| | | Tu t'assoie et tu te repose un peu. | Akiyo |  |
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Keiko Matsumoto
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|  Sujet: Tu t'assoie et tu te repose un peu. | Akiyo Dim 18 Oct - 15:19 | |
| Une matinée de cour ainsi qu'une après midi vous me direz c'est tout a fait normal pour une lycéenne après tout, après avoir terminer les cours comme tout les Jeudi la jeune fille part a son cour de violon, instrument qu'elle joue depuis ses dix ans sa passion pour le violon était mal partit pour temps au début car c'était ses parents qui l'avaient forcer a jouait de cette instrument, instrument qu'elle trouvait totalement nul quand elle avait dix ans et ben oui il faut dire qu'elle va d'autre chose a faire que de jouer de ce foutu violon du moins c'est ce qu'elle avait dit au début mais peut a peut elle avait commençait a l'aimer cette instrument et quand fut venu la nouvelle année, elle supplia ses parents pour continuer les cours c'est pour vous dire. Alors depuis maintenant six ans la jeune fille joue de cette instrument et nous pouvons même dire qu'elle en joue très bien. Elle avait dut avant de partir a son cour passait chez sa grand mère pour y prendre son violon et pour y poser ses affaire, quel chance la vielle femme n'était pas la il faut dire qu'en ce moment c'était pas la joie entre les deux pour x raison la vielle voulait que sa petite fille quitte sa maison et fessait donc tout pour que Keiko pète un plomb mais malheureusement pour ce plan ne marchait pas du tout bien au contraire sa faisait bien rire Keiko enfin bref elle déposa son regard sur l'horloge cinq heure est demie oh la elle allait être en retard si sa continue comme sa c'est pourquoi la jeune fille après avoir bien refermer la porte partit a toute vitesse vers le centre de Tokyo.
Avec un violon sur son dos il fallait tout de même courir avec délicatesse histoire ne pas casser celui-ci dites vous bien que ce n'était pas simple, certaines personnes la regarderaient avec de gros yeux. Ben quoi ils ont jamais étaient en retard quelques part eux ? Non mais c'est vrai comment il l'as regardait juste parce qu'elle courrait comme une folle toute rouge et toute essoufflée, ou bien il l'as regarder parce qu'il y avait un petit soucis sur elle c'est pourquoi après avoir pensée cela elle s'arrête une minute pour regarder ce qui n'allait pas, et bien il n'y avait rien pourtant. Après avoir vérifier cela elle repartit en courant vers le lieu ou ce trouvait son cour quand elle fut enfin arriver devant l'établissement tout décoiffé et essoufflé, elle ce stoppa et ce recoiffa un peut parce que sa marque un peut mal d'arriver comme elle était.
Elle ce dirigea tranquillement vers la porte et tendit son bras pour poser délicatement sa main sur la poignet, on tourne et on pousse, et la y a un petit problème la porte est fermée a clé Keiko regarda donc si il n'y avait pas un petit papier ou autres pour prévenir que la porte était cassée ou autres mais rien de tel. Et bien pourquoi c'est fermée a clé ? Keiko réfléchis ne me dit pas que ta fait tout sa pour rien.. Et oui aprés avoir réfléchis quelques minutes elle c'était rappelée que son professeur l'avait prévenus que ce Jeudi exceptionnellement il ne donnerais pas de cour, bravo Keiko t'es une vrai tête de mule ta fait tout sa pour rien. Elle ce frappa la tête avant de rebrousser chemin enfin rebrousser chemin, elle était surtout a la recherche d'un banc parce que la franchement elle était totalement morte et avait assez mal a ses jambes. Quand elle vue un banc, elle partit directement s'assoir sur celui-ci et déposa son violon juste a côté, elle souffla un bon coup et regarda ce qui ce passait devant elle, c'est a dire les gens marchaient, les autres qui ce bousculent et ce qui sont totalement perdus.
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| | Sujet: Re: Tu t'assoie et tu te repose un peu. | Akiyo Mar 20 Oct - 19:32 | |
| La soirée promettait d'être des plus ennuyeuses. Le professeur de littérature avait décidé de ne pas lui lâcher la grappe, puisqu'il avait rapidement remarquer que notre jeune homme n'avait pas appris son cours. Pour une fois tiens... Même s'il n'avait pas l'air d'être le mec sérieux dans les études, sa mémoire lui permettait bien des choses. Sauf lorsqu'il passait une nuit de folie et qu'il oubliait de réviser. Et c'était arriver la veille justement. La matinée en cours lui avait permis de décuver un peu de la fiesta d'hier, mais M-Kyoshima était parvenu à l'agacer en plus de l'énerver. Sale journée à la con... Ces derniers temps, le monde n'était pas aussi rose qu'il l'aurait voulu. Il avait d'ailleurs pris une couleur pourpre qui lui déplaisait au plus haut point. Malgré la faible lueur qui s'était faufilée entre les nuages, il avait beaucoup plus de mal à rester zen. Après tout, ces mauvais jours finiraient par s'en aller ailleurs. Maintenant qu'il avait Miyuki... Depuis le temps où il lui tournait autour, maintenant qu'elle lui appartenait enfin, il n'était plus question de la lâcher. Raison pour laquelle Akiyo devrait calmer ses ardeurs.
D'ailleurs, il avait pris le soin de sécher avec des amis de la 1-C la dernière heure de cours. Le cours de langue d'Anglais ne le bottait pas trop, comme toujours. Il n'était pas extrêmement bon en langue, enfin si... Mais ça dépendait de quel cours de langue on parlait... Bref, Bref, Bref. Changeons de sujet immédiatement pour éviter toutes idées tordues.
Akiyo s'était finalement retrouvé tout seul dans la soirée, puisque chacun était partis de son coté. Il n'avait plus qu'à rentrer chez lui en bus, parce que son majordome avait l'air de l'avoir oublier... Hm... Coup d'oeil vers la montre... 19h ? Hou là... En réalité, il était en retard de plus de trois heures. C'était donc compréhensible que son majordome ait déserter. Mais peu probable que celui-ci soit rentrer bredouille à la baraque. Fort PEU probable. Il devait être en train de tourner dans le centre ville jusqu'à tomber sur la petite bouille de notre nippon. Son majordome commençait à bien le connaître à force, et le pire, c'est qu'il ne désespérait pas, pas comme son paternel... Akiyo poussa un profond soupire lorsque son téléphone sonna. Et ben, il en avait mis du temps pour l'appeler. Le numéro qui s'était affiché n'était toutefois pas celui de son majordome mais de son père, ce qui voulait dire pour Akiyo : Ne pas décrocher. Comme d'habitude, il n'avait pas du tout envi de lui parler. Si son père ne payait pas son forfait et s'il était autonome au niveau financier, sur qu'il aurait changer de numéro de téléphone pour ne plus voir s'afficher le prénom de son père.
Mais il oublia très vite son portable qu'il rangea rapidement à l'arrière de son jeans, puisqu'il aperçut la jeune Keiko installé sur un banc à songer...
Comment dire... Keiko faisait (par chance) partis des rares personnes qu'il appréciait à l'école. Il y avait aussi Miyuki, Shinji et quelques autres camarades. Mais bon, avec Keiko s'était aussi un tout petit peu différent. L'ironie du sort, c'était qu'elle était aussi naïve que certaines gamines dans sa liste noire. Mais sa fragilité et son innocence l'avait poussé à la prendre sous son aile. Enfin, c'était vite dit. C'était plutôt : le premier connard qui la touche, il s'en prend pleins la gueule. Et Dieu sait que notre jeune Kisetsu était capable du pire... Raison pour laquelle les emmerdeurs n'approchaient pas Keiko-Chan à plus de dix mètres, surtout quand il y avait notre jeune première année dans les parages...
" Qu'est-ce que tu fous ici ? Ah... (temps de réaction limité...) Ton cours de violon... Mais qu'est-ce que t'attends dehors dans le froid ??? "
C'était intolérable. Il allait voir celui ou celle qui lui faisait des cours pour lui refaire le portrait. Pour la simple et bonne raison que dehors, ça cailler. Et qu'on sentait clairement que l'hiver approchait dangereusement. Et puis, franchement, Keiko n'avait qu'un petit manteau sur elle... Mais, qu'est-ce qu'elle faisait sur le banc à rien faire ? Les questions l'assaillissaient un peu trop à son goût, les poser directement serait un peu plus facile. Mais, au lieu de la bombarder de questions, il s'installa rapidement à coté d'elle en demandant :
" Si t'as froid, tu peux me demander mon manteau... Mais, dans tous les cas, je veux savoir pourquoi t'attends dans le froid... ? " |
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| | Sujet: Re: Tu t'assoie et tu te repose un peu. | Akiyo Ven 23 Oct - 19:25 | |
| Assise sur son banc bon ok c'était pas son banc hein mais voila, elle sortit d'une des poches de sa veste son cher et tendre ami qui n'était rien d'autre que son iPod ben je suis sur que pour vous aussi l'iPod est votre meilleur ami d'abord, hum sa c'était ce que disait Keiko dans sa tête quand les gens la regardait d'une façon assez étrange quand celle-ci bichonner son iPod, oui elle en prenait très soin elle déroula les écouteurs qui était autour de son lecteur et les mit dans ses oreilles, appuya sur le bouton play et baissa rapidement le son qui était a fond ce qui la fit un peut sursauter car même si la jeune fille était habituée la musique aussi fort quand il n'y a pas trop de bruit ou même quand on ne s'y attendant pas entendre la musique aussi fort et bien sa fait sursauter tout le monde. Enfin après cela elle ce dirigea dans le menu pour y chercher l'une des musiques qu'elle pourrait écouter en attendant je ne sais quoi peut être d'être moins fatiguer et de ce mettre en tête le fait qu'il fallait qu'elle rentre chez elle car l'heure avançait assez vite ow non elle rentrerait tard rien que pour faire chier sa grand mère. Hop musique au hasard et c'était Hot Issue des 4 Minute qui fut choisis après cela Keiko réfléchie un instant devoirs, devoirs ? Il y en avait ? Quelques minutes a ce demander cela avant qu'enfin lui vienne dans la tête qu'heureusement pour elle elle les avait déjà fait, et bien Keiko que t'arrive t'il aurait tu la même mémoire que celle d'un poisson ? A voir cela on pourrait bien penser sa.
Des gens passaient, des couples se tenant la main, des petits enfants qui ce faisaient courser par leurs parents parce qu'ils avaient fait tel bêtise, il y a aussi ceux qui marche sans vraiment regarder la ou ils vont et rentre donc dans tout le monde ou ceux qui ne supporte point la foule et se dépêche donc de marcher pour arriver a trouver un coin de la rue ou personne ne ce trouve pour enfin respirer l'air, Keiko regardait tout ses gens et se disait qu'elle aussi faisait partit de ces personnes, de cette foule très souvent et que défois dans une simple foule l'on pouvait rencontrer n'importe qu'elle personne quelque chose venait l'interrompre dans son activité quoi ? Et bien le vibrement de son portable qui annonça qu'elle avait reçut un message, elle sortit donc monsieur de sa poche et l'ouvrit pour voir qui pouvait lui envoyer un message et cette personne c'était seulement sa maman qui lui expliqua qu'elle et son père viendrait peut être le week end prochain, un instant Keiko fut contente cela faisait un petit moment qu'elle n'avait plus vu ses parents et elle avait beaucoup de choses a leurs racontait car même si sa chère mère lui envoyait tout le temps des messages ou l'apellait mademoiselle ne racontait pas grand chose concernant les choses en dehors des cours. Elle répondit donc au message de sa mère et rangea après cela son portable.
Elle allait reprendre son activité mais cette fois-ci ce n'était pas son portable qui l'empêcha mais Akiyo jeune homme qui protégeait beaucoup Keiko ce qui faisait parler beaucoup de monde étant donner que d'habitude les filles comme Keiko il ne peut pas les supporter mais après tout il a une exception a tout que voulez vous. La jeune fille détourna donc son regard vers le jeune homme qui s'installa a ses côtés.
Oui mon cour de violon et bien je suis tellement tête en l'air que j'avais totalement oublier que je n'avais pas cour exceptionnellement aujourd'hui. Et sinon a vrai dire j'attends rien du tout.
Keiko pouvait paraitre assez conne en répondant cela mais après tout c'est tout a fait vrai, elle n'attendait rien du tout et bien sur était tellement bête qu'elle oubliait souvent des trucs qui ne la marque pas vraiment. C'est vrai qu'il faisait de plus en plus froid et avec sa veste qui ne réchauffait pas des masses elle restait tout de même assise sur ce banc a regardait les gens passaient devant ses yeux. Akiyo-chan lui proposa de lui prêter sa veste et en suite lui demande de nouveau ce qu'elle attendait ici sur ce banc au froid.
Oh non c'est bon pour l'instant j'ai pas encore très froid mais merci. Et bien rien je suis bête a rester assise là sur ce banc dans le froid hein ?
Elle souris a vrai dire oui Keiko tu n'es qu'une grosse baka, tu vois si tu serais rentrer a ta maison, tu serais dans ta chambre ou je ne sais ou dans la maison au chaud. Ow la conscience de Keiko qui parle, a vrai dire elle n'avait pas vraiment tord sur sa mais bon madame n'en fait qu'a sa tête accroire qu'elle veut attraper froid la nippone. | |
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| | Sujet: Re: Tu t'assoie et tu te repose un peu. | Akiyo Sam 31 Oct - 15:52 | |
| Ce n'était pas très intelligent pour une jeune fille de restait toute seule. Mais bon, pas la peine de le faire remarquer à Keiko, malgré sa naïveté, elle en était consciente. Après, Akiyo pourrait lui faire un dessin. Mais elle n'apprécierait pas forcément. Heureusement que la mauvaise partie de notre démoniaque jeune homme ne ressortait pas en présence de la jolie demoiselle. Parce qu'avec Keiko, c'était aussi très différent. La jeune fille était en effet sa petite protégée. Quiconque osait l'approcher de trop près risquait de s'en mordre les doigts. Akiyo ne savait pas depuis quand il avait eu cette soudaine envie de protéger une fille pareille, alors qu'elle était aussi naïve et innocente que la jeune Eri. Ce n'était pas une question de goût, Akiyo préférait largement les jeunes filles comme Miyuki avec du charisme et de l'assurance. Ainsi que de l'âge, il fallait l'avouer. Miyuki était quand même de deux ans son aînée. Mais ça il s'en fichait complètement.
Bref, revenons à nos moutons.
Keiko était donc installée sur un banc en train d'écouter de la musique, et elle avait dores et déjà lever les yeux vers Akiyo. Un léger sourire aux lèvres, toujours aussi empreint d'innocence. Normal qu'une grande partie des jeunes célibataires de l'école lui court après, Keiko était vraiment très mignonne. Même si elle n'était pas un canon, elle avait son petit charme à elle. Un charme bien différent que toutes les pauvres gamines riches de cette école.
C'était peut être cette différence qui avait poussé notre jeune Kisetsu à en faire sa petite protégée. Puis finalement, la jeune fille lui donna des explications qui le fit rire. Hein ? Elle avait complètement oublié qu'elle n'avait pas son cours de violon ? En effet, Keiko était vraiment tête en l'air, faudrait peut être qu'elle commence à se remettre tout doucement dans la réalité. À force de rêvasser, certains garçons complètement stupide profiteraient d'elle. Quoi ? Non Akiyo ne profitait que des personnes qui se trouvaient dans sa liste noire, et même des personnes qu'il ne connaissait pas et qui lui apportait un certain intérêt. Mais bon, on ne changera jamais notre nippon.
— Tu n'attends rien du tout ? Mais il faut froid... Ce serait vraiment bête que tes neurones gèles...
Heureusement que Keiko n'était pas le genre de personne à prendre rapidement la mouche. Akiyo avait l'habitude d'adresser ce genre de remarquer à tout le monde, même à ses meilleurs amis. Mais bon, quand on voyait ses fréquentations très proche il fallait avouer que c'était tout à fait normal. Ses deux meilleurs amis étaient des répliques parfaites de sa façon de penser. Alors ils s'entendaient obligatoirement à merveille ! D'ailleurs, à propos, il se souvenait qu'il devait sortir plus tard avec Shinji. Et dans la soirée, il prendrait un peu de temps pour voir son meilleur ami Neji qui aimait également faire la tournée des bars.
Et puis, elle avait quand même tout juste en disant que sur ce plan. Elle était bête. Elle aurait dû rentrer immédiatement chez elle. En plus, ça poussait notre nippon à faire un acte bon {et heureusement, ça ne lui ouvrirait pas des portes pour le paradis...}, il attrapa la main de la jeune fille pour la tirer du banc. Même si elle n'en avait pas envi, elle avait intérêt à le suivre sans discuter. Tant pis pour le peu d'argent qu'il restait sur lui, il allait y passer. Il ferait tout pour que Neji ou Shinji lui passe de l'argent ou qu'ils lui payent des boissons. Il y avait bien un des deux qui allaient accepté ! De toute façon, s'il était vraiment dans la merde, il ne se gênerait pas pour aller boire dans les verres de ses amis tiens...
— Y a un bar pas loin. Contrairement à dehors, il fait chaud. Et puisque tu n'as pas l'air d'avoir envi de rentrer chez toi pour éviter d'attraper un rhume, t'auras pas le choix de me suivre jusque là bas... Avec Akiyo, on ne discute pas... |
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| | Sujet: Re: Tu t'assoie et tu te repose un peu. | Akiyo Mar 3 Nov - 17:29 | |
| En fait finalement la jeune fille avait un peu froid mais bon elle n'allait pas redemander la veste d'Akiyo parce que ça ferait la fille chiante et à vrai dire Keiko n'est pas comme ça c'est juste que quand il y avait proposer la veste elle n'aurait pas dû dire non seulement parce qu'à cet instant là elle n'avait pas froid. C'est encore quelques choses qui prouvent bien que la nippone ne réfléchie pas des masses avant de répondre a quelques choses qu'on lui propose c'est son côté baka qui remonte en elle que voulez-vous ce n'est pas sa faute si ? Même elle se demandait des fois comment se faisait-il qu'Akiyo la protège au temps alors qu'Eri la jeune fille qu'elle avait rencontrer sur le toit la fois derniere était un peu le même style que Keiko c'est-à-dire la fille assez naïf qui ne refuse pas grand chose et qui se fait manipuler assez vite enfin ça c'était surtout Keiko qui faisait partit de ce genre de personne et à vrai dire le fait d'être comme sa lui avait jouer bien des tours. Souvenir, souvenir oui des souvenirs qu'elle a vite essayée de rayer de sa mémoire, car après tout elle croyait tout ce qu'on lui disait et faisait presque tout ce qu'on lui demandait de faire, il lui a fallu qu'on lui fasse plus d'une crasse avant qu'elle ne comprenne que l'ancienne bande d'amis qu'elle avait ne faisait seulement que se servir de la jeune fille ce qui lui avait mis le moral à zéro pendant un petit moment, mais tout cela maintenant peu à peu elle l'oubliai et elle s'était dit qu'il fallait qu'elle se rebelle mais elle n'y arrivait pas. Elle expliqua qu'elle avait oubliée que son cours de violon avait été reportée, reporter a quand ? Raa Keiko tu es vraiment désespérante tu ne te souviens même pas quand est on cour. Tête en l'air et rêveuse ? Oui en ce moment c'était comme ça qu'on pouvait la qualifier aller comprendre pourquoi en ce moment elle était comme ça.
Elle regarda de nouveau Akiyo qui devait vraiment la prendre pour une baka non mais c'est vrai surtout que c'est réponse du "Oh ben j'attends rien" pouvait faire désespérer bien des personnes surtout que la nuit quand on bouge pas et qu'on est assis sur un banc en plein hiver et bien a vrai dire on a très froid mais bien sûr Keiko elle ben elle était assez bête pour faire partit de ceux qui s'en foute et reste dehors plutôt que de rentrer chez-eux. Mais en même temps c'est vrai elle n'attendait par contre elle redoutait le moment de rentrer chez-elle et de tomber nez-à-nez avec sa chère grand mère c'était en faite pour ça qu'elle restait là a trainer dans les rues de Tokyo enfin trainer est un grand mot parce qu'elle ne bouge pas vraiment. Ne pas voir sa grand mère était la chose la plus importante a ses yeux, bien qu'au départ elle l'aimait bien sa mamie mais ce n'était plus du tout le cas la vielle faisait tout pour que Keiko la déteste et franchement sa marchait très bien pour sa grand mère l'objectif était que sa petite fille la déteste comme sa et bien la jeune fille retournerait vivre avec ses parents a Osaka mais dommage pour la vielle sa ne marche pas du tout, du coup Keiko évite de se trouver trop longtemps sous le toit de chez sa grand mère.
Ouai c'est vrai ça serait bête hein ?
Je suis sûr que plein de gens aurait envie de la taper là non ? Non mais Keiko elle fait pas vraiment attention à elle et on pouvait lui faire n'importe quelle remarque elle ne l'as prendrait jamais mal du moins c'est sûr ça dépend le sujet, mais quand cela concerne seulement elle et bien défois elle le prendra bien puis a vrai dire, elle commençait a s'habituer a ce genre de remarque de la part d'Akiyo, mais aussi de la part de son meilleur ami alors bon comment le prendre mal quand on connait bien les personnes.
Après cela celui-ci ce leva et pris la main de Keiko qui se fit donc tirer du banc et hop on est debout. Et là elle ressentait encore plus le froid mauvaise idée que de s'être levée mais si ils s'étaient lever c'est peut-être parce qu'Akiyo avait une idée non ? Et à vrai dire oui il en avait une, et Keiko savait d'avance qu'elle ne pourrait refuser ce qu'il allait lui dire alors elle l'écouta attentivement tout en mettant l'étuit de son violon sur son épaule gauche.
Ok monsieur je te suit, c'est vrai que c'est une bonne idée j'ai pas vraiment envie de rentrer chez moi, ni même d'attraper un rhume.
Quand elle avait dit son ok elle avait mit sa main comme font les marin haha ouai genre il lui donner un ordre quoi puis elle lui souris après cela ils commencèrent donc a marcher en direction du bar. | |
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| | Sujet: Re: Tu t'assoie et tu te repose un peu. | Akiyo Mer 9 Déc - 19:51 | |
| Keiko était vraiment une fille tête en l'air, elle avait beaucoup de mal à faire des choses bien pour elle. Déjà, si elle attrapait froid, elle n'irait pas à l'école le lendemain. Il ne se sentirait certes pas coupable, Akiyo n'était jamais coupable, mais il se voyait pas avec les parents de la demoiselle sur le dos. Parce que Keiko était tout à fait capable de dire à ses parents qu'elle était avec lui le jour d'avant. C'était une gaffeuse en puissance, mais pour être honnête, il l'appréciait tel qu'elle était. Sa gentillesse et sa maladresse la rendaient adorable, alors que notre garçon savait pertinemment que d'habitude, elle ne côtoyait pas ce genre de filles. Keiko n'avait rien de plus par rapport aux autres niaises. Elle était juste encore plus niaise que certaine. C'était peut être son sourire qui la rendait différente ? Elle était d'une compagnie agréable, et elle avait besoin d'être protéger tout simplement. Akiyo haussa les épaules lorsqu'elle dit que ça serait bête. Ben bien sur que ça serait stupide qu'elle tombe malade alors qu'elle avait l'opportunité de ne pas l'être ! Enfin on ne la changera jamais... Akiyo finit par la tirer jusqu'au bar, sans qu'elle ne proteste. Elle ne disait rien, elle souriait tout simplement, en disant qu'il avait raison. Bien sur, notre nippon avait toujours raison, même lorsqu'il avait tord. La jeune fille n'avait apparemment pas encore compris comment fonctionner notre méchant garçon. Enfin, elle était trop niaise pour comprendre qu'il faisait partis des plus gros emmerdeurs de Sakurai. La demoiselle le prenait même pour quelqu'un de très gentil.
Compréhensible, vu qu'il était plutôt sympathique avec elle. Même si par moment, il ne se gênait pas pour la traiter d'idiote parce qu'elle a encore fait une grosse bourde. Keiko était tout à fait le genre de demoiselle à se retrouver toute seule en pleine rue déserte, elle serait capable de saluer des mecs qui seraient capable de l'agresser. Elle ne comprenait rien à la vie et à ses dangers... Fallait peut être qu'il pense à lui donner des cours pour la réveiller un tout petit peu, parce qu'il n'avait vraiment pas envi qu'elle souffre. Après tout, il avait décidé par miracle, un jour, de la protéger elle et seulement elle. En dehors de Miyuki bien sur qui était LA fille à protéger. Sa petite amie était tout ce qu'il y avait de plus importante pour lui. Un sourire étira ses lèvres alors que le barman les saluer et leur proposer une place au fond. À l'abri des regards. Pour la simple et bonne raison qu'un mec à la langue bien pendue pourrait bien aller raconter des conneries à tous les élèves de Sakurai. Comme quoi il trompait Miyuki avec Keiko. Déjà, mine de rien, Akiyo était fidèle. Seulement lorsqu'il était amoureux hein... Et en plus, il ne tromperait jamais une fille aussi sensationnelle comme Miyuki pour Keiko qui était loin d'être son idéal féminin. Elle était tout son contraire !
" Tu veux boire quoi ? "
Akiyo était rentré dans le vif du sujet, il n'avait pas envi de passer par quatre chemins. Surtout que s'il restait des heures ici à discuter avec son amie, il risquait de se faire une fois de plus tuer par son père qui devenait de plus en plus encombrant ces derniers temps. Mais bon, ça il n'y pensait pas trop. Akiyo commençait à avoir l'habitude. Il pourrait très bien ignorer les appels de son père encore une fois, mais là... Il risquerait une fois de plus de devoir dormir à l'hôtel. Ce n'était pas super. Il aimait bien malgré tout sa grande maison. Même si elle était paumée au milieu de nul part. Elle était quand même bien plus spacieuse que la chambre d'hôtel. Akiyo posa son coude sur la table puis finit par dire :
" Tu veux que je te ramène chez toi après ? Je peux demander à mon majordome de te déposer. Ça t'évitera de marcher et d'attraper froid. Hm, en faite, tu n'as pas le choix. Je t'emmène. "
Une chose de faites. Il l'obligeait à suivre ses ordres, mais il savait que Keiko ne serait pas contre. Marcher jusqu'à chez elle n'était pas super agréable, surtout quand on était chargé de son violon et qu'on avait froid. |
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