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 We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]

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MessageSujet: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyDim 7 Juin - 18:05

« We’re the same… or not »


Un samedi à ne rien faire, pour ne pas changer des autres, à part peut-être sortir avec un ami ou sa copine ? Enfin, un ami, c'est-à-dire sa meilleure amie, Mihoko, ou son meilleur ami, Akiyo, soyons d’accords. Etonnant qu’une personne emmerdante comme il l’est puisse avoir des meilleurs amis, mais pourtant, ce n’est que la vérité, pourquoi mentir, lui qui aime être seul la plupart du temps ? Bref, passons. Son réveil n’avait pas été trop brusque, pas de réveil donc pas d’effrayamment. Le premier bruit qui était sortit de la chambre du coréen n’était autre que « boum ». Que croyez-vous ? Qu’une bombe a explosée ou quelque chose dans le genre ? Non, juste que Neji était tombé de son lit à force de se rouler dans tout les sens. C’est beau les lits deux places, mais quand ça ne suffit pas, ça ne suffit pas. En l’occurrence, pour l’étudiant, il y avait trop peu de place dans ce lit. Eh oui, il aime le confort, il aime l’espace ! Que ferait-il si jamais sa petite amie venait une fois dormir chez lui ? La laisser dormir parterre, en lui donnant peut-être un tapis sur lequel dormir ? Oui, il en était totalement capable, soyez-en conscient. Trêve de blabla inutile, revenons-en à cette horrible chute =P. Après s’être étalé au sol telle une crêpe coincé entre le lit et le chevet, Ji s’était débrouillée comme il le pouvait pour se relever et quitter cette chambre si sombre encore maintenant. Mais avant de faire cela, il ouvrit très rapidement les volets et la fenêtre, histoire de laisser sa chambre prendre la lumière et être aérée par le vent frais encore matinale. Se dirigeant ensuite vers son salon, passant par la cuisine au passage pour prendre des céréales, l’universitaire s’assit sur sa « demi-sœur ». Bizarre, hm ? Elle avait prit sa place –son canapé- donc elle le subirait jusqu’à ce qu’elle s’assoit sur le sol ou qu’elle trouve un autre emplacement. Sympathique, pas vrai ? Toujours ! Il n’allait pas changer ses habitudes et n’allait pas laisser cette naine s’assoir n’importe où, cela vient de soi. Fourrant sa main dans sa boite de céréale pour enfin mettre le tout dans sa bouche, Neji zappait, que pouvait-il regarder à la télévision ? Dessins animés ? Pourquoi pas ! Faisons le gamin et éclatons-nous.

Après une heure et quelques minutes de télévision –de dessins animés-, le jeune Soku décida de quitter le salon après avoir prit Hana sur son épaule. Le jeune asiatique mit sa demi-sœur sous une douche gelée. Vengeance pour le canapé ? Même s’il s’était assit sur elle et s’était fait plutôt lourd, il devait lui faire subir les conséquences de tout cela. Enfin, il était bien gentil pour ce coup-ci. Celle-ci ne faisait que crier à présent, rien de bien méchant voyons. Le jeune homme se dirigea par la suite vers sa chambre, emmena des habilles et prit une paire de chaussette au passage. Qu’allait-il faire ? Quelque chose de tout à fait normal : une douche. Il en prenait avant de se coucher et au levé le matin, enfin levé… façon de parler, étant donné que cela se passe souvent une ou deux heures après. Bref, passons. Après avoir prit son temps sous celle-ci, il s’habilla et était prêt à quitter la résidence, mais pour faire quoi ? Pourquoi l’a quitterait-il maintenant ? De plus, il était presque l’heure de manger, encore une trentaine de minutes et il se préparerait quelque chose. Il partirait donc plus tard. Le temps que midi arrivait, Neji avait le temps de se poser de multiples questions à la noix auxquelles il ne pouvait encore répondre. Par exemple s’il quitterait le Japon un jour, s’installer autre part… Mais d’autres questions encore, du genre « J’me demande c’que j’vais manger dans deux semaines… ». Bizarre est le mot exact pour décrire ce genre de question, pas vrai ? Trêve de blabla inutile. Ji était revenu au salon entre temps et, bizarrement, Hana n’était plus là. Avait-elle fuit sous la terrible gentillesse de son demi-frère ? Etait-elle partit chercher quelque chose à manger ? Etait-elle allée rejoindre des amies pour faire une sortie entre fille cette après-midi encore ? Ou… Stooooop !!! Des questions, des questions et toujours et encore des questions. Raah ! Ne pouvait-il pas une fois arrêter de se poser des questions ou il continuerait encore toute la journée ? Mais, réfléchissons un peu… Pour se poser tant de questions, il faut avoir de l’imagination, pas vrai ? Donc Neji a un surplus d’imagination… Ooooh mamaaan ! Bref, arrêtons un peu ou le pauvre petit cerveau de nos lecteurs adorés vont déglingués.

Sautant de son canapé, Neji se dirigea avec hâte vers sa cuisine. Il saisit rapidement quelque chose à manger vite fait, avant de le reposer là où il se trouvait avant qu’il ne le prenne. Que faisait-il ? Une idée lui était simplement passée par la tête. Pourquoi n’irait-il pas se chercher quelque chose dans un restaurant où l’on pouvait emporter, hm ? Pas bête, n’est-ce pas ! * Ne dites pas le contraire sinon, gare à vous è.é *. Le jeune coréen se dirigea avec rapidité vers la porte d’entrée, attrapant de l’argent et ses clés au passage. Une fois sortit, il marcha, à grande vitesse comme la plupart du temps, pour être plus rapidement là où il souhaitait allé. Entre temps, l’asiatique avait sortit son Ipod, avait laissait son casque autour du coup et avait allumé l’appareil pour enfin laisser tourner la musique histoire d’écouter de tout, assez fortement pour entendre. Toutes sortes de choses lui étaient passées par la tête pendant ses quelques minutes de marches. Quelques regards s’étaient détournés vers lui sur son passage, trop de couleur ce qui se laisse remarqué sans doute, même si, ici, de nombreuses personnes étaient colorés, mais pas de la même manière que lui tout de même. Mignon ? Peut-être… Mais emmerdant, malheureusement ou heureusement pour certains à qui il ferait de la concurrence * zbaf *. Oui oui, les chevilles vont biens, ne vous inquiétez pas, la tête pareil. Environ quinze minutes après cette marche rapide, Neji arriva enfin dans le restaurant à emporter où souhaitait se rendre… Non, non, ce n’est pas le restaurant qui est à emporter mais la nourriture, espèce de baka ! :) Le jeune coréen commanda donc ce qu’il désirait et sortir du restaurant, pour prendre l’air sans doute. De toute manière, il n’avait rien d’autre à faire, juste à attendre que ce qu’il venait de commander soit prêt. De nombreuses questions ainsi que des idées lui passèrent par la tête… Pourquoi ne mangerait-il pas à l’extérieur ? Ce n’était pas une si mauvaise idée, cela lui changerait quelque peu les idées, il ne verrait pas encore une fois l’intérieur de sa résidence où personne ne se trouverait sans doute. Le serveur vint une dizaine de minutes plus tard chez Neji pour lui dire que sa nourriture était prête. Celui-ci rentra, paya rapidement, laissant même un petit pourboire pour une fois, et partit sans attendre pour se diriger vers les boutiques qui se trouvaient à Shibuya.

Le temps qu’il avait mit pour marcher, il l’avait aussi prit à manger et avait donc déjà jeté sa boîte lorsqu’il était arrivé à l’endroit souhaité. L’universitaire se dirigea donc vers l’une des boutiques mixtes, hommes femmes pour ceux qui n’auraient pas compris, et alla au rayon homme bien sûr, ce n’est pas une femme, oh . Le jeune homme se trimbala dans les différents rayons, tout en restant dans les habilles colorés, pour ne pas laisser tomber son style vestimentaire qu’il dit particulier. Il s’arrêta soudain, quelques secondes néanmoins, pour regarder aux alentours. Que cherchait-il ? Peut-être pouvait-il y avoir l’un de ses amis voir même sa petite amie, ce n’était pas impossible à dire vrai. Mais il se replongea bien rapidement dans les vêtements afin de voir si quelque chose pouvait lui convenir et s’il allait l’acheter ou non. Haha, la vie était dure, il ne trouverait sans doute rien… Enfin, de toute manière, ce n’était pas si grave que cela, ce n’était ni son magasin favoris, ni son habituel, alors pas de raison de stresser ou de décider que ce magasin était l’un des plus ringards, allant même jusqu’à accrocher une fiche sur la vitre où pourrait être écrit la ou les phrases suivante : « Magasin ringard, attention ! » ou bien même encore « N’entrez pas, vous risqueriez d’être choqué ! Nous ne pouvons accepter des habilles de la sorte et ne pouvons les porter pour certaine raison. Halte aux riches, pauvres entrez ! ». Pas très gentil ? Mais si, mais si ! Très même ! Neji est la personne la plus sympathique, la plus aimable, et tout ce que vous voulez dans le positif encore, au monde ! Personne ne peut dire le contraire, muahaha ! Sortant rapidement de la boutique, le jeune homme fit trois pas en avant et se tourna face à celle-ci. Comment pouvait-il être entré dans ce magasin ? Il fallait qu’il se souvienne bien du nom pour ne plus entrez dans celle-ci, même si cela était dans un autre quartier huppé de Tokyo. Faisant à nouveau un demi-tour sur lui-même, il fonça directement dans un jeune homme… Et celui-ci ressemblait extrêmement à Akiyo… En réflex, Neji mit un coup de poing à celui-ci suivit de ceci :

Neji : Regarde où tu marches la prochaine fois ! Baka !

Ce réflex n’avait peut-être pas dut être car, bizarrement, la personne en face de lui était belle et bien Kisetsu Akiyo, son meilleur ami. Une excuse ? Non, il n’en ferait pas, ce n’était pas vraiment son style, il ne s’était jamais excusé auprès de quelqu’un, même s’il ne faisait pas exprès (ce qui était d’ailleurs plutôt rare héhé :D). Pourquoi cela commencerait-il à présent ? Même si c’était son meilleur ami, tempis pour lui :). Néanmoins, une question trottait dans la tête à Neji, que pourrait être sa réaction après ce geste ? Il le saurait sans doute très bientôt…



Tenue :
Spoiler:


Dernière édition par Neji Soku le Sam 12 Sep - 9:42, édité 2 fois
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Johnny Wakabayashi

Johnny Wakabayashi


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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyLun 22 Juin - 23:30

Johnny baissa les bras, dépitée par un énième refus. Prospecter pour Greenpeace était loin d'être simple et Johnny n'était pas dans les meilleures dispositions d'esprit qu'il soit.
D'abord elle s'était levé très tôt tout ça pour que sa mère avait décidé qu'il serait bénéfique pour elle de faire un footing de quelques kilomètres en forêt.

Soi disant que cela fortifiait la constitution physique et qu'il était toujours bon de respirer l'air de la rosée.

Sincèrement? Si Jo trouvait bien un truc hautement débile c'était bien de courir pour le "plaisir" de courir. Le seul moment où elle trouvait que courir était utile c'est quand quelque chose de pas aimable la poursuivait.

Toujours est-il que la jeune fille avait couru ce matin même complètement endormie jusqu'à se prendre les pieds dans des racines (on se demande vraiment ce qu'elles fichaient là! ) et s'amocher comme il fallait les bras qui partaient dorénavant de larges éraflures vermeilles.
Ensuite son père l'avait appelé pour dépanner sur le terrain l'équipe de Shibuya (son frère Nelson avait été assigné à Akihabara). Jo aimait bien aider les équipes de terrain, ce n'était pas ça le problème. Le problème c'était le secteur.

Shibuya.

Shibuya?

Johnny abhorrait ce quartier: tout ce qu'elle détestait y était concentré et elle ne comprenait pas pourquoi son père s'obstinait à y envoyer des agents recruteurs. Même quand cela fonctionnait, Jo trouvait que les gens y étaient poisseux: ils (les compter sur les doigts d'une main s'il vous plait) n'acceptaient de devenir adhérents que pour avoir la paix ou se donner bonne conscience mais rarement parce qu'ils en avaient quelque chose à faire. Positivement révoltant!

C'est ainsi que Johnny, vêtue d'une jolie robe blanche et bleue marine à la coupe propre aux années 30 mais dont le charme était totalement gâché par le gilet vert criard des recruteurs Greenpeace (trois fois trop grand pour elle en plus), se tenait en plein milieu d’une rue commerciale, armé d’un stylo et de feuilles de papier.

«  Bonjour, vous avez une minute? »

Le garçon passa devant elle avec ses amis sans même jeter un coup d’oeil à Jo et cette dernière fronça les sourcils: y avait des cours de politesse qui se perdait!

Faisant quelques pas dans la rue, Johnny aperçut Kira, le responsable du secteur, quelques mètres plus loin en train d’accoster une jeune fille branchée qui papillonnait des yeux à mort tandis que le garçon restait de marbre. La première année se mit à rire légèrement: tout le monde à Greenpeace savait que Kira n'avait aucun intêret dans ce domaine.

Les devantures des magasins étaient consternantes dans cette partie de la ville. Johnny regarda de manière dubitative l’une des vitrines qui vendaient des fringues aux couleurs chatoyantes et au design étranges qui étaient sans doute considérés comme ultra branchés. Le genre de vêtements qu’affectionnaient tant les élèves de Sakurai ou Todaï. Son regard erra sur le mannequin puis sur les accessoires joliment présentés: une ceinture azur et argentée attira son attention mais Jo se raisonna en se disant que le prix en était ridicule, surtout quand on savait d’où cela provenait ou comment ça avait été fait.

Posant ses doigts sur la vitre, Johnny se rendit compte que même en se raisonnant, la ceinture lui faisait vraiment envie et l’adolescente ne put réfreiner un sentiment de vanité: cette ceinture lui irait bien, elle en était certaine. Tout simplement parce qu’elle avait une taille fine. Certes ça ne se voyait pas à cause des vêtements informes qu’elle portait généralement mais elle l’avait remarqué la dernière fois devant le miroir.

Retirant sa main, la jeune fille chassa cette image de son esprit. Elle avait un job à faire et ce serait bien de s’y concentrer et de ne pas penser à des trucs frivoles comme des fringues ou son corps qui changeait.

Sakurai avait définitivement une mauvaise influence sur elle.

« Regarde où tu marches la prochaine fois ! »

Johnny fronça les sourcils. C'était une chose de fantasmer sur Neji, s'en était une autre d'entendre sa voix n'importe où et n'importe comment.

« Baka ! »

Les lèvres églantines de la jeune fille s'entrouvrirent sous le coup de la surprise et, poussée par une décharge d'adrénaline, elle parvint en quelques pas à la source... tout ça pour tomber sur Akyio.

" Kisetsu?" demanda t'elle, bien trop surprise pou montrer un quelconque agacement ou sentiment de ce type, qu'elle aurait normalement montré en temps normal envers le jeune homme.

Elle était pourtant certaine d'avoir entendu la voix mélodieuse de Neji. Johnny soupira dans un élan de deception et aperçut alors le garçon juste derrière son camarade de classe.

" Ne...Ne...Neji-sempai." finit-elle par dire totalement interloquée, reconnaissant enfin l'universitaire.

Il était probable qu'à l'heure actuelle, tout le sang avait reflué de son visage et qu'elle était pâle comme un linge sous le coup de l'émotion. Tournant un regard incrédule vers Akyio, Johnny ouvrit la bouche puis regarda Neji.

Puis enleva d'un geste rapide ses lunettes. Tant pis si elle ne voyait pas très bien se dit-elle en passant une main pour remettre correctement une mêche de cheveux. Il s'agissait tout de même de Neji. Plus beau que jamais.


Dernière édition par Johnny Wakabayashi le Sam 21 Nov - 13:24, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptySam 1 Aoû - 21:13

Spoiler:

    " D'où t'as eu mon numéro ? " Lança t-il d'une voix glaciale. Qu'elle était la cruche ou l'imbécile qui distribuait son numéro de téléphone ? Akiyo aurait voulu raccrocher et couper court la conversation qui ne mènerait en toute évidence à rien. Depuis quand les filles avec qui il couchait reprenait contacte avec lui. Pourtant, il était assez claire lorsqu'il parlait d'histoire d'un soir. Cela ne durait qu'un soir, qu'une nuit. Même si cette dernière était merveilleuse, Akiyo n'aimait pas revoir ses conquêtes de boîte de nuit. Et apparemment, la demoiselle de l'autre coté du combiné n'était pas de cette avis. Encore fallait-il qu'il se souvienne de son nom... L'alcool avait l'art de brouiller l'esprit. La vieille, il avait dû se prendre une bonne cuite aussi. Le jeune adolescent passa sa main sur son front, roulant sur le dos en poussant un profond soupire. Après mûre réflexion, il allait la remballer purement et simplement, dire qu'il n'avait plus envi de la revoir et qu'il n'aimait pas les histoires sans suite. Point. " D'une connaissance. Mais est-ce important ? Je veux juste te revoir. " Une connaissance ? Bien sur, depuis quand on distribuait des numéros de téléphone. C'était sûrement sa meilleure amie ou quelque chose dans ce genre pas vrai ? Le nippon passa sa main sur son front encore mais ne soupira pas cette fois. Il était bien trop exaspéré pour arriver à dire quoique ce soit. D'ailleurs, pour faire fuir, il fallait parfois opter pour la méchanceté. Quelques mots cassants qui couperaient nette le conversation, en espérant que la demoiselle ne s'accroche pas trop. Elle se faisait trop d'illusion. Les relations les plus instables, c'était bien les relations d'une nuit. " Faudrait-il encore que j'ai envi de te voir. Tu m'intéresses pas. Bye. " Quelques secondes avant qu'il raccroche, il entendit quelques mots de protestations qu'il ne comprit même pas.

    Akiyo ne chercha même pas à les comprendre. Il détestait les samedi dans ce genre, où il n'avait pas le choix de rester cloîtrer à la maison parce que son géniteur ne bosser pas et qu'il le "surveillait". /Je t'ai à l'oeil/ Lui disait-il. Et bien sur, le bureau & la chambre de son père se trouvait en face de sa propre chambre. Il était fort déconseillé de passer par la fenêtre, c'était trop haut et le temps qu'il descende, quelqu'un le remarquerait bien avant. Le jeune adolescent ferma les yeux lorsque son portable se mit à vibrer, le faisant légèrement sursauter. Son regard se posa sur le petit écran de son téléphone portable, encore ce numéro inconnu, cette fois, il refusa directement l'appel. Mais la folle persista pendant une bonne demi-heure, jusqu'à comprendre qu'elle devrait le contacter plus tard. /Tu parles, comme s'il allait répondre plus tard/ Elle allait bien finir par désespérer.

    En cette délicieuse matinée, qu'avait-il à faire ? /L'intello ferait ses devoirs/ /Le caïd traînerait dans la rue/ /L'accro au shopping passerait son temps (sa journée pardon) à faire du lèche vitrine/ /... / Et lui dans tout ça ? Pas qu'il n'ait pas d'amis, au contraire : il n'avait juste pas envi de faire le premier pas. Cela voudrait dire, avouer à ses amis qu'il s'ennuyait, et franchement, il n'avait pas envi de donner cette impression. Cependant, s'il parvenait à sortir (peu probable) il irait où ? Il serait tout seul, donc les gens verraient assez vite l'ennuie se peindre sur son visage. Pas drôle du tout... En fin de compte, il ferait semblant de chercher quelqu'un. Ce genre de comportement trompe facilement les gens. Puis, alors qu'Akiyo fermait les yeux, son portable vibra à nouveau et l'ampoule dans son esprit s'alluma.

    Faire diversion. C'était ça l'idée. Pour échapper à l'oeil vif de l'aigle (en l'occurrence son père) il n'avait pas le choix d'user de la malice. Il raccrocha une fois de plus au nez du fameux numéro inconnu puis appela sur le téléphone de son père (toujours dans sa chambre, et oui... Coup de fil d'affaire oblige) / vous savez, au cas où il ait un coup de fil important à deux heures du matin... / Puis, il s'approcha de la porte de sa chambre. La sonnerie retentit ... en bas ... Accccchhhh... Merde, sa MERVEILLEUSE idée tombait à l'eau. Il vit son géniteur se jeter /c'était le mot/ en dehors de sa chambre, s'il pouvait voler, il aurait plongé en bas pour éviter d'emprunter les escaliers. Son paternel croyait sérieusement à un coup de fil important. Tant pis, il allait tenter le coup. Il ouvrit à moitié la porte de sa chambre puis descendit rapidement les escaliers pour aller dans le hall puis...
    " Allô ? Allô ? Mr Kisetsu à l'appareil. " Akiyo raccrocha vivement au nez de son paternel. Il était descendu vachement vite... Finalement, il avait peut être des ailes le vieux ! Le nippon sera des dents lorsqu'il croisa le regard interloquer de son géniteur qui se tenait dans le hall, avec le combiné en main. Prit la main dans le sac, super, il avait encore moins de chance de sortir. Il voyait bien le regard indigné de son interlocuteur. Qui disait : Voyou, stupide garçon. Tu croyais vraiment que tu allais pouvoir filer ? Akiyo aurait bien aimé répondre : Oui, et je continuerais à te filer entre les doigts. Sauf que c'était un peu plus complexe en cet instant... Le temps qu'il emprunte la première voiture qu'il voyait et le temps qu'il la démarre, ça risquait de prendre quand même cinq minutes. Temps record certes, mais avec des gardiens à ces trousses, passer à l'acte se révéler impossible.

    Pourtant, le combiné sonna à nouveau, et détourna l'attention de son paternel. Coup de fil important ? Il tombait à pic ! Finalement, il avait une chance de se barrer vite fait d'ici, et il ne rentrerait pas avant deux heures du matin ? En faite, comme chaque fois, il allait passer sa soirée à l'hôtel. Il oubliait de rentrer chez lui quand il était en été d'ébriété. Il embarqua les premières clés qu'il avait sous la main, après avoir activer la voiture, il repéra immédiatement celle qu'il avait ouverte puis se jeta dedans. Si son père avait eu le temps de réagir ? Pas cette fois. Mais il savait qu'il verrait des barreaux à sa fenêtre la prochaine. Peut être même un verrou à sa porte. Il ne valait mieux pas qu'il se lance dans cette voix, sinon Akiyo n'allait vraiment pas bien réagir. Son géniteur pensait vraiment qu'en agissant ainsi, Akiyo allait enfin aller vers lui pour lui parler ! Doux rêve lointain ! Ce doux rêve lui donnait envi de vomir oui. Akiyo démarra la voiture en trombe (pas de permis de conduire ? Quoi ? Je vous entend pas...) puis se lança sur la route. Il roula pendant dix bonnes minutes, sentant son portable vibrer dans sa poche. Il savait qui c'était et n'avait pas l'intention de répondre avant... demain ? Ce n'était pas cette fille sans nom, c'était son paternel qui allait lamentablement s'acharner sur sa messagerie. Akiyo ne coupa pas son portable pour autant, il fila sur la route jusqu'à arriver en plein centre ville où il se gara dans un parking. D'accord, c'était à une trotte de Shibuya, mais il n'avait pas peur de marcher. Il allait jouer le rôle de celui qui "cherche" quelqu'un.

    Sauf que lorsqu'il se retrouva sur le terrain, cela ne se passa pas vraiment comme ça... Il se fit bousculer d'entrée de jeu, et avant qu'il se mette à beugler sur son accrocheur, ce dernier beugla en premier. Akiyo ne fut surpris qu'en découvrant son meilleur ami. Un rayon de soleil venait de l'insulter. Quoi rayon de soleil ? Bah, c'était quand même son ami qui était en train de sauver inconsciemment sans santé mentale. Sa sociabilité faisait toujours un bon en avant avec Neji. /On les prenait surtout pour deux malades/ Mais alors qu'il allait ouvrir la bouche pour répondre /arrêt sur image/ quelqu'un d'autre fit son apparition. Moins doré le soleil tout à coup... Wakabayashi ? Qu'est-ce qu'elle foutait là... ? Avec... Un tel accoutrement. Akiyo resta pendant quelques secondes sans bouger à la fixer /à fixer ses habits surtout/ jusqu'à qu'il se rende compte qu'elle était extrêmement gênée par la présence de son meilleur ami. C'est nouveau ça... Avant de balancer une remarque cinique, il demanda un Neji-San :
    " Tu connais Wakabayashi-San, toi ? "

    Il l'aurait su si il connaissait une fille de sa classe.
    Ou son meilleur ami avait trop honte de connaître cette fille... /ça c'était méchant/
    Mais possible. Non ? /sbaaaf/ Akiyo finit par poursuivre d'une voix beaucoup moins surprise /comme s'il avait l'habitude de voir sa camarade de classe dans de tel accoutrement/
    " C'est encore carnaval aujourd'hui ? C'est souvent cette année je trouve. "
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyDim 2 Aoû - 0:18

    Observer Akiyo... Intéressant, non ? Pour ne pas mentir, Neji n'avait rien de mieux à faire en attendant un retour de sa part sur le geste qu'il venait de faire. Mais... Non. Une jeune femme venait d'intervenir. Elle voulait quoi celle-là ? Pourquoi elle venait lui parler ? Puis, c'était qui ? Aucune idée mais il ne tarderait pas à le savoir, dans un sens, now. Neji l'observa de bas en haut... Quel accoutrement ! Daaah, elle devrait s'acheter des habits car... C'était la fin du monde, c'est ça ? Non ! Elle voulait faire une surprise à quelqu'un ; ressembler à un monstre ; s'acheter des trucs pas cher pour faire le carnaval à tout heure ; elle était invité chez des pauvres ?... Mais non ! Elle était le clown lors d'une fête pour des gosses, des sales gosses en tout genres, ceux qui donnent envie de frapper... Now ! Ou... Non, non, non... Etait-elle tout simplement l'une de ces pauvres mendiantes ? Daaah ! En plus elle... connaissait son meilleur ami... Ah, sûrement l'une de ces fans, l'une de celles qui lui collent aux basket pour l'avoir dans leur lit... C'était possible après tout, non ?... Rooh puis, de toute manière, elle n'avait pas -à part s'il optait pour les épouventails maintenant ?- de chances avec Akiyo. Le plus kakkoii de tous, non mais faut pas rêver quand même... " Oublie oublie ma p'tite " se disait Neji intérieurement. Non mais en plus pourquoi elle tirait cette tête ? Elle allait baver encore ou quoi ? " Ferme ta bouche, tu vas gober des mouches la naine... Raah puis ça sent pas super bon, hm. "... Méchant ? Non, juste magnifique et gentil, now ! On voit pas de côté méchant là.

    Johnny : Ne...Ne...Neji-sempai.

    Héééé ? Elle voulait quoi cette folle... Il était connu par des petites naines dans ce genre qu'ils ne conaissait en aucun cas. Oh, qui sait, elle conaissait peut-être sa soeur et... non non, mieux valait chasser cette idée, hm.

    Akiyo : Tu connais Wakabayashi-San, toi ?

    Neji : Eh ? C'qui ça ? C'la chose qui va baver, la taupe là ? L'épouventail... Déjà prête pour halloween d'ailleurs.

    Le coréen attrapa la feuille de papier que la jeune femme -soit disant Wakabayashi...- avait en main, en prenant par la même occasion ses lunettes. Jetant un coup d'oeil à la feuille, Neji écrasa les lunettes dans sa main suivit d'un " oups " quelque peu provocateur de sa part, comme à son habitude. Qu'allait-elle faire à présent ? Rooh... Pauvre choux. Elle paraissait si jeune et elle était déjà la victime d'un étudiant. Pas vraiment gentil, mais pas méchant non plus =D. La méchanceté est une bien autre chose mon ami, mieux vaut penser positivement. Et si elle faisait demi-tour, hein ? Elle poluait l'air là... Et elle donnait mal aux yeux. Pauvre Neji, se trouver à côté d'un épouventail n'était pas sa destiné, se trouver à côté d'une taupe non plus, sa destiné était de se trouver à côté de ce minus qui lui servait de meilleur ami. Comment ça minus c'est pas gentil ? Mais bien sûr que si ! C'est même une preuve d'un grand amour, un amour profond... Pas avec un grand A quand même, ne ! Fallait pas trop en espérer non plus, tout le monde ne pouvait pas approcher LE coréen du moment, now. Grosse tête ? Non plus, héhé. Seul la vérité sortait de la bouche du seul, du grand, du vrai... Neji Soku ! ... Oui bon, vaut mieux en rester là quand même, ça en devenait désespérant tout de même... Petite feuille, petite feuille. Quel âge as-tu réellement ? ... Tellement ! Mieux vaut terminer ta vie maintenant dis donc, tu mouriras sans doute demain, écrasé par un mamouth ou bien encore morte à la vue d'un épouventaaaaaaail ! * Scratch * ... Feuille morte. Game over ! You're dead, little baby ! Et en plus, t'es une feuille super famous, parce que c'est pas n'importe qui qui t'a déchiré, c'est LE Neji, le seul, héhé ! Accompagné de son meilleur ami même, tu pouvais pas espérer une plus belle mort ! ... * Scratch, scratch, scratch, scratch * ... * silence * ... Là... Si t'es pas morte, je sais pas ce que t'es, now... Ah si, déchirée, muahaha !

    Akiyo : C'est encore carnaval aujourd'hui ? C'est souvent cette année je trouve.

    Neji : Eh bah ! Vous avez l'air super proche tout les deux. J'vous laisse tranquilles ?

    Mais qu'il était gentil parfois ! Vous ne pouvez pas en espérant autant, non ? Et puis, ce sera bien la dernière fois, enfin, sûrement, hein. Neji sentit rapidement un vibreur dans sa poche, son portable sonnait... Ca pouvait être qui encore ? Sortant le téléphone de sa poche, Neji appuya sur un bouton pour déverouiller... " Hana "... Mais qu'est-ce qu'elle lui voulait encore ? Bien trop curieux, le coréen décrocha mais mit le répondeur. Oui oui, comme ça tout le monde pouvait entendre 8D.

    Conversation téléphonique


    Hana : Oh, l'imbécile de service ! Qu'est-ce que tu fous encore ? En train de draguer ? Si c'est ça, ta p'tite amie va vite te larguer, j'sais pas comment tu l'as eu mais bon, elle doit vraiment être idiote par moments pour être avec un c** comme toi ! Bon, j'te préviens que des amies dorment à la maison ce soir, et fais pas ton chiant, on a nos pittbul è.é

    Neji : Ah, l'abrutie. Moi aussi je t'aime et merci ça va. Ah ? Hahaha, très drôle =] Puis si j'veux j'vous fou dehors, en p'tite culotte :P... Ah puis non, j'ai une meilleure idée, j'vous ramène Akiyo, il va sans problème les emporter, et j'en s'rais débarassé. Toi dans la cave, parmis les rats, et c'est parfait, j'ai la télé pour moi, et la vie est belle, now ! Et vos pittbul c'est quoi ? Vos pyjamas ? Oh puis, pourquoi je ramènerais pas ma p'tite amie en questions, l'idiote comme tu dis, mais que t'aimes tellement et que t'aime défendre avant que j'partes la rejoindre ou quand j'fais un coup foireux.

    Hana : C'qui Akiyo ? Le p'tit là, de quinze ans... ou seize, qu'est-ce que j'en sais. C'lui qui s'croit bon, hm ? T'sais quoi ? On s'passera d'lui, d'ce p'tit merdeux. Comme si tu suffisais pas pour poluer cette magnifique planète, faut d'un autre idiot fasse pareil. Puis tente de m'enfermer dans la cave, on verra c'qui va t'arriver, nos parents s'ront vite là, j'te garantis è.é. Tu verras, elle va t'larguer encore, bientôt, dans les jours à venir ! J'vais lui rapporter qu'tu traines avec des autres et qu'tu te fais chaque soir une autre nana parce que t'es bourrés à chaque fois qu'tu rentres à plus d'minuit !

    Neji : Le p'tit, hm... Oui t'as raison, j'te le ramène et on va voir qui c'est l'petit... enfin, ce s'ra toi la p'tite, now ! Un autre ? Hahaha ! Dis donc ma p'tite, t'en oublies d'nombreux alors... Rien qu'à voir Kirô. Cette magnifique planète, mouai, faut voir, parce qu'avec des ogresses dans ton genre, c'est pas magnifique, ne. Now parents ? Les tiens tu veux dire ! Miki ? Me larguer ? Déjà, elle te croira pas, elle est pas stupide à c'point. Et parce que tu m'espionnes ? C'pas parce qu'il m'arrive de rentrer complètement cuit que j'me suis fait une nana, hein ! Bon, c'est pas que j't'aime pas... Nan, parce que j'te hais, t'es qu'une naine servant à rien, now... mais j'te laisse, j'gaspille ma voix pour toi, et t'as pas besoin. Adieu.

    Hana : Mais attends ! Tu...

    Fin conversation téléphonique


    Tralala. Bon, on en était où déjà ? Ah oui... Neji tendit les lunettes, quelques peut cassés, à la jeune femme, ou plutôt à l'épouventail, en face de lui. Si elle voyait plus, elle rentrerait chez elle, non ? Elle les laisserait tranquil... Non mais c'est pas qu'elle dérangeait -enfin si, beaucoup même, dans quoi, on sait pas, mais elle dérangeait- mais bon, hein. Faisant un sourire, de démon, l'étudiant passa sa main dans les cheveux de la jeune femme et lui frotta la tête, tel un gentil chien qui allait déguerpir d'un moment à l'autre, pour laisser les deux jeunes tranquilles.

    Neji : (à Johnny) Faut pas faire cette tête hein. Et puis, tu vas m'expliquer d'où tu connais mon nom ? T'es détective ? Tu fais des enquête sur moi ? C'est Akiyo qui t'a parlé de moi, hm ? Tu vas tout, mais alors tout me dire, de suite.
    (à Akiyo) Et toi, tu répliques plus d'un coup ? T'étais sensé faire quelque chose, ou c'est à cause de l'épou... la jeune femme que t'as rien fait, hein ?

    Moment de gentillesse ? Peut-être =B...


Dernière édition par Neji Soku le Lun 24 Aoû - 10:37, édité 1 fois
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Johnny Wakabayashi

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▍Emploi : Révolutionnaire à temps partiel.
▍Classe : Déléguée de la 1ereA
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▍État Civil : My heart is beating faster and faster.
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyLun 3 Aoû - 2:56

Ce qui était bien dans le cas présent, c'est que Johnny distinguait mal ce qu'il se passait devant elle en fait. Parce que dans le cas contraire, le regard hautement condescendant que lui avait lancé Neji l'aurait sans doute pulvérisé sur place.

«  Tu connais Wakabayashi-San, toi ? »

Wow.

Wow.

Rewind.

Akyio était copain avec Neji?

Alors ça... c'était un peu comme si Johnny se recevait une douche glacée. La fin des haricots. Les carottes étaient cuites.

L'armageddon venait d'imploser juste devant elle.

Ah mais pourquoi?! Comment?! C'était quoi cette déveine de chacal? Mais il lui pourrissait vraiment tout ou bien? Johnny ne put s'empêcher de lancer une moue positivement dégoûtée vers son cher camarade de classe et se retint fortement de lui balancer un truc pas très sympathique à la figure. Mais bon si c'était un pote de Neji...

Mais vraiment, Johnny était curieuse de savoir comment un garçon aussi aimable que Neji pouvait s'acoquiner avec l'Antéchrist. Peut-être qu'il ne savait pas. Certaines personnes étaient vraiment aveugles face aux défauts des gens qui étaient devant eux. Non mais jamais Johnny ne ferait ça. Elle mettait un point d'honneur à se montrer très lucide quand il s'agissait de juger les gens de manière adéquate.
C'était vraiment très triste pondéra Johnny en secouant légèrement son visage en laissant échapper un petit soupir quasi inaudible.

Elle imaginait à peine ce qu'Akyio allait dire en mal d'elle. Ce n'était vraiment pas une bonne chose. Elle aurait bien pu décider d'être plus gentil avec lui, ne serait-ce que pour qu'il lui présente gentiment Neji mais autant demander à un pingouin de passer ses vacances aux Caraïbes.

«  Eh ? C'qui ça ? C'la chose qui va baver, la taupe là ? L'épouvantail... Déjà prête pour halloween d'ailleurs. »


Johnny fronça les sourcils. Elle avait vu les lèvres de Neji bouger. Elle avait bien entendu sa voix. Mais les mots refusaient de s'imprimer. Ça c'était une phrase d'Akyio. Pas de Neji. Déjà parce qu'il n'y avait qu'Akyio pour être suffisamment crétin pour l'appeler la taupe. Le pire c'est que le surnom était en train de devenir populaire parmi les autres crétins de l'école.

Sauf que Neji n'était pas un crétin. Pas dans l'univers fabuleux qu'avait construit Johnny autour de lui.

Yosh, elle avait du mal comprendre. C'était un peu trop fantaisiste comme phrase. En plus la proximité d'Akyio la déconcentrait. Ou celle de Neji. Arf les émotions étaient contraires d'un garçon à l'autre. C'était comme nager dans un bain de mousse saveur coco (miam!) tout en sachant qu'il y avait des piranhas prêt à vous débarrasser de tout excédant de viande.

La main de Neji glissa vers celle de Johnny et cette dernière manqua d'avoir un arrêt cardiaque sur le moment même. Distinguant avec peine les contours des visages des deux garçons, Johnny fronça les sourcils instinctivement en sentant l'universitaire s'emparer de ses lunettes.

Avec raison. Un craquement sinistre retentit et Johnny ne sut pas vraiment quoi dire. Neji avait de jolis bras et il était sportif mais il ne semblait pas s'être rendu compte de sa force. Un sourire émerveillé s'afficha quelques secondes sur le visage de la première année mais il s'effaça aussitôt avec un tout petit mot.

«  Oops. »


Johnny ouvrit la bouche , incrédule.

Johnny pouvait être aveugle en bien des choses, elle venait d'ailleurs juste de le prouver. Mais le "oops" avait été bien trop évident. Et le bruit du papier qui se déchirait avait le même son que la destruction abrupte de son image romantique qu'elle se faisait du garçon.

«  C'est encore carnaval aujourd'hui ? C'est souvent cette année je trouve. »

Johnny jeta un regard acerbe vers Akyio.

«  Sûrement vu qu'on laisse des clowns dans ton genre parader. » rétorqua t'elle, le teint livide.

Elle n'avait quand même pas vu Neji casser ses lunettes... exprés. Non? Attendez, ça c'était totalement impossible. Elle connaissait bien Neji... bon ok elle le connaissait d'un point de vue stalker mais même. Neji était sympathique et fidèle et il était aimable et... oh. Il avait vraiment cassé ses lunettes et déchirer sa pétition et... Elle avait vraiment été... stupide parce que stupide. Et ... il ne fallait vraiment pas qu'elle se mette à pleurer ici. Ce serait trop faire plaisir à Neji et son soi disant meilleur ami

«  Eh bah ! Vous avez l'air super proche tout les deux. J'vous laisse tranquilles ? »

Johnny déglutit faiblement, laissant un rire désabusé passer le seuil de ses lèvres églantines. Manquait plus que ça tiens! Ça faisait quoi? La quatrième personne à l'associer avec Akyio? Elle était peut-être myope mais les gens avaient de sacrés problèmes oculaires. C'était quoi la partie qu'ils ne comprenaient pas? Le fait qu'Akyio la traitait pire que de la vermine ou le fait qu'elle était incapable de lui adresser la parole sans l'envoyer bouler?

«  Quand il neigera en Enfer. »

C'était un pur mécanisme de défense, elle le savait. Elle savait aussi que c'était loin d'être quelque chose qu'elle pouvait contrôler à l'heure actuelle et que ce n'était pas comme ça qu'on résolvait ce genre de situation épineuse.

Que ferait Gandhi? Oui ben même Gandhi il écraserait les pieds de ces deux askahshakhskak!!!

Le téléphone de Neji sonna et Johnny le regarda décrocher en ne bougeant pas d'un pouce. Raccrochant ses mains sur son gilet vert criard de Greenpeace.

«  Tu vas être content Kisetsu: je viens de trouver quelqu'un que je peux haïr encore plus que toi. »  murmura t'elle d'une voix tendue.

Surtout ne pas pleurer. Le Che avait dit qu'il fallait toujours être capables de ressentir au plus profond de son coeur les injustices commises contre n'importe qui (en l'occurrence elle-même dans ce cas précis). Que c'était la plus belle qualité d'un révolutionnaire.

Tandis que Neji raccrocha et s'approcha nonchalamment d'elle pour lui tapoter avec condescendance les cheveux, Johnny plissa ses yeux. Elle aurait bien aimé avoir des yeux avec des rayons lasers comme dans les comics de son frère. Comme ça demain on aurait fêté les funérailles de Neji.

C'était effrayant. C'est comme si elle le détestait de manière proportionnelle au béguin qu'elle avait eu pour lui. Le pire c’est qu’elle continuait quand même à répondre de manière inadéquate à son contact physique. Dix minutes plus tôt elle aurait adoré le fait qu’il la touche en lui tapotant la tête doucement.
Mais là, c'était trente fois pire que ce qu'elle ressentait en présence d'Akyio, parce qu'au moins ce dernier ne l'avait jamais déçu: il avait toujours été pourri point barre.

«  Faut pas faire cette tête hein. Et puis, tu vas m'expliquer d'où tu connais mon nom ? T'es détective ? Tu fais des enquêtes sur moi ? C'est Akiyo qui t'a parlé de moi, hm ? Tu vas tout, mais alors tout me dire, de suite. »

« Non. »

On ne pouvait pas faire plus simple et plus direct. C'était limpide. Il croyait quoi? Qu'Akyio et elle avaient des conversations autour d'un thé à propos des autres Belzébuth qui l'entourait?


«  Et toi, tu répliques plus d'un coup ? T'étais sensé faire quelque chose, ou c'est à cause de l'épou... la jeune femme que t'as rien fait, hein ? »

Eh? L'épou quoi? Oh mais oui, elle n'avait pas mal entendu tout à l'heure! C'était bien lui qui l'avait appelé épouvantail alors? Et quand elle pense qu'elle avait cru que c'était le Kisetsu et qu'elle avait mal entendu.

Johnny se mit à rire faisant un effort impressionnant pour ne pas laisser l'émotion la gagner.

«  Quand je pense que... je ... je ne sais pas où est-ce qu'on t'as appris à casser les lunettes des gens mais c'est sûrement au royaume de la crétinerie. Redonnes les moi s'il te plait. » fit-elle d'un ton hautain en tendant la main vers Neji d'un geste qui se voulait impérieux. «  Et vous avez sûrement des trucs plus intéressants à faire que boucher mon passage. »

Elle fit un geste de la main comme si elle balayait une mauvaise odeur.

" Au revoir."

Elle aurait du hurler son indignation, demander réparation et même en mettre une à Neji (Gandhi l‘aurait fait aussi d‘abord!). C’est ce qu’elle aurait fait en temps normal. Mais se battre contre Akyio lui était déjà difficile en temps normal parce qu’il l’épuisait et qu'il lui attirait des ennuis aussi grande que l'Everest (rien que de se souvenir qu'elle allait se taper quatre heures de colles en sa compagnie suffisait à la plonger dans les marasmes d'une mélancolie sans nom) mais la découverte de qui était réellement Neji la tuait déjà bien assez.

Plus vite ils partiraient, plus vite elle pourrait pleurer un bon coup. Et décider de comment elles crèveraient leurs poupées vaudous.

Pour ça et aussi parce qu'il était hors de question que les deux QI de poulpes la voit dans la situation qui allait être la sienne dés qu'il faudrait qu'elle rentre à savoir le fait qu'elle était myope, qu'elle ne voyait pas grande chose autour d'elle dans un rayon de 50m et qu'elle allait surement devoir tatonner de partout pour rentrer au van de Greenpeace.
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyDim 9 Aoû - 14:59

    Akiyo n'aimait pas le hasard, il faisait trop mal à les choses à son goût. Certes, la situation tournait à son avantage : Neji ne connaissait pas sa camarade de classe, et Johnny semblait mal digérer quelque chose. Elle semblait être très déçu du comportement de son meilleur ami, pourquoi ? C'est ce qu'il allait chercher à découvrir. Elle l'admirait peut être secrètement et c'était fondé toute une image sur l'universitaire, elle en était peut être même amoureuse. Mais son meilleur ami était toujours avec Miki pas vrai ? C'était vraiment trop compliquer pour lui ce genre d'histoire.

    Neji fut apparemment très étonné de sa question. Il venait de confirmer qu'il ne connaissait pas la Taupe. Mais d'où cette dernière le connaissait ? Elle le pistait depuis combien de temps ? C'était une détective maintenant ? Johnny était polyvalente, elle étudiait à l'école, faisait des pétitions auxquels personne ne s'intéressaient, elle pistait des gens, et en plus, elle devait soutenir des associations à l'autre bout du monde. Elle avait vraiment beaucoup de chose à faire, c'était irréaliste. Puis finalement, Neji s'était mis à s'amuser à sa manière. Tandis que son meilleur ami aimait briser les objets [de valeur ou non] des autres, Akiyo préférait appuyer son doigt sur la corde sensible. A eux deux, ils étaient capables d'envoyer un groupe de délinquant voir un psychologue pour dépression nerveuse. Avec amour et passion pour la torture psychologique, Akiyo donna un léger coup de coude à son ami avant de rétorquer :

    " T'es conscient qu'elle est myope ? Elle va plus de retrouver après. " Signe de pitié ? Mon oeil. Akiyo n'avait pas pitié pour ce genre de chose, et Neji comprendrait très bien où il voulait en venir. Faire tourner en bourrique la petite Johnny serait un réel plaisir. Elle allait se prendre un poteau, elle allait se prendre des gens, des vitres, peut être même des voitures. Quoi ? Non, Akiyo n'était pas aussi meurtrier pour la forcer à avancer sur la route, on parlait des voitures garés sur le bas coté bien sur. Neji serait assez perspicace pour comprendre où voulait en venir ses paroles. Et Johnny, sentait peut être que quelque chose se préparer. Un raz-de-marré allait juste emporter la jeune fille. Elle deviendrait folle, se mettrait à courir dans tous les sens en s'arrachant cheveux et habits... Hm, juste les cheveux. Pas les habits. oO

    Après que son ami ait détruis convenablement les belles lunettes de sa camarade de classe, il se jeta sur la fameuse feuille.

    " Encore une pétition à la noix ? Je t'ai déjà dit qu'hurler ... Les gens s'en fichent. Et avec ton allure, ils préféreront t'éviter. " C'était pas un conseil. Mais un reproche. Genre, faut peut être que je répète l'épisode de la dernière fois ? Mais, Akiyo aimait trop la nouveauté pour refaire exactement la même chose qu'il y a deux semaines... Le jeune nippon détailla une fois de plus la demoiselle de la tête au pied. Elle allait vraiment faire un tour au cirque celle-là, elle se rendait compte que ses habits étaient pitoyables. En plus, avec ce blouson vert criard, elle faisait mal aux yeux... Akiyo plissa les yeux puis...

    Il haussa les sourcils lorsqu'elle lui répondit du tac au tac quelque chose qui aurait pu déplaire à n'importe qui ? La voix de Johnny était cassante, et elle laissait sa rage refaire surface. Comme d'habitude [tout dépendait de la situation...], il était de marbre face à ses propos, un nouveau sourire s'étira sur ses lèvres.

    C'est ça, elle m'héritait des applaudissements pour avoir appris le sens de la répartis. Sauf qu'elle n'avait pas encore les bons mots pour le faire flancher. Elle essayait juste de tourner la situation en sa faveur. Sauf qu'ils étaient deux et elle était toute seule. Johnny allait peut être se mettre à leur taper dessus en les insultant ? Idée rejeté. Johnny ne tapait pas les gens. Et si elle le faisait par colère, c'est qu'elle avait bu quelque chose d'illégale pour son âge...

    " Mais oui Neji-San ! On est super proche, j'ai même envi de lui sauter dans les bras pour la serrer contre moi ! Tu veux que je meurt de la peste ou quoi ? "

    Ah ben non, il n'était pas content du tout si elle détestait encore plus Neji que lui... Il allait perdre toute son image à l'école. Et ça c'était de long mois de travail balancé en l'air. Cela ne lui plaisait pas du tout. Akiyo haussa de nouveau un sourcil puis, alors qu'il se rendait finalement compte que les gens en avaient assez de contourner le petit groupe qui bouchait complètement le passage. Il décida de rester là, rien que pour aider Johnny dans sa quête pour trouver des gens susceptibles de signer sa pétition qui était tomber en morceaux. Prions pour les morceaux de papier qui jonchaient maintenant le sol... Avant qu'il n'ait pu inspecter convenablement les bouts de papier pour connaître le sujet de cette nouvelle pétition, Neji le sortit de sa rêverie pour le ramener à la réalité. Ah oui, il avait complètement oublier de lui rendre la pareil. C'est pas parce que c'était son pote qu'il allait se laisser marcher sur les pieds. Et puis, il regardait devant lui contrairement à son ami ! Il n'avait pas les yeux en face des trous, et ... Johnny ouvrit une fois de plus la bouche.

    " D'accord, tu peux pas la fermer deux minutes ? T'arrêtes pas de me couper quand je veux dire quelque chose. "

    Comme si elle était devin et qu'elle savait quand tu allait ouvrir la bouche. Non mais ça, Akiyo en avait rien à faire. Tant qu'il pouvait la faire taire pendant quelques secondes, tant qu'il pouvait engueuler convenablement son meilleur ami. Et après, okay, ils pourraient passer à l'étape suivante : faire suer Johnny. Le destin, il l'aimait autant qu'il le détestait. Notamment parce qu'il n'était pas d'humeur à voir une fille de sa classe, professionnelle pour trouver des leçons de morales en trente seconde, mais il aimait aussi le destin parce qu'il avait trouvé son meilleur ami. Ah, quels conneries allaient-ils faire ensemble encore ? Au bout de quelques secondes, il se tourna vers Neji :

    " Ouais, j'allais te dire quelque chose avant qu'on me coupe. Juste que t'as sérieusement besoin de lunette, dommage que t'es casser les siennes. Je suis persuadé qu'elle t'aurait été à merveille, pour la vue en tout cas. Tu dois avoir deux sur dix de chaque coté ! Cherche pas, c'est toi qui met rentrer dedans. Ah ! Mais t'es peut être bourré alors ! "

    Opération engueulade terminé, Neji pourrait la poursuivre, de toute manière Akiyo était capable de suivre deux conversations en même temps. Mais le plus important maintenant, c'était d'embêter Johnny >__< Il aimait la traumatiser, et son ami était là pour la rendre encore plus folle. Pourtant, même si sa camarade de classe en avait marre, elle n'avait pas l'intention de quitter l'école. Elle avait sûrement toujours rêver d'aller à Sakurai et qu'elle n'était pas prête à mettre les voiles. Tsss, Tsss, Tsss, mais sans Johnny, les jours de cours seraient tellement moins marrant. Alors, elle pouvait s'attacher autant qu'elle le voulait au mât du voilier...

    Akiyo s'éclaircit la voix, puis après avoir jeter un regard à son meilleur ami, suivit d'un petit sourire aux lèvres, il barra la route [encore] à Johnny. Elle allait peut être le bousculer, ou d'autres trucs dans le genre, elle allait peut être lui balancer les lunettes à la figure avec l'espoir de lui crever un oeil. Mais non... La taupe n'oserait jamais agir comme ça. Elle préférait faire la morale à de pauvres êtres inoffensifs. D'ailleurs. Neji n'avait sûrement pas apprécier la mini leçon de morale qu'elle lui avait lancé dans la figure.

    " Mais tu vas pas nous fausser compagnie... Notre superbe rencontre commençait tellement bien... Ah, aussi, tu veux qu'on t'aide pour te diriger chez ton papa ? Tu dois rien voir du tout sans tes lunettes ! "
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptySam 12 Sep - 10:51

    Akiyo : T'es conscient qu'elle est myope ? Elle va plus se retrouver après.

    Ooooh... Pauvre chou... Elle n'avait qu'à leur tenir compagnie, jusqu'à ce qu'elle craque et qu'elle décide de faire... Non rien <.<...
    & puis après tout, tant mieux si elle était myope, pourquoi ne verrait-elle plus sans celles-ci sinon ? Et puis ça pourrait être d'autant plus amusant, il ne s'était jamais défoulé sur des personnes portant des lunettes.. Enfin, il fallait surtout dire qu'il n'en voyait pas beaucoup en fait, pas dans les endroits où il se trouvait. De plus, elle n'avait qu'à s'en payer d'autres, de toute manières elles étaient affreusement laide. Soit elle n'avait pas de goût, soit elle n'avait pas d'ar...gent Oo... Non mais quand même, Neji pensait mal.. Enfin, quoi que, c'était totalement possible qu'elle soit pauvre... Il ne devrait donc pas rester à ses côtés, même pour la martyriser ou autre dans le genre encore, cela nuirait grandement à son image.

    Akiyo : Encore une pétition à la noix ? Je t'ai déjà dit qu'hurler ... Les gens s'en fichent. Et avec ton allure, ils préféreront t'éviter.

    Il venait de dire " encore " ou le coréen avait mal entendu ? Si c'était le cas, pas étonnant qu'elle soit pauvre. Ou peut-être n'était-elle tout de même pas pauvre en fait... M'enfin, c'était quasiment pareil si elle était entre les deux. Enfin, surtout pour Neji. Mieux vallait pour elle qu'elle apprenne à s'habiller, surtout si elle voulait faire signer ses pétitions à la noix, même si ça n'allait pas forcément changer quelque chose car rien qu'en voyant sa tête, ne parlons pas de l'accoutrement surtout, les gens ne voulaient qu'une chose : fuir. Elle n'était sans aucun doute pas une as pour ce genre de chose, mieux vallait qu'elle arrête, elle devrait plutôt avoir honte qu'autre chose... Pas pour la pétitions, mais pour elle, son look.

    Neji : Tranquille si elle est myope. Vaut mieux dire que les gens ne veulent que fuir en la voyant, plutôt. Et hurler avec sa voix, y'a que les thons qui viendraient à elle... Et encore ! Enferme toi tout simplement chez toi, ne sors plus, ça nous débarassera à peu près d'une idiote qui sert d'épouventail, surtout avec des lunettes comme ça... Enfin, comme tu avais, laisse tomber. Tu crains, tout simplement en fait.

    Bon, il avait été gentil, il fallait avouer mais bon. De plus, tout à l'heure, c'est à dire il y a quelques minutes, l'étudiant avait gentillement demandé à Johnny, comme on demande à un chien de chercher son os, de lui expliquer comment il conaissait son existance. Bon, d'accord... Il était célèbre, voilà tout, elle bavait sur lui et... c'était un vrai thon sur deux pattes, pas étonnant qu'elle tente de chercher dans les plus beaux, muhaha. Surtout qu'elle n'avait aucune chance d'avoir un être comme lui, et même pas dans une autre espèce, elle allait sans doute être avec l'un de sa famille, tellement semblables sans doutes ou une personne qui aurait pitié d'elle ou qui voudrait tout simplement assouvir ses envies. Enfin bref, elle n'aurait pas de chance dans la vie et Neji souhaitait pour elle qu'en rentrant, elle se face écraser par un bus ou je ne sais quoi d'autre encore et qu'elle y perde très vite la vie, dans d'horribles souffrances, ou autrement elle pourrait être brûlé dans un inscendit en essayant de sauver une mamie.

    Johnny : Quand je pense que... je ... je ne sais pas où est-ce qu'on t'as appris à casser les lunettes des gens mais c'est sûrement au royaume de la crétinerie. Redonnes les moi s'il te plait. Et vous avez sûrement des trucs plus intéressants à faire que boucher mon passage.

    Eh ben... Elle avait dû réfléchir longtemps pour dire ça, la pauvre, elle s'était creusé la tête pour rien. Et puis les lunettes, autant demander son chemin à un singe, elle ne les aurait pas. L'étudiant allait soit les piétiner ou bien tout simplement les jeter dans la première poubelle qu'il allait trouver... Peut-être aussi en profiter pour la mettre avec tout de suite, elle passerait même innaperçut dans celle-ci.

    Neji : Non mais tu crois peut-être que je vais te les rendre ? Tu comptes en faire quoi ? Tenter de me tuer avec les verres ? Eh bien c'est râté l'Horrible. Et puis, t'as pas loin pour rentrer, y'a ton p'tit chez toi à quelques mètres de chez toi... Tu vis dans la poubelle je crois. Si ce n'est pas le cas, tu dois vivre dans les égouts, parmis les rats ou quelque chose dans le genre, parce que côté accoutrement, y'a pas pire que toi, même les clochards sont mieux habillés.

    Gentil ? Oui tout à fait, comme d'habitude. Mais ce n'était réellement rien de méchant, rien que la vérité en fait. Bang, elle voulait partir ? Elle croyait peut-être que les deux meilleurs amis allaient s'en aller sans même avoir un peu rigoler ? Non mais elle rêvait éveillé celle-là ! Neji se dirigea vers l'une des poubelles et y mit la paire de lunette puis revint assez rapidement. Le coréen posa rapidement sa main dans la nuque de la jeune femme et fit en sorte qu'elle se retrouve à genoux à terre, mieux vallait qu'elle reste à son niveau.

    Akiyo : Mais tu vas pas nous fausser compagnie... Notre superbe rencontre commençait tellement bien... Ah, aussi, tu veux qu'on t'aide pour te diriger chez ton papa ? Tu dois rien voir du tout sans tes lunettes !

    Neji : Couché le chien. Tu croyais quand même pas que j'allais t'abandonner comme ça ? Même Akiyo.

    Il n'y avait rien de plus simple comme situation à vrai dire : une jeune femme qui se faisait emmerder et tout ce qui suivait par deux jeunes hommes, et voilà sa vie était déjà bien tracée. Si Neji la recroisait un jour, il n'irait sans doute pas s'excuser mais plutôt continuer ce qu'il avait déjà commencé, parce qu'il n'y a pas deux cibles comme elle, deux cibles aussi stupides n'existent pas. Soudain Soku se rappela de ce qu'avait dit son meilleur ami quelques temps au par-avant... Bourré ? Non, pas du tout ! Il n'avait que fait boire un peu en cours de route en fait, rien d'autre. Mais pas trop, ce soir il se rendrait sans doute dans un bar, comme chaques soirs, boirait, draguerait et... rentrerait bourré en se faisant engueuler par sa chère " soeur " comme si elle était sa mère.

    Neji : Bourré ? Non. T'inquiète pas pour moi, j'vois très bien ! P't'être bien que j't'ai foncé dedans mais t'es comme même le c*n dans l'histoire.

    Voilà, il avait répondu, à son tour ou non à présent, c'était comme il le souhaitait mais il fallait garder un oeil sur l'Affreuse, pour ne pas qu'elle tente de partir. De toute manière, elle serait simple à retrouver, si l'on entendait des gens râler à hautes voix, crier pour certains et l'insulter pour d'autre, c'était bien elle. Enfin bon.
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▍Statut Social : N'a pas à se plaindre.
▍État Civil : My heart is beating faster and faster.
▍Humeur : Confuse.
▍Citation : This is the b2st time to fly.

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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyMar 15 Sep - 21:18

Akyio lui barra le passage.

Encore un peu et elle était à deux doigts de le pousser et il fallut tout son self control à la jeune première année pour ne pas passer du côté obscur de la violence. Elle était à ça d’abandonner tous les préceptes qui avaient régis sa vie jusqu’à présent.

Jetant un regard noir à son camarade de classe, Johnny se souvint brusquement de la dernière fois qu'il l'avait énervé à ce point : quand ils s'étaient chopés les heures de colles pour samedi prochain. Et qu'est-ce qu'elle avait dit ? Qu'elle ne lui causerait plus.

«  Je ne veux plus jamais avoir à te parler ! » fit-elle d'un ton docte en remontant machinalement ses lunettes sur son nez.

Sauf que de lunettes, elle n'en avait malheureusement plus. Mortifiée, elle laissa retomber sa main et prit un air aussi distinguée que possible voyant du coin de l'oeil Neji se diriger vers la poubelle la plus proche pour jeter les lunettes en question.

C'était stupide vraiment mais sur le moment, la seule chose à laquelle Johnny pensa fut que Neji au moins ne les avait pas jeté par terre. A sa manière il avait été un minimum écologique. Ça et le fait qu'elle ne pouvait pas s'empêcher malheureusement de le trouver beau. De toute évidence, elle avait un grave problème parce que les deux garçons qu'elle trouvait les plus séduisants respectivement à Sakurai et à Todai étaient deux crapules de grandes envergures. On aurait été dans Robin des Bois, ils se seraient battus pour le rôle du Shérif de Nottingham.

Les mots de Neji étaient plus abrupts que ceux d'Akyio mais c'était dû à l'attachement qu'avait eu la jeune fille pour lui. Les attaques sur son physique lui étaient plus pénibles mais elle s'efforça de ne pas y prêter attention pour l'instant. Sans nul doute que tout reviendrait en boucle plus tard quand elle serait seule.

Tout de même, elle n'était pas si horrible que ça? Si? C'est vrai qu'elle refusait de s'habiller de marques et qu'elle ne portait pas de sacs Vuitton mais les gens ne s'arrêtaient tout de même pas à ce genre de détails?

Ses yeux la picotèrent quelques secondes et Johnny serra ses lèvres. Comment avait-elle pu être aussi aveugle à propos de Neji ? Ses baskets de prix ? Pff limpide pour peu qu'on y réfléchisse. Pareil pour ses airs de conquérants. Du vent.

Neji s'avança vers elle, une lueur désagréable dans l'oeil et Johnny ne put s'empêcher de reculer sur le moment. Tout du moins de tenter puisque l'Antéchrist était juste derrière elle. L'objet de son antique affection glissa une main autour de sa nuque et Johnny frissonna sous le contact jetant au passage un regard incrédule vers Akyio (parce qu'Akyio était finalement toujours là quand il lui arrivait quelque chose de vraiment bizarre et négatif).

La pression qu'exerça le garçon sur sa nuque arracha un cri de douleur à Johnny qui tâcha de retirer la main de Neji. En vain. Plus grand, plus fort et l'ayant prise par surprise, Neji obtint ce qu'il voulut : Johnny s'effondra sur le sol. Sachant pertinemment que sa peau allait garder les marques des doigts de Neji, Johnny releva un regard noir sur l'universitaire.

Que Gandhi aille au diable (ou voir Akyio, sic.)!

Tirant la main de Neji vers elle, elle parvint à la bouger de quelques centimètres: juste ce qu'il fallait pour le mordre au poignet.

Parce que quitte à être traité de canidé autant avoir les avantages qui vont avec.

Le geste eut le mérite de faire lâcher prise un quart de seconde Neji ce qui permit à Johnny de faire en sorte de glisser ses jambes pour former un arc de cercle suffisamment violent pour faire tomber le bougre. Malheureusement, elle n'avait pas assez de place pour la chose et le poids de Neji était bien trop conséquent pour qu'elle puisse tenter le moindre réel impact. Néanmoins, Johnny eut le loisir de se jeter sur le garçon et de lui tomber corps à corps dessus.

En d'autre temps, en d'autres circonstances, Johnny serait morte de combustion instantanée à imaginer une scène pareille. Corps à corps? wow. Sauf que présentement, elle haïssait tellement Neji que si elle avait pu lui dégobiller ses yeux avec ses doigts, elle l'aurait fait. Pas sis wow que ça. Et exit les conseils éclairés du Che. Adios la philosophie de Gandhi.

«  Espèce de sale petit... comment oses-tu poser la main sur moi! T'es une raclure! Un pauvre type avec des baskets à la noix! Tu me fais vomir! Je vais te traîner en justice. Ma mère va te faire coffrer pour au moins 50 ans! »

Chaque mot était accompagné d'un coup ou encore d’une griffure. Évidemment, Johnny qui n'avait jamais été habitué à la violence, n'avait pas une force incommensurable et il est probable que tout ceci soit pure chatouille pour Neji. Et seul le fait qu’elle soit collé à lui comme un bigorno à son rocher expliquait que Neji n’ai pas pu lui balancer une gifle qui l’aurait fait valser de l’autre côté de la rue.

Jo s'arrêta et se rejeta violemment en arrière ( soit Neji l'avait poussé, soit Akyio l'avait tiré en arrière, elle n'en avait pas la moindre idée à l'heure actuelle), en forme assise sur l'asphalte, les jambes en M sur le sol. Tout s’était passé très, trop vite et des gens s'étaient à présent rassemblés autour des trois jeunes gens chuchotant des trucs incroyables du genre "querelles d'amoureux" ou encore " de toute façon y'en a marre des gens de Greenpeace qui viennent nous casser les pieds, il a bien fait" etc.

Les cheveux défaits et son gilet vert à moitié enlevé à présent, Johnny regarda Neji sentant que cette fois-ci, elle ne pourrait pas retenir ses larmes. Qu'il ne s'imagine pas qu'elle pleurait pour lui surtout!

Elle aurait bien aimé que Kira vienne la chercher mais elle savait aussi que ce dernier avait une règle d'or: lorsque l'un des recruteurs rencontraient un ou des amis (ah ah la bonne blague!), on le laissait tranquille et on partait sans lui. La personne viendrait faire son rapport hebdomadaire la prochaine fois.
Néanmoins un policier, rond comme une bille, fendit les curieux autour d’eux trois et regarda sévèrement la scène. Trouvant sans doute qu’Akyio était le plus sain du groupe (tout du moins c'était le seul debout), c’est vers lui que se tourna l’officier.

«  C’est quoi tout ça? Vous perturbez l’ordre public! » fit-il d’une voix supérieure comme s’il parlait à un morveux (probablement ce qu’il était en train de se dire d’ailleurs).

Johnny sécha ses larmes d’un geste rapide. La dernière fois que Kisetsu s’était adressé à une figure autoritaire, ils avaient terminés tout les deux avec des punitions. Johnny ne savait pas quel était le problème de son camarade de classe mais il ne supportait pas les ordres qu’elles qu’ils soient et d’où qu’ils viennent.

Pourvu que le policier n’en donne pas.
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyVen 25 Sep - 19:59

    À ce rythme là, cela risquait de finir en bain de sang. Tant mieux, Akiyo aimait ce genre de film, sauf qu'être dedans n'était pas trop à son goût. Vaut mieux dans ce genre de scène être spectateur tout simplement, voir même retourner sa veste même si ce n'est pas trop son genre... Hm ~ Retourner sa veste face à la myope ? Surtout pas, il n'avait pas spécialement envi d'être sympathique avec elle, même si au fond (vraiment tout au fond du gouffre hein) il l'appréciait un peu pour sa jugeote et sa maîtrise de la langue nippone lorsqu'il s'agissait de faire la morale, elle restait un boulet à ses pieds. Se lier d'amitié à un boulet, c'était proclamer haut et fort qu'on n'était pas capable d'avancer. Il faut toujours piétiner les autres pour atteindre le haut de la pyramide, c'est bien connu... ! Le jeune Kisetsu poussa un profond soupire lorsqu'à nouveau, Johnny exprima sa rage. Neji se prenait des sacrés vagues dans la figure, mais évidemment, cela ne lui faisait ni chaud ni froid. La Wakabayashi aurait dû le prévoir, mais s'en aller comme si de rien était, restait une très mauvaise idée. Pour une fois qu'il tombait sur un super amuse-gueule... ! Akiyo n'avait pas l'intention de lui lâcher la grappe, et Neji était aussi tenace que lui. Deux mauvaises herbes qui n'arrêtaient pas de repousser, même en les arrachant à la racine. Ben oui ducon, il y a les semences... Et le pire, c'est que des individus comme Neji & Akiyo se multipliaient de plus en plus. Le Japon allait être envahi par des envoyés du Diable aurait dit Noriko. Yeah ~ Et la puissance démoniaque allait s'écraser sur de pauvres êtres stupides. Il n'y a qu'à regarder les membres de sa liste de noire. De parfait boulet.

    Puis, finalement, toute cette fureur fut tourné vers lui, elle précisait qu'elle n'avait plus jamais avoir à lui parler. Ah, la bonne blague. Il suffisait qu'il lui dise un truc pour qu'elle se braque et s'emporte. Ces temps-ci, il était de moins en moins sympathique avec elle (enfin, c'était pire qu'avant on va dire) puisqu'il y avait ces quatre heures de colles qui dansaient au dessus de leur tête. S'il pouvait tout faire pour qu'elle vienne pas, parce que pour qu'il ne fasse pas ces heures de colles de son coté, il lui faudrait quitter le pays. Merci au surveillant gueulard pour avoir appeler son père, franchement... Cela donnait des idées à notre jeune nippon pour faire d'avantage enragé le surveillant : ce dernier allait vraiment devenir fou, et avec un peu de chance, quitter l'école. Pour laisser la place à une surveillante issue du métier de mannequin... Admettons. Un petit sourire malicieux étira les lèvres du petit démon alors qu'il renvoyait à la demoiselle qui remontait des lunettes invisibles sur son nez (les tics des binoclards, c'était vraiment pathétique...) :

    " Je te signale, boulet Number One, qu'on a des heures de colles ensemble... Grâce à ta pétition à la con, alors bon... Sauf si tu parles au mur ou à la chaise, je vois pas comment tu pourrais rester muette... Tu parles tellement. "

    Comme ça c'était fait. Elle n'avait quand même pas oublier les heures de colle ? Surtout une intello de service comme elle ! Louper des heures de cours ? Jamais ! Alors louper des heures de colle, pour cette taupe, c'était impossible. Malheur... Faites qu'elle se fasse faucher par un bus en arrivant à l'école. Dommage que dans le secteur, il n'y ait pas de bus à proximité. D'accord, c'est mal de penser à un accident, mais mine de rien, qui n'y a jamais penser ? Après, il y a toujours des exceptions : ceux qui ont fini en légume quoi... C'est à peine s'ils arrivent à penser. Bref, là n'est pas le sujet. Alors que le première année venait d'achever sa phrase, Neji n'hésita pas à rajouter du nutella (miam) sur la tartine : ce qui ouvrit les hostilités. Déclaration de guerre déclaré. Apparemment, Neji faisait beaucoup plus de dégâts psychologiquement sur la demoiselle puisque jamais elle ne lui avait sauté dessus (super, gozilla sur moi) pour le ruer de coup. Franchement, le spectacle était fascinant. Mais il ne bougea pas le petit doigt pour venir aider son meilleur ami, c'était lui qui s'était foutu dans sa propre merde, et puis c'était quand même une fille... Alors bon, Neji se faire ridiculiser par une donzelle, c'était vraiment un spectacle hilarant ! Et à ne pas manquer ! Si seulement il avait pu placarder des affiches dans toute la ville pour attirer du monde, d'autres auraient apprécié aussi le spectacle à leur juste valeur ! Pas comme ces boeufs qui regardaient les adolescents d'un air outré. Et bien sur, il avait fallu qu'un flic se ramène juste au moment où cela commencer vraiment à être intéressant ! De toute manière, Akiyo n'aurait rien fait, même si cela aurait fini dans un bain de sang. C'était l'affaire de Neji, et la dignité d'un mec, c'est précieux. Pourtant... Il avait fallu qu'un autre boulet rapplique... Pour lui poser directement la question : C'est vrai qu'à coté de ces deux machins sur le sol, il avait l'air d'un ange. Les apparences sont souvent trompeuses. Hé ho, t'es flic non ? Tu devrais le savoir ça ! Les méchants sont souvent ceux qui ont l'air les plus sympathiques !

    En fin de compte, Akiyo resta de marbre pendant quelques secondes avant de tourner lentement la tête vers l'imbécile qui n'avait de plus qu'eux, que son uniforme (et même pas de médaille... pfff) laissant un petit sourire malicieux étiré sa gueule d'ange. Ouais, ça c'était un ordre, on sentait l'autorité dans sa voix. L'homme voulait juste se faire remarquer et faire croire qu'il était doué pour rétablir l'ordre. Ce n'est pas en donnant des ordres à des adolescents qu'on parvient à les remettre à leur place : sinon la nature humaine n'existerait pas. Tout le monde serait beau (comme Neji&Akiyo) et tout le monde serait gentil. Tout le monde obéirait aux lois, tout le monde s'embrasserait avec amour. En faite, on serait tous Peace and Love. Le seul hic, c'est qu'on serait tous pareil... Et ça, ça ne lui plaît pas du tout...

    " Écoutez Monsieur. Comme vous pouvez le constater... Il y a une petite bagarre, et mettre votre grain de sel ne fera qu'emmerder toute cette masse de gens avide de sang. Parce que, tout le monde est attiré par ce genre de chose : même s'ils disent que ça les écoeure. Et vous êtes pareil. Sauf que vous voulez montrer une insigne invisible pour dire que vous êtes là pour nous botter le cul. Franchement, prendre des vacances et nous foutre la paix nous ferait grandement plaisir... "

    En gros, ce qu'il voulait dire, c'est qu'il ne supportait pas les flics et que ce genre d'ordre que venait de donner ce dernier lui faisait vraiment trop penser au surveillant de l'école. Alors, vous comprendrez parfaitement que notre nippon avait beaucoup de mal à retenir ses propos. Et depuis quand Akiyo ne dit pas le fond de sa pensée ?

    Mais en toute honnêteté, Akiyo aurait bien aimé voir le petit duel se poursuivre. Il aimait voir comment son meilleur ami s'en sortait au corps à corps. Au faite, peut être que Neji aimait se faire rabattre le caquet par une fille ? Surtout une chose qui avait de la mousse à la place des bras. Le flic par contre, n'allait pas être pour laisser tranquille les trois adolescents. Mais Akiyo se fichait pas mal de ce qui allait arriver par la suite, il jeta juste un regard aux deux jeunes gens. Johnny ne serait peut être pas heureuse de se retrouver au poste de police : Mais peut être arrivera t-il, avec Neji, à se sauver avant de se retrouver temporairement derrière les barreaux pour avoir troubler l'ordre public ?
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptyJeu 29 Oct - 20:29

    La pression qu'avait exercé le coréen sur la jeune femme l'avait fait s'écrouler par terre, ce qui dessina un léger sourire satisfait et moqueur sur le visage de celui-ci. Voir une jeune femme céder aussi facilement sous la pression d'une main et se retrouver par terre avait quelque chose d'hillarant selon lui. N'avaient-elles réellement pas assez de force pour rester debout ne serait-ce que quelques secondes ? A voir La japonaise, non. Elle devrait s'exercer, ça ne devrait pas lui arriver qu'une seule fois dans sa vie, surtout pas si Neji était dans les parrages, sachant à présent qu'elle ne résistait pas, il recommencerait avec grand amusement. Que croyez-vous ? Qu'il se passerait de voir un tel spectacle ? Vous vous mettez le doigt dans l'oeil là, et bien profondément dirons nous. Croire une chose pareil, c'est croire qu'une libellule va vous manger, ou qu'un enfant de deux ans viendra à vous pour essayer de vous tirer dans son lit. En gros, c'est impossible. Croyez-vous réellement à des faits si improbables que ça ? Et si vous alliez faire un tour dans un hôpital psychiatrique pour voir le résultat ? Ils n'hésiteront pas à vous interner je suppose.

    Soudain, Neji sentit des dents faisant pression à son poignet, après avoir été tiré légèrement en avant par la jeune femme. S'était-elle réellement transformée en animal ? Ce n'était même plus un animal domestique, juste un animal bon pour la fourrière ! Néanmoins, cela suffit pour que Neji dégage sa main de la nuque de la première année, un léger, mais très léger, cri s'échappa de sa bouche. Ce n'était pas un cri de douleur, mais plutôt un cri de haine. Comment avait-elle put oser mordre le coréen ?! Pour qui se prenait-elle réellement ? Souhaitait-elle combattre le mal, comme dans l'une de ces séries télé avec aucun sens, réellement ? Où le mal perdait forcément ? Qu'elle aille voir ailleurs... Enfin non, ironie du sort, l'un des deux l'a rattraperait, puis ils l'a coinceraient à nouveau, pour s'amuser encore et toujours. Avec des personnes comme elle, la vie pouvait être belle pour le diable, elle ne lèverait jamais la main sur lui. Et si elle le faisait, celui-ci ne sentirait que les pattes d'une mouche se ballader sur lui. En d'autre therme, vu sa petitesse et le fait qu'elle avait l'air squelettique, elle ne devait pas avoir grand chose comme force. Même une fourmis réussirait à la mettre KO, je vous le dis !

    Et puis, quelques secondes après cette scène, et surtout après avoir lâché la demoiselle, le voilà qu'il se retrouvait par terre, avec un gorille sur lui. Combien d'animaux allait-elle encore nous faire maintenant ? Le chien, ensuite le gorille, et après, ce serait quoi, hein ? Qu'elle aille voir un médecin... Ou plutôt un vétérinaire, qui était sans doute ce qui lui allait le mieux vu son comportement actuel envers lui. Et la voilà qui se mettait à lui donner des coups et à le griffer. N'était-ce pas elle sur qui elle devait taper ses poings minuscules ? En tant que bon gorille, c'est bien ce qu'elle devrait faire. Dans tout les cas, elle avait la tête, et l'allure de ce dernier. Regardez plus tard sa façon de marcher, et ses vêtements trop larges pour elle. Vous n'aurez qu'une envie : Appeler le zoo le plus proche pour dire qu'il y a un animal en liberté dans les quartiers de Tokyo, puis une autre personne affirmera avec plaisir votre découverte. Vous empocherez sans doute une bonne somme pour avoir retrouvé le gorille qui venait juste de s'échapper de sa cage lorsque l'homme qui devait s'en occuper, avait ouvert celle-ci. Lui l'avait poussé avec violence et s'était échapper à toute vitesse... Du moins, le plus vite qu'il pouvait, en tentant de se déguiser pour que personne ne le reconnaisse, sauf qu'avec tout ces poils, il ne passait pas innaperçu.

    Johnny : « Espèce de sale petit... comment oses-tu poser la main sur moi ! T'es une raclure ! Un pauvre type avec des baskets à la noix ! Tu me fais vomir ! Je vais te traîner en justice. Ma mère va te faire coffrer pour au moins 50 ans ! »

    Ces paroles firent sourire et ricanner le coréen. C'était réellement tout ce qu'elle avait pu trouver à dire à son sujet ? Alors qu'il y avait tellement de choses à raconter, rien que pour l'engueuler (même si cela le faisait toujours rire, n'allez pas chercher pourquoi, voir les autres tenter de s'en prendre à lui pour se venger en l'insultant, c'était hillarant. Le problème, c'est qu'ils ne savaient pas faire, et que donc, cela n'aboutissait à rien, à part parfois à un fou rire du jeune homme, qui était incompréhensible pour les autres, mais bon.). Elle aurait sans doute put dire beaucoup plus de choses. Et le traîner en justice ? Qu'elle fasse seulement. Ca ne serait que plus marrant que la scène qui était en train de se dérouler présentement. Puis, s'il la faisait réellement vomir, si elle ne voulait pas qu'il pose sa main sur elle, s'il était réellement une raclure, pourquoi était elle maintenant à califourchon sur lui ? Même si ce n'était que pour tenter de lui faire regretter ses faits et gestes, elle n'arriverait à ne faire que quelques traces, que Neji oublirait dans les minutes qui suivraient. Néanmoins, le coréen n'hésite pas à ouvrir sa bouche pour lui faire remarquer tout cela.

    Neji : « Si c'était réellement le cas, pourquoi es-tu sur moi maintenant ? C'est donc la seule approche que tu ais trouvé ? Ton cerveau ne doit pas être très grand, et il ne doit y avoir que le stricte nécessaire à l'intérieur. C'est à dire : Des pensées inutiles, ha. Puisqu'elles sont bien nécessaires pour te faire fonctionner. Après, tu n'es rien qu'une ado en chaleur qui espère se faire dépuceler par un homme comme moi. »

    Suivit de ces paroles, Neji l'a repoussa violemment en arrière. Si c'était bien cela qu'elle espérait, qu'elle aille voir autre part, il n'avait nul envie d'être une nuit entière pour dépuceler un épouvantail, ce qui n'était même pas excitant. Pas même le minimum. Qu'elle trouve quelqu'un d'autre, il y en avait tant, qui eux n'arrivaient pas à se dégotter une femme parfaite comme le fait Neji, bien que pour la plupart ce soient des chieuses profondes, et qui accepteraient une mochetée dans leur lit, rien que pour leur plaisir personnel, leur égo qui n'attendraient que ça. Beaucoup d'hommes se fichent de la femme, ou jeune femme, avec qui ils sont pour une soirée, mais ce n'était malheureusement pas le cas de Neji, surtout pas avec l'Affreuse. Puis, cela faisait un bout de temps que l'universitaire aurait put repousser la jeune femme, mais son côté maso était sans doute revenu, et il appréciait quelque peu de se faire taper par une femme. Sauf que, lorsqu'on voit la tête de Johnny, on a nul envie que cela continue, ne serait-ce que quelques minutes, voir même quelques secondes.

    Le jeune homme observa Johnny droit dans les yeux, quelques instants, ce qui n'aurait pas suffit à une personne pour se dire qu'elle avait l'air d'un épouventail dans cet état-là, bien pire que précédemment, lorsqu'ils s'étaient rencontrés. Enfin, vous parlez d'une rencontre ! Elle avait été catastrophe, mais cela commençait à devenir une habitude pour Neji, et il ne dirait pas qu'il n'appréciait pas, étant donné que ce ne serait malheureusement pas la vérité. Il vit soudain les yeux de la jeune femme devenir de plus en plus brillant. Sa mine laissait penser qu'elle allait pleurer, que ses larmes allaient couller sur ses joues comme une fontaine. Allait-elle innonder la rue ? De plus, pour quoi pleurait-elle ? Elle était triste ? Intéressant à savoir tout ça ! Neji se ferait une joie d'enfoncer le clou plus profondément, ce ne serait que plus marrant que si elle pleurait seule, sans l'aide de quelqu'un. Que croyez-vous ? Que Neji avait un coeur ? Bien évidemment qu'il en avait un, mais seulement pour ses proches, comme pour Akiyo. Enfin, il devait être la seule personne à avoir un minimum de respect de la part de Neji, comme Sun Hee. Ne disons pas Miki, étant donné que cette dernière, il s'en fichait légèrement. En allant voir ailleurs, il avait découvert qu'elle n'était pas si bien que ça, en fin de compte. Et il commençait à croire que le céliba était bien mieux qu'une vie en couple, qui devrait être quelque chose de joyeux, selon de nombreuses personnes. Ha, la bonne blague. Miki n'était rien d'autre qu'une cocue, en fin de compte. Et en voyant l'état de Kiyo, il n'avait pas l'air d'être réellement malheureux de ne pas avoir de copine. Mais ce qui était tout de même bien plus amusant que le céliba, c'était d'être en couple, et d'agir comme un parfait célibataire. Aller voir ailleurs à n'importe quel moment et regarder les fesses des belles jeunes femmes tout en étant en compagnie de sa copine, c'était agréable. En fin de compte, lui n'était pas coincé. Mais il fallait savoir s'y prendre, faire comme si de rien n'était lorsqu'il en trouvait une autre, et ne pas le montrer à sa copine le jour d'après lorsqu'ils se revêraient et qu'ils feraient penser au couple parfait, alors que ce n'était pas le cas. Ah la vie est belle !

    S'il ne s'était pas retenu pour crier sur la personne qui venait d'interrompre ce moment parfait, Neji se serait sans aucun doute retrouver dans une belle petite camionette. Eh oui, un policier, du moins il y faisait croire, avait coupé Neji lorsqu'il avait voulu dire des méchancetés à la mochetée qui se trouvait quelques mètres en face de lui. L'étudiant lança un regard noir vers l'inspecteur de police qui venait de fendre la foule, en une parfaite parallèle. Après quelques secondes, et surtout après avoir vu les formes de cet homme, Neji se retint de rire. Observez le ! Il était tellement rond, il allait exploser d'un moment à l'autre. La seule chose que Neji avait envie de crier, était une chose tellement étrange, qu'il se retint de le dire, pour une fois. Sauf que, après un certain temps de réflexion, en pensant que cela serait sans doute assez marrant de voir la réaction de ce dernier, l'ex Jae Soo ouvrit sa bouche.

    Neji : « Faites attention mesdames et messieurs ! Alerte à la bombe, allez tous vous cacher, et que ça saute !... Bonjour Mr l'inspecteur... Pardon, bombe humaine (: ... Si vous pensez que l'on perturbait l'ordre public eh bien... C'est vrai. Enfin, disons plutôt que ce n'est la fautre que d'une seule et unique personne. Observez la femme... Du moins, l'adolescente, qui se trouve là-bas, en train de pleurer ! Que croyez-vous qu'elle est ? Même si elle a un visage d'ange, elle tentait de me voler mon argent ! Moi, pauvre homme que je suis, me serais fait raquetter par une plus jeune que moi ? Hors de question, je n'ai pu que me défendre et l'envoyez valser un peu plus loin là-bas, comme vous avez pu vous en rendez compte précédemment. De plus, elle s'est jetée sur moi comme un lion le ferait sur une proie, puis elle s'est prit pour Gozilla, ou King Kong, comme vous souhaitez. Et enfin, a tentée de m'assomer avec sa force de mouche ! Vous y croyez, ça, Monsieur La Bombe ? Oh... Mais attendez ! Vous avez perdue votre beignet ! Regardez derrière vous, un enfant veut le ramasser ! Dépêchez-vous ! Vous ne le voulez plus, c'est ça ? Ne laissez pas cet enfant devenir comme vous, car vous, vous exploserez bientôt vu le ventre que vous possédez. Vous devez aussi peser bien plus qu'une voiture, au moins deux tonnes, tel un 4x4 ! Et puis, je suis certain que si vous deviez courir après un voleur ou une autre personne dans le genre, vous n'iriez pas plus vite d'un escargot. Donc, arrêtez de faire comme si vous êtiez de la police, alors que ce n'est pas le cas, tout le monde l'a déjà remarquer, Mr Bille. Ah mais attendez ! Vous n'avez pas des collèguse qui vous ressemblent ?! ... ... Ah pardon, je viens de me souvenir que ce n'était que les billes d'un jeune garçon innocent qui s'est fait raquetter l'une de celles-ci devant mes yeux, l'autre jour. Soyez rassuré, je n'ai absolument rien fait pour l'aider, il n'en valait pas la peine. Et je pense que vous auriez fait pareil, n'est-ce pas ? »

    S'il cherchait l'inspecteur ? Bien sûr que non, tout cela n'était que des faits réels. Et il n'y a, bien évidemment, que la vérité qui blesse, rappelez-vous en ! Sérieusement, en plus de ses horribles formes, et de toute la graisse qu'il trimballait partout avec lui, son visage était une véritable passoir ! En fin de compte, après réflexion (à nouveau, oui), Neji en conclua qu'il risquait de passer quelques temps au poste de police en compagnie des deux jeunes gens. Et cela pourrait être fortement marrant ! Akiyo qui, en fin de compte, avait sans doute était prit pour un ange malgrés son discours, et l'officier qui goberait totalement les salades à Neji si personne ne disait quoi que ce soit à propos des faits et gestes des deux jeunes, sans dire que Neji l'a fait s'écrouler par terre avec un grand sourire amusé aux lèvres, Johnny serait la raquetteuse et Neji le pauvre homme raquetté, celui qui n'a jamais rien demandé à qui que ce soit. Ou peut-être que ce ne serait pas le cas, et qu'en fin de compte, ils n'attérissent nul part, juste un petit avertissement pour eux. Dommage, réellement dommage dirais-je. Ou bien même que La Bille découvrirait la vérité ; que Kiyo et Neji n'étaient rien que des emmerdeurs de premières classes, et que Johnny était en fait celle qui s'était fait prendre au piège et qui s'était fait cassé les lunettes par le grand méchant loup. TaTaTaa. Aller, pour une fois, Neji espérait se retrouver chez le policier. Rien que penser à cela l'excitait déjà. Ca avait quelque chose de fortement tripant d'être au poste de police, avec son meilleur ami et l'une de leur victime. Vous ne pensez pas ? Eh bien moi si, et l'idée ne changera certainement pas. Et encore une fois, il ne put se retenir de parler. Sauf que cette fois-ci, les paroles étaient adressés à Akiyo.

    Neji : « Je pense qu'une nuit à l'hôtel te tente, n'est-ce pas ? Les chambres ont une vue superbe sur le bureau d'une Bille en plus ! Je suis sûr qu'on arriverait même pas à compter le nombre de Donuts qui se trouvent là-dessus. Et ça nous occuperait même. Ou on commande deux belles nanas, 'doit y en avoir, ou sinon c'est possible. Si on lui en paie une, hein ? Aller, ouvre ta gueule, tout le monde sait que t'es un fana de ces hotels, tout comme moi d'ailleurs.. Et l'ado en chaleur ça doit être pareil, elle a jamais visité un truc du genre, et ça lui fera des pieds de compter les Donuts. Au moins elle arrêtera de jacasser pour dire des trucs inutiles sur sont truc de merde. Je sais même plus ce que c'est, tu vois. A mon avis ça sert à rien. »

    Les voix des gens s'élevèrent rapidement dans la rue de Tokyo, du moins, disons plutôt autour des trois jeunes. Certains disaient que le coréen avait totalement raison à ce sujet, que GreenPeace était une chose totalement futile, et qu'ils devraient arrêter de faire de la pub pour ça, alors que ça n'intéressait strictement personne. D'autres disaient que l'écologie était ce qu'il y avait de meilleur, le meilleur sujet, et qu'ils étaient totalement fan de GreenPeace. Autant dire qu'ils n'étaient que très peu, ou plutôt que ce n'était rien d'autre que deux femmes avec une allure de pauvre. Elles devraient apprendre à s'habiller, ou elles n'avaient réellement pas d'argent. Ou peut-être était-ce de la famille à la première année, Haha. A présent, Neji n'attendait plus d'un réflex de Johnny contre ce qui était en train de se passer, et une réplique de son meilleur ami. Avaient-ils le même rêve ? S'envoyer en l'air dans une cellule ? Mais certainement pas avec l'adolescente en chaleur, Haha.
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Johnny Wakabayashi

Johnny Wakabayashi


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▍Classe : Déléguée de la 1ereA
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We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] Left_bar_bleue20/100We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] Empty_bar_bleue  (20/100)
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MessageSujet: Re: We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ]   We're the same... Or not ! [ Feat Akiyo Kisetsu and Johnny Wakabayashi ] EmptySam 21 Nov - 3:05

« Écoutez Monsieur. Comme vous pouvez le constater... Il y a une petite bagarre, et mettre votre grain de sel ne fera qu'emmerder toute cette masse de gens avide de sang. Parce que, tout le monde est attiré par ce genre de chose : même s'ils disent que ça les écoeure. Et vous êtes pareil. Sauf que vous voulez montrer un insigne invisible pour dire que vous êtes là pour nous botter le cul. Franchement, prendre des vacances et nous foutre la paix nous ferait grandement plaisir... »

Boucle-là Kisetsu... boucle-là...

Johnny regardait avec une intensité confinant au vaudou son camarade de classe. Blablabla BOUCLE LA !

Évidemment, roi des crétins ne pouvait pas s'empêcher de l'ouvrir (ce serait trop facile). En plus il avait un vocabulaire déplorable. Kisetsu et sa bêtise eurent néanmoins l'attrait de détourner momentanément l'attention de la jeune fille de Neji. Et pourtant il fallait le reconnaître : Akyio il était un peu comme Tétris. On pouvait le revoir trouzemilliards de fois : il restait toujours aussi prise de tête.

Néanmoins, là, il avait trouvé un concurrent de poids.

« Si c'était réellement le cas, pourquoi es-tu sur moi maintenant ? »

La voix presque chantante et pleine d’assurance de l’universitaire fit tourner légèrement la tête à Johnny (dans tout les sens du terme ? hum hum).

« Pardon? » ne put-elle s’empêcher de demander le souffle encore un peu court.

Il n’allait tout de même pas suggérer le fait qu’elle cherchait à être proche physiquement de lui non? Il ne voulait pas qu’elle lui chante « Père Castor sois hardcore » non plus?

« C'est donc la seule approche que tu ais trouvé ? »

Ah si.

Il ose.

Le visage de Johnny se ferma complètement dans un silence éloquent, prenant une teinte marbrée.

« Après, tu n'es rien qu'une ado en chaleur qui espère se faire dépuceler par un homme comme moi. »

La gifle partit toute seule mais la main de la jeune fille ne fit qu’effleurer le visage de Neji. Néanmoins, Jo resta un bref instant choqué par son propre geste. L’universitaire ne semblait même pas avoir remarquer la chose et avait son air sempiternellement satisfait. Elle le vit ensuite, imperturbable, se lever et haranguer la foule mais ne preta à aucun moment une attention particulière à ses mots.

Des pensées chaotiques se mélangèrent dans l’esprit de la lycéenne. Elle l’avait frappé avec la ferme intention de lui faire du mal. La colère était en train de retomber pour laisser place une seconde fois à un vide intersidérale. Sans compter que le doute subistait. Il la dégoutait. Evidemment. C’était un sisnitre imbécile du genre à qui on lance des chewing-gums mâchés aux fesses. Il n’y avait pas à chipoter là-dessus. Mais c’était tout de même aussi quelqu’un dont la simple présence accelérait son pouls.

Tu parles d’un cadeau physiologique!

La violence attirait la violence. Johnny aurait du partir dés le début de cette histoire. Même si ce qu’ils avaient dit étaients blessants. C’était leurs problèmes pas le sien. C’était comme ça qu’elle tenait à Sakurai déjà. En plus, elle savait parfaitement que ça ne servait à rien de tenir tête à ce genre de zouaves. Y’avait qu’à regarder le désastre qui se créait à chaque fois qu’elle était dans le même perimètre qu’Akyio.

Limite Shaun of the dead. Qui est-ce qui avait du se décarcasser pour trouver des colliers? Qui avait du faire les cartons? Qui avait du subir les remontrances des pimbêches du lycée? Bibi.

Conclusionnage? Kisestu: 1 - Johnny: 0. Saleté va è___é!

« Je pense qu'une nuit à l'hôtel te tente, n'est-ce pas ? »

Neji s’était tourné vers l’antéchrist tandis que le policier prenait Johnny par le bras pour la hausser debout.

«  C’est de la blague? » intervint la jeune fille, trop surprise pour essayer de se débattre.

« Les chambres ont une vue superbe sur le bureau d'une Bille en plus ! Je suis sûr qu'on arriverait même pas à compter le nombre de Donuts qui se trouvent là-dessus. Et ça nous occuperait même. Ou on commande deux belles nanas, 'doit y en avoir, ou sinon c'est possible. Si on lui en paie une, hein ? »

Ah mais parce qu’en prime c’était un obsédé sayssouelle? Johnny regarda d’un air incrédule Neji et à vrai dire le policier en faisait tout autant avant de se mettre à houspéter dans sa barbe qu’il n’y avait plus de jeunesse.

«  Tout les trois au Poste! On va appeler vos parents vous ferez moins les malins! »

Johnny releva son fin visage en une attitude de défi vers le policier. Elle le voyait flouté (comme à peu prêt tout depuis que l’autre mariole lui avait fichu en l’air ses lunettes) mais ce n’était pas une raison!

« Ce n’est pas du tout déontologique de nous dire ça. C’est comme si vous disiez que nous sommes coupables de quelque chose or ce n’est pas le cas. C’est juste qu’ils sont stupides. » fit-elle en esquissant un vague geste vers les deux garçons. « De plus si quelqu’un doit etre emmenés au Poste c’est Nej... Soku. »

Johnny s’arreta une seconde puis reprit.

«  C’est Soku vu qu’il a cassé mes lunettes. D’ailleurs,  tu te dois de me les rembours... »

Le discours de Johnny s’acheva là tandis que le policier passablement agacé par les trois adolescents rouspéta de plus belle.

Ouais ok: ils allaient finir au Poste. Pas d’échappatoire.

Rien à carrer. C’était dans ces moments là qu’il était ultra cool d’être une Wakabayashi. Ils s’imaginaient quoi tout les trois? Qu’elle allait se mettre à pleurer? Qu’elle allait se faire enguirlander? Que ses parents allaient croire ces deux garçons au lieu de la croire elle? Alors qu’elle était en plein job pour la société pour laquelle travailler son père?

Sérieusement?

Le doigt dans l’oeil jusqu’à l’orteil voir au-delà!

Le choc de la révélation de qui était Neji avait été gigantesque mais le bon vieux dicton s’avérait plus ou moins exact: ce qui ne tue pas rend plus fort. Ce n’était pas terminé et Johnny en avait conscience. Elle en ressentirait les effets un peu plus tard tant moralement que physiquement.

Mais là, pour le coup, elle était sûre d’elle.

Elle était vraiment à deux doigts de balancer un « même pas cap » aux deux démons. Juste parce que.

Ils pouvaient appeler ses parents tranquille: ils seraient du genre trés fieres de savoir que leur fille soit en garde-à-vue de 24h à la suite d’une demande de pétition.

Et toc!

De toute façon ils ne seraient pas dans la même cellule vu que ce n'était pas mixtes. Double crétins.


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