de suivre un minimum le cours, il plongea son regard dans la silhouette de son professeur de droit et écouta des plus attentivement qu’il le pouvait, ses paroles qui étaient quelque peu du chinois pour lui.
Quand la sonnerie retentit enfin pour annoncer la fin du cours, Keiji sursauta et se rendit très vite compte qu’il somnolait de nouveau. Marmonna de nouveau de mot de contrariété contre lui même, il finit par ramasser ses affaires et sortit de la classe de cours. Il regarda un moment autour de lui dans le couloir où les étudiants de Todai s’afférait. Il hésita, cherchant un endroit où il pourrait se réveiller et mettre ses idées au clair. Dans la cours ? Non, on allait encore l’aborder, soit pour lui parler de choses dont il ne connaissait pas l’existence et soit pour savoir s’il était le vrai Keiji Yamamoto. N’ayant nullement la tête à taper la discute avec des gens, il opta pour un coin plus calme et silencieux à l’air pure. Ne voulant bien sur ne pas faire des kilomètres, il trouva vite le lieu idéal : le toit. Endroit que notre basketteur connaît bien, cela lui arrive de temps en temps de s’y rendre pour être un peu seul et au calme. Sentir l’air et le vent, il a l’impression de remettre ses batteries au maximum.

Sans perdre un instant, il se faufila entre les élèves et se dirigea vers l’escalier. Montant deux part deux les marches, il se retrouva vite seul et arriver au dernier étage, le toit. Poussant doucement la porte, il sentit de suite l’air rentrer dans ses narines et ouvrir ses poumons. Fermant un moment les yeux, il resta ainsi à sentir l’air pure.
Il revint très vite à lui et ferma la porte discrètement. Oui, histoire de ne pas se faire repéré, ce genre de lieu est normalement pas autorisé mais bon… On s’en fiche ne ?
C’est là qu’il l’a vit, alors qu’il se tournait pour aller s’installer dans un coin. Même si elle était de dos, il ne fallait pas des heures pour notre Golden Boy pour reconnaître la silhouette familière de Juka. Assise sur le rebord du toit, ses pieds pendaient dans le vide et elle semblait quelque peu perdu dans ses pensées. Hochant la tête, il resta un moment à la regarder. Que comptait-il faire ? Lui même ne savait, il fallait avouer que depuis la dernière soirée, il ne lui avait pas reparlé.

Oui, drôle de soirée, cela n’avait pas commencé si mal, ils s’étaient rencontré par pure hasard à cause de la pluie dans un Love Hôtel et s’étaient quelque peu chamaillés, comme à leur habitude quoi. Après quoi, Keiji l’avait forcé à monter dans une chambre et ils s’étaient rincés, normal quand on est trempé jusqu’aux os. Bref, tout ce passait bien, sauf au moment ou notre jeune nipponne croisa le chemin dans les escaliers d’un vieux pervers qui comptait abusé d’elle. Bon, après tout, ils sont dans un Love Hôtel ne ? Mais quand même…
Bref, Keiji était venue au secours de la jeune fille mais un froid s’était installer entre eux suite à cela. Notre Golden Boy n’a jamais su ce qui lui avait trotté dans la tête le reste de la soirée qui fit courte. Ils se sont habillé et Keiji l’a ramené chez elle. Avant de partir, il avait avoué à Juka qu’elle pouvait l’appeler si elle n’allait pas bien ou si elle avait envie de parler. Bien sur, elle ne l’avait pas faire.
Bon, à partir de là (car oui, il y a pensé) plusieurs hypothèses s’étaient imposé. Soit tout allait bien et aucune raison qu’elle l’appelle. Soit ça n’allait pas bien mais Juka et sa fierté, s’était à prévoir qu’elle ne l’appel pas. Ou une dernière raison qu’il ignorait. Bref, il s’était quelque peu tracassé pour la jeune fille sans lui même osé l’appeler de peur de la déranger. Et puis c’est Juka ne ?

Notre basketteur sortit soudainement de ses pensées quand une voix arriva à ses oreilles. Elle venait de prendre la parole, ce traitant elle même d’abrutie. Apparemment, elle n’avait toujours pas fait attention à la présence du jeune étudiant. Souriant doucement, il finit par s’approcher et prit la parole.

‘Bah si tu le dis, je ne vais pas me contredire mais j’aimerai bien savoir la raison pour que tu te traites ainsi…’

Il fallait s’en douter, elle se retourna quand il prononça ses mots et notre Gboy lui sourit doucement. Il s’approcha de nouveau d’elle et s’assit à ses côtés, les pieds dans le vide, après avoir posé son sac dans un coin.

‘Houla, dit moi, tu n’as pas le vertige… C’est pas tellement mon truc moi…’

Et revenant sur son geste, il passa un pied au niveau du sol, l’autre restant dans le vide. A cheval sur le rebord, il plongea un moment son regard dans le sien puis fixa le ciel.

‘Cet endroit est magique je trouve. Quand j’y viens, il n’y a jamais personne et cela me permet de méditer en paix. Alors dis moi… Tu dois énormément besoin de réfléchir pour venir ici ne ?’

C’était quoi ça Keiji ?
Pourquoi ne lui demandes-tu pas tout simplement : A quoi tu penses ?
Ah ce Keiji, toujours à chercher des phrases plus longues qu’il ne le faudrait.
Reportant son attention sur elle, il la fixa de nouveau et hocha la tête. Il laissa son corps partir en arrière et le retint avec ses mains qui se posèrent sur le rebord du toit.

‘Tu ne m’as pas appelé, j’en ai supposé que tout allait bien ne ?’

Bah oui, il ne paraît pas comme ça mais ça lui arrive de s’inquiéter.
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Juka Namida

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MessageSujet: Re: Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. - Keiji Yamamoto   Un rêve sans étoiles est un rêve oublié. - Keiji Yamamoto EmptyMer 23 Déc - 16:16

    Au son d'une voix qui lui répondit, Juka sursauta tellement fort qu'elle manqua de tomber. Et ce n'était pas n'importe quelle voix... Elle se retourna pour voir à qui elle appartenait, bien qu'elle en avait déjà une idée, et vit... Keiji. Comme elle s'en doutait. Au début, ça ne lui fit rien de particulier, puis elle sentit quelque chose de bizarre s'insinuer en elle. Ça ressemblait à... De la gêne. C'est ça, elle était gênée. Pourquoi, elle ne savait pas vraiment, mais c'était sans aucun doute lié au fait qu'il l'avait "sauvée" il y a de ça trois jours maintenant. Et que, depuis, on va dire qu'il ne s'était pas du tout reparlé. De coup, elle ne savait pas vraiment comment réagir face à lui, quoi lui dire, est-ce qu'elle devait encore le remercier, etc... C'était assez étrange sachant qu'elle n'avait pas pour habitude d'être gênée pour quelque chose ou mal à l'aise. Elle n'aimait vraiment pas ce sentiment. Néanmoins, elle lui sourit doucement.

    « Tant qu'il y a des personnes pour le penser il n'y a pas vraiment besoin de raison... Si ? »

    Elle le regarda s'assoir à ses cotés, sourit de nouveau quand il lui fit comprendre qu'il avait un peu le vertige et s'amusa en le voyant prendre une position qui faisait bien "genre". Elle secoua doucement la tête de droite à gauche en souriant et reporta son attention sur l'horizon. Keiji fit une remarque comme quoi cet endroit était magnifique, et Juka ne pu qu'approuver. Il est vrai que c'était un lieu merveilleux. Ici, elle pouvait se laisser aller à ses pensées, à tout et n'importe quoi, sans craindre de se faire prendre ou surprendre par un autre élève ou par un professeur. Ou même pire encore... Le jeune homme lui demanda subtilement à quoi elle était en train de penser pour venir s'exiler ici. Apparemment, d'après ses dires, il n'y avait jamais vu personne, et surtout pas elle. Curieux, quand on savait qu'elle y venait assez souvent, et que elle aussi n'y voyait aucun élève ou autre. Et elle aussi, aimait venir ici pour méditer, seule, dans le calme, sans être interrompue ou gênée par les autres. Juka reporta son attention sur Keiji.

    « Étrange, car pourtant je viens ici souvent aussi... C'est curieux qu'on ne se soit pas vu avant. »

    Elle se tut un instant, réfléchissant à ce qu'elle allait bien pouvoir lui dire ensuite. Devait-elle lui avouer pour ses rêves ? Qu'est-ce que ça lui coûtait de le faire ? Ce n'est pas comme s'il allait faire le lien directement avec ce qu'il s'était passé il y a trois jours. D'un coté, Juka voulait à tous prix éviter ce sujet, elle voulait qu'ils n'en reparle plus. Mais, d'un autre... Elle savait parfaitement qu'il était inévitable, rien que par la légère tension qu'il y avait entre eux. De plus, se connaissant, elle savait qu'elle le prendrait mal si Keiji ne l'abordait pas. Quelle fille contradictoire...

    « A vrai dire... Oui, j'étais pas mal perdue dans mes pensées avant que tu n'arrives. C'est sans doute pour ça que je ne t'ai pas entendu. Disons que... Ces temps-ci je dors très mal la nuit, et je suis assaillie par des rêves étranges... Ou plutôt des cauchemars. »

    Sans donner plus de détails, elle se tut. "Ces temps-ci", au moins, grâce à ça, il ne devinerait sans doute pas que le "ces temps-ci" était égal à "depuis trois nuits". Juka n'ajouta rien, jusqu'à ce que Keiji reprenne la parole en lui faisait remarqué qu'elle ne l'avait pas appelé et qu'il en avait conclu que tout allait bien. Mais Juka ne se laissa pas prendre, s'il lui demandait ça sous forme de question, c'est qu'il y avait forcément pensé et qu'il voulait savoir si ça avait été effectivement le cas. Ce fois, elle mis très peu de temps à répondre, de façon assez expéditive.

    « Ou-oui, tout va bien. »

    Ah, si seulement elle n'avait pas bégayé au début, ça aurait été parfait. Que lui arrivait-il ? Juka tourna la tête de façon à ce qu'il ne voit pas son visage ni ses expressions. Que pouvait-elle bien dire de plus ?
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