Tu veux savoir quoi ? [PV Jonnhy] [Terminée]

Vous vous demandez sans doute la raison pour laquelle notre très cher ténébreux est assit sous cet arbre après les heures de classe n’est-ce pas ? Si vous pensez que c’est parce qu’il a eut une soudaine envie d’admirer la façade de l’établissement éducatif vous vous trompez carrément. Voyez vous très chers lecteurs ce dernier attend une petite demoiselle. Oh rien à voir avec un rendez-vous romantique ou quoi que ce soit du genre, mieux vaut vous enlever ce genre d’idées folles de la tête dès maintenant ! Avec sa mauvaise expérience en amour Hiroto n’a pas exactement envi d’aimer prochainement. D’une certaine façon il ne s’agit pas là non plus de quelque chose que l’ont choisi entièrement, mais avec de la volonté un être peut contrôler un peu ses émotions. Bref, il ne s’agit aucunement d’un rendez-vous entre amoureux, d’ailleurs la personne qu’il attend il ne l’a vu qu’une seule fois rapidement afin d’établir cet événement. D’ailleurs elle est où cette petite dame à lunettes ? Il est fort probable que vous n’ayez aucune idée de la raison à tout ça. Rassurez vous, même notre ténébreux bien qu’il soit concerné par le tout ignore en majore partie pourquoi il doit être ici. C’est possiblement quelque chose en rapport à l’équipe de foot… mais ce serait un peu idiot en même temps de lui faire passer une interview alors que ce n’est pas lui le capitaine. Enfin, il va sans doute finir par connaître la nature de son attente très bientôt.

Alors c’est sur ses jolies fesses bien fermes qu’il est assit là et attend sous l’ombre d’un arbre. De toute façon, ce n’est pas comme si notre ténébreux avait mieux à faire. De toute façon, ce n’est point comme si le temps est froid et mauvais puisqu’aujourd’hui ce fut une autre magnifique journée ensoleillée. Bien qu’il eut occasionnellement jeté un rapide coup d’œil à son portable afin de savoir quel heure il est, les prunelles de celui-ci étaient en majores parties entre l’infini du rêve et le monde réel. Oui, il songeait à elle qui est pour lui à l’autre bout du monde et totalement inaccessible. Ne pouvant s’empêcher de se demander comment aurait ce jour si par le passé il aurait su se confesser. Mais bon, comme lui a dit si souvent sa plus tendre amie, mieux vaut vivre dans le présent que de continuer à regretter le passé. Et le présent aujourd’hui est d’attendre tranquillement pour cette petite demoiselle à lunettes. Heureusement qu’il est du genre plutôt patient, car cela fait sans doute quelques minutes déjà qu’il n’y a plus personne qui sort de l’établissement… en espérant qu’elle ne l’ait pas oublié. Ce serait plutôt très peu professionnel de l’oublier comme ça alors qu’elle est la personne qui lui a dit d’être à cet endroit à cette heure précise. L’erreur n’est pas du côté d’Hiroto n’est-ce pas ? C’est bel et bien ici qu’elle lui a dit, non?

Ce dernier vérifia tout de même sur le bout de papier qu’elle lui avait glissé rapidement. Pour un truc planifié que trop rapidement, il s’agit quasi d’improvisation dans le cas présent. Enfin il espère tout simplement qu’elle va arriver préparer et si d’ici une dix minutes elle n’est pas encore arrivée… il ne va pas rester là à attendre toute la soirée. Même si Hiroto est un être très patient de nature, il n’a quand même pas le goût d’y passer la soirée. Donc patience… le temps passe, les oiseaux volent au dessus de sa tête et toujours pas de petite demoiselle à lunette à l’horizon.

Éventuellement il commençait à avoir les fesses un peu endormi, donc il dit finalement qu’elle n’allait peut-être pas se pointer. Il s’agit là que de quelques petites minutes plus ou moins perdu à regarder les gens passés, rien de bien grave. Ce n’est pas comme si Hiroto avait du attendre sous la pluie, alors là il lui en aurait voulu ! Oui ça fait très beau et dramatique dans une série télé ou un film, mais dans la réalité c’est relativement hyper chiant, surtout sans parapluie. Finissant par se redresser et prendre c’est affaire, c’est là qu’il vit finalement au loin la demoiselle à lunettes. Il s’était dit dix minutes de plus… et voilà qu’elle arrive juste à temps. Demeurant debout, notre ténébreux l’observa alors qu’elle se dirigeait vers lui. Il ne fit aucun commentaire sur l’attente et ce contenta de tout simplement lui lancé un très monotone : Konnichiwa…

Éventuellement après la période d’attente, la petite demoiselle à lunettes c’est finalement pointé au moment pile d’où notre protagoniste s’apprêtait à quitter les lieux. Enfin, mieux vaut tard que jamais comme certaines personnes le disent si bien. Dans un avenir très prochain notre ténébreux va bientôt connaître la véritable raison de cette requête qui fut pour aussi bien dire à l’improviste. Oui, car avec tout le temps qu’il a eut pour y songer, Hiroto n’a pu réellement comprendre les motivations de l’étudiante. Il est sûr que l’accueille qu’il lui a réservé une fois qu’elle fut arrivée à lui de façon si joviale ne fut pas exactement très similaire. Certains vont qualifier ce dernier comme étant un sinistre gosse de riche froid et insensible, ce qui est totalement faux. Oh certes son « Konnichiwa » très monotone n’était pas tout à fait à la hauteur de la chaleur qu’à pu faire preuve… c’est quoi son nom déjà ? Elle lui a inscrit sur le bout de papier, mais avec les cours ce dernier l’en a presque oublié. Avoir été un tant soit peu brillant sans doute aurait-il pu avoir le génialissime de le relire lorsqu’il eut vérifié l’heure pour leur rencontre. De toute évidence elle savait très bien qui il était.

Alors que le duo se dirigeant vers le « QG » de la demoiselle à lunettes, notre ténébreux en profita pour observer un peu plus discrètement les quelques traits physionomique de la petite demoiselle. Rien de bien particulier comme demoiselle, pas exactement le genre qu’il remarquerait dès le premier coup d’œil en plein cœur d’une foule, mais les particularités de cette dernière devaient sans doute un peu plus reposer dans sa personnalité que dans son apparence. Il faut apprendre à les connaître les gens, car parfois sous leur apparence parfois particulière, parfois tout à faire ordinaire, la personnalité qui s’y cache est tout à fait fascinant. La personnalité de celle-ci, il va la connaître, enfin peut-être. De toute façon au premier regard une personne dirait qu’elle est sans doute du genre totalement rat de bibliothèque… ce qui peut être complètement faux… mais cela peut aussi être complètement vrai aussi. Il ne quitta que ses songes une fois qu’elle s’adressa directement à lui le remerciant d’avoir été patient. À cela, le ténébreux ce contenta tout simplement de dessiner sur son visage l’ombre d’un sourire. Oui, il sait sourire, il n’est pas du genre tout macabre et toujours triste ! Il rit, il pleure, il fait le con et il est sérieux par moment, car Hiroto est un être humain ! Certes généralement les gens vont le voir sous un angle plus sombre, mais il lui arrive d’être tout aussi jovial que l’étudiant moyen. Et afin de répondre à la question qui lui fut posé, celui-ci donna la réplique :

-Un peu d’attente ne me dérange pas vraiment

Il fit une brève pause, prenant un peu plus place dans le É »QG » qui faisait très professionnelle ! Une table près du bâtiment, enfin c’est un peu plus professionnel qu’avoir les fesses sur la pelouse en étant assis sous la pénombre d’un arbre. Étant quand même curieux de connaître le pourquoi de tout cela, celui-ci ne put s’empêcher éventuellement de questionner son vis-à-vis tout en plongeant son regard dans le sien.

-Dit… pourquoi est-ce que tu m’as fait venir ici ? Ta note ne le mentionnait pas…
Oui, il n’a reçu qu’une note contenant le plus grand minimum de détails possible. Soit rien d’autre qu’un nom, un endroit, une date et l’heure de la rencontre. Au moins il le tout ne semble pas être un truc tordu… car avec le gros bouquin qu’elle a avec elle… celle-ci semble tout à fait très sérieuse. Sans doute qu’elle n’avait pas eut le temps d’en écrire plus long puisque la cloche a rapidement rappelée aux étudiants qu’ils devraient être en classe et non dans les couloirs.

Voilà le moment de vérité, l’instant où il apprendra pourquoi ce dernier fut convoquer par une très charmante petite notes, très simple mais très peu explicative. L’écriture est généralement une très bonne façon de s’exprimer très clairement, car là l’accent d’une personne n’est point existant, le risque de mauvaise prononciation non plus et aussi il est possible de bien penser à ce qu’on écrit… contrairement à la parole. Quand on parle ça sort comme c’est tout simplement et sinon on risque de bafouiller. Bref, nullement besoin d’expliquer les mille et une différences entre l’écriture et la parole ! Elle va bientôt élucider le grand mystère donc mieux vaut être attentif à ce qu’elle va lui dire. Naturellement avant le moment de vérité il y a quelques petites choses qui ce sont déroulé, comme son explication pour la petite note.

Elle n’avait pas eut le temps, ce qui est très compréhensible. C’est d’ailleurs l’explication logique que Shimizu eut en lisant le tout. Disons que c’est un peu mieux que l’explication d’une demande pour un rendez-vous romantique que lui a sorti un de ses collègues de classe et aussi co-équipier pour le foot. Pourquoi une fille l’aurait invité pour un rendez-vous romantique ? Généralement c’est les hommes qui font la démarche, non ? Certes il est loin d’être moche notre ténébreux, mais son attitude en générale semble effrayer les gens. Il est vrai que notre protagoniste est plutôt un peu froid avec les gens et que le fait qu’il ne semble visiblement pas être le plus grand donateur de chaleur humaine. De toute façon pour qu’il soit un peu plus chaleureux, il doit apprendre à connaitre les gens… toute fois ne vous imaginez pas qu’il est un iceberg ambulant avec les autres !

D’ailleurs lorsqu’elle eut finalement expliqué pourquoi elle l’eut fait venir ici, notre protagoniste ne put s’empêcher de rire un peu. Oh rien qui ressemble à un fou rire haut et fort que tout le monde peut entendre ! Mais un petit rire accompagné d’un très léger sourire. Il est anglais apparemment ! Depuis quand ? Ça il l’ignore ! Il faut croire que les rumeurs à propos de lui ont subits les effets du jeu du téléphone arabe ! Alors après ce moment très bref de rire, toujours avec son petit sourire – oui la demoiselle à lunette vient de le faire rire et sourire, elle est forte avouez- il finit par s’expliquer.

-Je vous… il faut croire que les rumeurs se déforment facilement… je ne suis pas anglais, désolé de te décevoir…

Il fit ensuite une pause de façon tout à fait naturelle. Il ne laissa pas non plus le silence s’éterniser longtemps, car sinon ce silence qui n’est qu’une pause peut rapidement se transformer dans un moment plutôt embarrassant et gênant. C’est donc pourquoi il finit par reprendre :

-Cependant une amie à moi habite en Angleterre… ce qui a fait en sorte que je pratique beaucoup mon anglais…

Il ne savait pas quoi lui dire à présent. Elle s’attendait à ce qu’il soit un anglais, malgré ses airs typiquement nippon, alors est-ce que cette révélation va mettre fin à cet interview qui n’a aucunement commencé ? Ça doit être un peu chiant quand même pour elle de se rendre compte que ses sources, peut importe lesquels. Intérieurement il se sentait quand même un peu désolé pour la jeune demoiselle à lunette, car à présent sont sujet d’article c’était sans doute envoler… d’ailleurs il doit vraiment se rappeler de son nom !

Et oui, notre protagoniste n’est pas un anglais, ça vous étonne peut-être ? C’est à vrai dire la première fois qu’il entend une personne penser qu’il est anglais ou qu’il est anglais, pourtant sa gueule fait très asiatique, non ? Oui, il est conscient que les asiatiques, il y en a aujourd’hui qui habite en Angleterre et qui sont né là, donc par conséquent ils sont ce qu’on peut appeler des Anglais. Toute fois là n’est pas l’importance, avec un japonais pour aussi bien dire parfait et sans accent, enfin hormis celui de sa région où il a grandit et pas celui d’un britannique, il serait pourtant évident de le voir quand même. Enfin cela ne l’à point vexé, heureusement. Bien au contraire, il a trouvé le tout un peu… amusant. Toute fois, il n’était pas au bout des petits trucs un peu rigolos. Ça ne parait peut-être pas comme ça avec son petit rire qui n’a rien à voir avec les gens lorsqu’ils ont un fou rire, mais bon c’est de notre très cher Shimizu Hiroto dont ont parle. Il s’agit là de l’homme dont la majorité de l’école ignore la majore partie de qui il est véritablement. Règle générale ont le perçoit comme étant un gosse de riche qui joue au foot, comme étant un ténébreux un peu froid et distant la plupart du temps, bref les gens le connaissent généralement que par ce qui est facilement visible.

Enfin, afin de comprendre un peu plus le pourquoi ont le prend pour un britannique, notre protagoniste tenta de suivre du mieux qu’il pouvait le résonnement de la demoiselle à lunettes. Peut-être que le visage de notre ténébreux lui donne l’air d’être très peu perturbé par les explications, mais en réalité derrière ce magnifique visage celui-ci essai de faire en sorte que ce qu’elle lui raconte fasse un peu de sens dans son esprit. Oui, la logique de la petite dame est plutôt particulière ! Heureusement qu’il n’est pas un grand crétin, car sinon ça ferait longtemps qu’il serait complètement perdu dans l’explication. Donc, oui il tenta de suivre du mieux qu’il pouvait le long monologue de cette dernière expliquant sa théorie sur le côté Anglais de notre Nippon. Une théorie particulière qui relevait principalement du stéréotype sur l’attitude et la façon d’être des britanniques.

Puisqu’il n’avait évidement aucunement la chance de placer le moindre mot, celui-ci ce contenta tout simplement de faire quelques signes de la tête afin de signaler qu’il comprenait – enfin plus ou moins – ce qu’elle lui racontait. Enfin, cela démontrait simplement qu’il arrivait à la suivre plus ou moins dans son résonnement et qu’il n’était pas totalement perdu. Le tout fini tout de même par aboutir à une requête. Voilà qu’une autre personne lui demandait de l’aider, ou enfin de la joindre, dans son projet étudiant. Un peu plus tôt il eut reçu la demande pour être dans le club de théâtre et voilà qu’on voulait qu’il soit aussi dans ce truc de journalisme. C’est quoi, il a une gueule de personne qui a beaucoup de temps libre ? Cela ne parait peut-être pas généralement, mais en dehors des cours et de foot celui-ci possède très peu de temps pour lui-même.

Il est possible de croire qu’un gosse de riche va se la couler douce rendu à la maison, mais pour lui ce n’est pas le cas. Les parents souhaitent faire de leur fils le parfait businessman… alors il y a naturellement des leçons personnalisé en affaires… toute fois peut-être qu’à se surbooké en trucs parascolaire ils vont laisser tomber tout ces trucs des plus chiants. Toute fois simplement vouloir se débarrasser des tâches à la maison n’est pas une raison suffisante… d’ailleurs les récentes propositions sont plutôt intéressante. Y réfléchissant brièvement, il demeura en silence après qu’elle ait terminée son monologue, puis il finit par prendre la parole à son tour… naturellement de façon plus brève.

-Je ne vais rien te promette sauf que je vais y penser… c’est très intéressant, mais je dois tout de même voir si je peux être disponible… sinon… ça traiterait de quoi en général ?

C’est bien vouloir s’embarquer dans un projet, mais un peu con quand on a pratiquement aucune idée de ce que ça va être. Oh une radio, oui d’accord, avec une chronique sportive aucun problème… mais est-ce quelque chose de sérieux en lien seulement avec l’établissement scolaire ou bien avec le pays, voir le monde ? De toute façon, si elle a besoin d’un appui… plus Hiroto en saura, plus il pourra l’aider. Il n’est peut-être pas aussi imposant que les Golden Boys que Sakurai Gakuen a connus… mais il est proche de leur fameux remplaçant… qui selon lui ne sont que des vulgaires crétins qui se prennent pour d’autres. Il ne sont pas des remplaçants… mais des tentatives de copies…

Voilà qu’il venait de faire son bonheur pour le reste de sa journée. Et oui, qui a dit que notre ténébreux ne pouvait aucunement rendre qui que ce soit heureux ? C’est complètement erroné de penser ça de lui, car sous son masque très froid et distant, ce très cher monsieur Shimizu est un protagoniste possédant un cœur gros comme tout. Généralement le bonheur et le plaisir des autres passent bien avant le sien. C’est sûr que ça sonne très bien et sympathique dit comme ça, qui n’aimerait pas que quelqu’un s’intéresse à vous et vous rend heureux ? Cependant le revers de la médaille est que ce fut souvent au dépend de son propre bonheur. D’accord, dans le cas présent avec la petite demoiselle à lunettes… ce n’est pas au dépend de son propre bonheur, mais ce fut souvent le cas auparavant avec d’autres gens ! On ne va simplement pas entrer dans ce domaine, car on a pas l’éternité devant nous tout de même.

Au moins, cette petite dame peut importe son nom, semblait être heureuse –surprise mais heureuse- de voir qu’il allait y penser. Simplement y penser, il n’a pas dit oui et il n’a pas dit non ! Il a simplement dit qu’il allait y réfléchir… et voilà qu’on dirait qu’on lui a annoncé qu’elle venait de gagner une fortune. C’est à croire qu’elle est du genre à être heureuse avec les petites choses de la vie, c’est une bonne chose. Des gens optimistes comme ça ont généralement une meilleure vie que la majorité de la populace. Peut importe, Shimizu-san était heureux qu’elle soit heureuse… même s’il ne la connait pratiquement pas.

Alors après avoir exprimé son petit bonheur, voilà un autre monologue de sa part, expliquant un peu plus en détails le concept. De toute façon, notre protagoniste s’y attendait… s’il n’avait pas voulu qu’elle parlotte il ne lui aurait sans doute pas demandé de lui expliquer un peu plus le tout, logique n’est-ce pas ? Il n’a peut-être pas l’air très intéressé à le voir comme ça, le regard un peu voyageur et le visage imperturbable, mais il l’est vraiment. Enfin… elle semblait être un peu plus alaise avec lui qu’au début de leur conversation, c’est un point positif.

C’est donc après avoir écouté le tout qu’il se mit à pondéré un peu. Oui il n’est pas du genre à prendre des décisions irréfléchis, et éventuellement, lorsqu’elle eut mit fin à son monologue et à son retour de question, notre protagoniste lui offrit la réplique. Rien à la Molière ou à la Shakespeare… mais elle avait tout de même droit à une réponse.

-Disons que mon cercle de connaissances concernant les gens est tout de même limité… musicalement je possède ma petite collection… donc peut-être que je pourrais te passer quelques CD et tu jugeras de ce que tu veux… sinon… je vais essayer de voir avec quelques personnes que je connais s’ils seraient intéressés… même si je ne connait pas exactement ta définition de « gens chouettes »…

Peu de temps après la fin de « chouettes » son portable ce mis à sonner… la magnifique chanson des années 80 ce mit à résonné dans le silence. Il fit signe du doigt à la petite dame à lunette d’attendre juste un instant et puis il répondit à l’appelle… un peu à contre cœur. C’était évident sur son visage, pour une fois, mais déjà le léger soupir exprimait tout. C’est donc après un charmant « Hello » à l’anglaise et le reste de la conversation en Japonais qu’il mit éventuellement fin à l’appelle. Vous devinez c’est qui ? Le paternel évidement, apparemment il devrait déjà être rentré et ils se demandaient où il était. Non mais depuis quand ils s’en soucient eux? Ils ont peur que leur garçon parfait soit un jeune décliquant. Il ne mentionna aucunement le nom de la jeune femme, ni même qu’il s’agissait d’une fille… ce n’est pas par honte, mais parce qu’il savait que le tout s’éterniserait inutilement si ces éléments auraient été mentionnés.

-Désolé de l’interruption… mais je crois que je vais devoir quitter… tu veux que je te reconduise chez toi ?

Souvent ce genre d’offre donnait une mauvaise impression, ont aurait pu croire qu’il est un pervers, mais bon ce n’est pas le cas. C’est simplement qu’il ne souhaite pas qu’un truc moche lui arrive… et que bah… il est galant notre ténébreux ! Bien que c’est elle qui lui a mis ce rendez-vous, il lui propose tout de même de la reconduire jusqu’à chez elle… quel gentil garçon, non ?

Il est sans doute impoli de répondre au téléphone lorsque nous somme en plein cœur d’un entretient… il aurait sans doute pu utiliser cette excellente excuse d’étique avec son paternel afin de ne pas répondre à son coup de fil, mais bon cela lui aurait sans doute causé des ennuies supplémentaire. Sans doute lui aurait-il balancé un truc du genre « Oh, mais il ne s’agit que d’un rendez-vous avec une autre étudiante, tu devais sans doute plus flirter que parler affaire sérieuses ! Tu devrais te concentré sur tes études si tu veux pouvoir excellé plus tard au lieu de passer ton temps à courir après les jeunes filles ! »… on voit à quel point le bonhomme connaît très mal son fils. Vous l’avez vu flirter avec la petite dame à lunette depuis le début ? Oh si vous appelez ces très légères démonstrations d’émotions humaines comme étant du flirt alors vous visé dans le mille… mais n’y connaissez sans doute rien de chez rien au domaine. Bref, mieux vaut laisser tout cela derrière, de toute façon notre ténébreux à déjà répondu à l’appel afin de répondre de façon très brève aux questions de son géniteur.

Voilà venu le temps pour eux de se quitter… enfin presque. En tant que gentleman possédant une très bonne éducation, ce très charmant ténébreux aux airs « anglais », selon la jeune fille à lunettes, lui a tout de même offert de la reconduire chez elle… ou du moins jusqu’à l’endroit souhaiter. Certaines gens, un peu plus craintifs, ne laisserait aucunement un être voir leur lieu de résidence par crainte qu’ils soient des prédateurs potentiels ! Bon, d’accord, Shimizu n’a rien de ça vraiment, qui pourrait croire qu’un être aussi sophistiquer que celui-ci à quoi que ce soit en commun avec un rebus social prêt à violer une jeune écolière en mini-jupe? Bref, toutes ces paroles inutiles afin de dire qu’il est possible qu’elle voit mal la chose ! Si c’était le cas, notre ténébreux ne serait point offensé si elle déclinait poliment l’offre !

Cependant, lorsqu’une réponse ressemble à « Oh…je…hum…merci », il peut être fort difficile d’y distingue un oui ou un non. L’air un peu perplexe par sa réponse devant cette réplique des plus chaotiques, il ne put que conserver un peu plus longtemps ses ténébreuses prunelles sur celle-ci avant de lui offrir une réplique à son tour. Contrairement à cette dernière, ce très cher Hiroto sait un peu plus formuler de façon compréhensive les songes qu’il cherche à exprimer via la parole… du moins lorsqu’il s’agit d’objet aussi banal qu’une offre de raccompagnement. Bien que ce ne ressemble point au du Molière, surtout que ce n’est pas en français, ni à du Shakespeare, celui-ci fini par s’exprimer.

-Enfin… si tu souhaite te faire reconduire… tu n’as qu’à me suivre…

Debout, notre protagoniste sorti les clefs de sa voiture de la poche de son pantalon. Et oui, ce dernier possède son permis de conduire et naturellement la voiture qui va avec. Les géniteurs préfèrent tout de même lorsqu’il faisait encore appelle à un chauffeur privé… car il s’agissait d’une façon certaine pour eux que notre jeune homme ne deviennent pas un délinquant en allant trainer dans les mauvais quartiers après les cours. En toute confidentialité, ce très cher monsieur Kondo n’est pas tout à fait le genre d’homme à tout raconter ce qui ce passe dans la limousine à monsieur et madame Shimizu. Ô nombreuse fois qu’il a vue le visage mélancolique de notre ténébreux sur la banquette arrière, sachant très bien à quel point le jeune homme ne désirait point mettre les pieds dans la demeure familiale. Enfin cela n’a rien à voir non plus avec le moment présent. Dans l’attente d’une réponse, notre ténébreux fit légèrement danser entre ses doigts les clefs. Peut-être qu’il aura droit à une réponse plus clair cette fois-ci, du moins ce serait un peu apprécier. D’un autre côté il doit ce mettre à sa place… ce genre de situation n’est généralement pas commun pour une jeune demoiselle de son âge… et si elle a un petit ami, cela peut être déplacé de la part d’Hiroto. Toute fois, ne connaissant rien de sa vie personnelle… il ne peut donc point le savoir si c’est le cas.