La Tour de la terreur |Scénario 1|

Courant dans l'appartement, Isako manqua de se prendre la porte de la salle de bain en pleine figure. Une serviette autours de la taille, un teeshirt trempé elle continua sa course jusqu'à son lit ou elle s'affala et prit son portable. N'ayant pas le temps de regarder le numéro elle décrocha.

Mochi Mochi.

Une voix grave lui répondit. Soudain, le visage de la jeune fille devin blanc. Se mordant les lèvres, elle garda le silence pendant une bonne minute. Elle restait figé là, à genoux sur son lit, sans rien dire.

Oui, bien sur. Ano... Iie, ... Pas aujourd'hui.

Son père. Depuis quand est-ce que son père prenait des nouvelle d'elle deux fois dans le même mois? Et d'ailleurs, pourquoi est-ce qu'il l'appeler de News-York? Pourquoi voulait-il savoir si elle avait lut ses mails. Non, elle n'avait pas eu le temps. D'ailleurs, elle était dans la douche quand il l'avait appelé. Comment aurait-elle fait pour consulter ses mails alors qu'elle était dans la douche.
Bon d'accord, elle n'avait pas atterri directement là bas. Mais, avec cette chaleur, il fallait qu'elle prenne une douche.

Nani? 35 minutes. ... Mais...

C'était impossible, il fallait qu'elle emporte une lettre importante à la Tours, la tours quoi d'ailleurs? Se levant enfin, la nippone entreprit de chercher de quoi écrire. Apparemment son père n'avait pas que ça à faire que des rester prendre des nouvelles de sa fille. Il avait bel est bien appeler pour qu'elle lui rende un service.
D'ailleurs, pourquoi ferait-elle ça? Il avait une secrétaire? LA jeune fille soupira tout en copiant l'adresse. C'était si ennuyeux de faire se genre de chose. Et puis, si elle avait autre chose à faire?
Son paternelle n'avait pas l'air de s'en soucier et il valait mieux pour Isako de s'exécuter et dans la minutes, car, d'accord papa Sawai était gentil en règle général, mais, il restait tout de même son père...

D'acco....

Il avait déjà raccroché. Elle n'avait pas le choix. Ce dirigeant à grand pas vers son ordinateur portable, elle se rendit sur sa boite mail impriment celui envoyé par son père. Tout en faisant ça, elle appelait déjà son chauffeur.

8 minutes devant. Et pas une minutes de plus.

8 minutes c'était le temps qu'elle se donnait pour s'habiller se coiffer et partir. Courant presque jusqu'à la salle de bain, elle passa un coup de brosse dans ses cheveux, un coup de crayon sous ses yeux, du parfum et hop, le tour était joué.
Rejoignant toujours au même rythme la chambre, elle plongea la main dans son armoire en sortit une jupe grise qu'elle enfila. Jolie, ça collait parfaitement avec son teeshirt qui était dans le même tons.
Sautillant sur un pied, puis sur l'autre, elle enfilla ses chaussure, prit un sac, son portable ainsi que le mail de son père qui était maintenant imprimer ainsi que l'adresse du lieux de chute.
Isako alla dans la cuisine, ou enfin, elle prit ses clé et sortit de l'appartement.
A bout de souffle, la jeune fille descendit les nombreux étages de son immeuble à pieds.
7 minutes, la voitures était devant l'entré, la porte ouverte. Fa-bu-leux. Rien de plus à dire. Il ne lui restait plus qu'une vingtaine de minutes,
Tendant le l'adresse à son chauffeur, elle s'installa tranquillement dans la voiture, avec un peu de chance, elle y serait dans moins de dix minutes. Enfin avec un peu de chance.
Mais le chance, avait l'air de ne pas être d'accord avec Isako. Non elle trouvait beaucoup plus drôle de lui collait un petit embouteillage.

* Pourquoi... Pourquoi... *

Les minutes s'écoulait plus vite que prévue. Nouveau soupire. Ce n'était pas possible. Pourquoi faillait-il que ça tombe pile à se moment là.

Combien de temps avant d'y arriver?
Normalement plus que trois rues mademoiselle. C'est la tours là bas. lui dit son chauffeur en lui indiquant du doigts une immense tours qui dépassait.

Trois rues, trois rues, environ dix minutes à pieds. Pff. N'ayant pas d'autre choix, la jeune fille sortit de la voitures embarquant son sac avec elle et partit en courant.
Courir n'était pas tellement son fort, mais elle n'avait pas le choix.
Passant la main dans ses cheveux, Isako souffla un grand coup quand elle se retrouva au pied de sa destination.
Elle était arrivée à temps, marchant tranquillement jusqu'à l'entrée, elle se dirigea vers l'accueille ou elle déposa la lettre avec quelques indications. On en sait jamais, si elle se perdait... C'était Isako qui allait prendre. Et très peut pour elle. Surtout de la part de son père.
Elle allait repartir quand (par malheur?!) elle entendit une voix qui lui était quelque peut familière. Qui pouvait demandait se genre de chose. Qui pouvait être assez stupide pour dire qu'il avait un ami qui ressemblé a ...
Naoki. God, il la suivait partout c'était pas possible. Il avait du lui coller une puce quelque par, mettre son portable sur écoute.
Se retournant pour vérifié, elle avait bien raison, c'était bien Naoki et... Akiyo.
Depuis quand est-ce qu'ils se parlaient ses deux là. Akiyo n'était certainement pas du genre à copiner avec Naoki. Alors pourquoi...
Va demander à l'accueil. Non non, pas là. Pourquoi fallait-il qu'elle se trouve à cette endroit? Trop tard, il l'avait certainement déjà vu, et ... Elle allait certainement connaitre l'humiliation qu'elle connait toujours quand elle croise Naoki.

« J’ai vraiment besoin d’une nouvelle paire de chaussures… » avait constaté la jeune fille en observant ses pieds. Bien qu’elle arrivait à choisir rapidement pour les autres vêtements, les chaussures étaient son point faible : elle avait besoin d’une après-midi entière pour trouver la paire qui lui conviendrait. Parfois, la couleur ne lui convenait pas, ou alors la forme, ou bien elles étaient trop grandes ou trop petites. Pour ce genre d’achat, il fallait trouver une journée où elle n’avait rien à faire, afin qu’elle puisse passer quelques heures à chercher de nouvelles chaussures. Etant donné que ce jour là elle n’avait rien de prévu, elle décida qu’elle profiterait de cette journée pour s’acheter une nouvelle paire. Mais… où pourrait-elle aller ? Pourquoi pas à la tour 109, à Shibuya ? C’était une bonne idée, et elle était sure que là-bas, elle trouverait quelque chose qui lui plairait. Cela dit, Shibuya ce n’était pas la porte à côté, elle ne pourrait pas y aller à pied. Elle devrait prendre le bus.

« Maman ? Je vais à Shibuya, tout à l’heure.
-Tu veux que je t’y emmène ? Je ne fais rien, aujourd’hui. »

Ah, voilà déjà un problème de réglé. Elle n’aurait pas à prendre le bus.

« Par contre, je ne pourrais pas venir te chercher ce soir, j’aurais du travail. Car je parie que tu vas y rester des heures.
-Oui, mais c’est pas grave, je prendrais le bus. »

Finalement… elle prendrait le bus. Mais pour rentrer.

« Alors on part dans une demie heure, le temps que je me prépare.
-Ca marche. »

30 minutes après, Hanako se dirigea vers la voiture et attendit quelques minutes que sa mère arrive. Finalement, elle arriva avec dix minutes de retard. Elle n’était pas très ponctuelle, et ça agaçait Hanako au plus haut point. Mais dans ce cas là, ce n’était pas très important. Sur le trajet, Hanako ne parla pas beaucoup. A vraie dire, elle ne parlait pas souvent avec sa mère. Ca ne la dérangeait pas spécialement, en ne lui adressant pas la parole, elle était sure qu’aucune dispute n’éclaterait. Dès qu’on abordait un sujet fâcheux, la mère d’Hanako s’énervait très facilement. De peur de mettre en colère sa mère, Hanako ne lui parlait pas. Et tout le monde était très content ainsi.

« Voilà, on est arrivées. Fais de bons achats.
-Merci de m’avoir emmener, à ce soir. »

Enfin elle était seule, enfin elle était libre et elle pourrait être tranquille. Hanako adorait être tranquille quand elle achetait des vêtements, encore plus si c’était des chaussures. Mais le vrai combat commençait maintenant : Quelles chaussures allait-elle choisir ? Elle passa toute l’après-midi à chercher, allant de magasin en magasin, essayant des multitudes de paires, aucune ne lui convenant. Finalement, après 3 ou 4 heures de recherches acharnées, elle trouva une paire de ballerines. Elles étaient noires, toute simples. Hanako s’était dit que le temps était magnifique et que l’été approchait, ses ballerines s’accordaient parfaitement avec la température actuelle.
Hanako, fière d’avoir trouvé une nouvelle paire, se dirigea vers la sortie, un grand sourire aux lèvres. Mais alors qu’elle passa à proximité d’une fontaine, elle crut reconnaître une voix.

« Ce ne serait pas la voix d’Akiyo ? »

Elle se retourna, et ses doutes se confirmèrent. C’était bel et bien Akiyo qui se trouvait à cinq mètres d’elle. Akiyo accompagné… d’un Golden Boy ? Hanako se demanda pourquoi ils étaient là, ensemble. A sa connaissance, Akiyo n’avaient aucune relation avec les Golden Boys, mais apparemment, elle se trompait.