Nom : Murakami
Prénom : Tomoya
Pseudonymes : Aru (Ayu s’il se fait passer pour une fille, dans ses jeux vidéos donc)
Âge : 17 ans
Profession : Etudiant
Groupe : 2eme année
Avatar : Takuya d’AnCafe
Post Vacant : Non
Physique :Mon physique ? PFEH ! À quoi ça vous servirait de savoir mon physique ? Après tout, je passe mon temps sur Internet ou derrière une console. Me voir relèverait du génie ! Mais puisque vous insistez, pitoyables. Je suis plutôt petit avec mon mètre soixante-cinq à peine atteint et je ne suis pas l’exemple même de l’être svelte. PFAH ! Peu importe. Maudit soit le grand anorexique ! J’ai une tête plutôt ronde… Je crois. J’ai des cheveux noirs mal-coiffés et des yeux noirs. Je porte des lunettes à la monture noire, ces lunettes sont assez chères. Le premier qui me les casse aura affaire à ma famille. J’ai de la PUISSANCE voyez-vous. Cela dit, si on arrivait à me casser mes lunettes, je devrais féliciter cette personne, ne serait-ce que pour avoir réussi à me trouver dehors. Je sors très peu de chez moi par ailleurs. Ce qui explique mon teint de peau très blanc. On dit cependant que je rougis facilement… PFEH ! Rougir, rougir c’est un afflux de sang. On rougit lorsqu’on subit une émotion. Certes, cela m’arrive très souvent quand je suis devant Komachi Onozuka ou Angelica DeLaRouge puisqu’elles sont très mignonnes mais probablement JAMAIS devant une vermine comme vous.
Je porte en général des chemises blanches ou noires ou alors des t-shirts avec des motifs divers et variés. Genre un monstre de Space Invaders ou un champignon de Super Mario. Le commun des mortels ne connaît évidemment pas ces motifs. Ils sont si futiles. Je porte des cravates aussi. Pourquoi je porte des cravates ? PFEH ! Tout le monde sait que la cravate est le symbole de la classe par excellence. Ainsi que l’écharpe, toutefois, j’ai trop chaud pour porter des écharpes en toutes occasions, c’est pourquoi je préfère porter des cravates. Mon pantalon ? Vous ne vous sentez pas un peu ridicule en me demandant cela ? Je porte des boxers également si ça vous intéresse TANT QUE CA DE CONNAÎTRE MA VIE ! Je devrais me créer un twitter aussi ! Raconter ce que je fais minutes après minutes ! Tellement pathétique !
Mon physique. Tcheu. Quelle question idiote ! Encore si c’était dans les jeux vidéos je comprendrais… Seulement que j’en aurai pour des heures d’explications avec tous les jeux que j’ai fait. PFEH !
Caractère :Mon caractère maintenant ? HOW USELESS ! Vous voulez que je vous dise quoi ? Je suis gentil, accueillant ? Uniquement avec les jpeg, misérables. Mais bon. Puisque vous êtes si obstinés à tout savoir sur moi, je vais tout vous raconter.
Je suis un geek. Un otaku. Un hikkkikomori presque. Je passe mon temps chez moi à jouer aux jeux vidéo. Je possède à peu près toutes les consoles existantes et au moins 50 jeux sur chaque console (à l’exception notable de la Virtual Boy de Nintendo pour des raisons évidentes), j’ai joué à plus d’un milliers de jeux vidéo et je les finis en général très vite. J’ai une culture immense évidemment et j’avoue avoir une préférence pour le rpg. Chrono Trigger en tête. Beaucoup de gens diront que je suis excessif avec les jeux vidéo puisque je ne pense qu’à ça. Ces gens sont des cons qui ne savent pas de quoi ils parlent. Le Japon moderne est enfermé dans sa propre bulle ou seul le travail compte. PFEH ! Le TRAVAIL ! Travail qui, dans les 90% des cas, ne laisse aucunement place au rêve ou à l’aventure ! Ok, quand on a 6 ans on peut librement jouer dans le parc. Mais lorsqu’on a 45 ans, le rêve n’est plus permis. Il faut penser au travail. C’est si stupide de penser comme ça ! Au moins, moi, je m’amuse. J’ai aussi une grande affinité avec les dating sim ou les visuals novels. Après tout, ils racontent des histoires souvent très profondes. Les filles sont également très jolies… Beaucoup plus que dans la vraie vie.
Je suis souvent considéré comme « asocial ». On ne me parle pas beaucoup et tant mieux, je ne sais pas parler aux gens. Les futilités comme « ça va ? » ou « quoi de neuf ? » ne m’intéressent pas. C’est une perte de temps ! Et une démonstration flagrante d’hypocrisie ! On a peine le temps de s’occuper de soi qu’on voudrait s’occuper des autres ? PFEH !
Je suis également très impertinent, je ne mâche que rarement mes mots et j’exprime mon avis comme je le désire. Cela me vaut des ennuis à l’école ? Peu importe. Je suis nettement plus intelligent qu’eux ! Passer son temps devant les jeux vidéo rends bête ? HOW ABSURD ! Demandez à un gamin qui passe son temps à jouer à Shin Megami Tensei qui est Cu Chulainn et il vous répondra aisément qu’il s’agit d’un guerrier celte. Pensez-vous vraiment qu’un gosse qui ne fait que perdre son temps dehors avec ses amis soie capable de répondre à cette question ? Non. Il ne saura même pas qu’est-ce que les celtes. Idem pour tout le reste. Je suis nettement avancé pour mon âge et ce n’est pas la plèbe qui m’obligera à les écouter.
À vrai dire, j’ai du mal à considérer la plèbe (vous) au sérieux. Tellement vous êtes pitoyable.
Cela dit. Il est vrai qu’il m’arrive de perdre mon calme et de paniquer… tel un enfant. Dès que je sors de chez moi en fait, vous êtes partout… et vous êtes si misérables et si nombreux que… je prends peur. J’ai… J’ai peur de vous, oui. On dit que je fais le fier derrière un écran mais que je ne suis pas mieux qu’un rat dans la vraie vie… et c’est vrai. PFEH !...
Si Ayu était là, ce ne serait pas comme ça ! Ayu. La seule personne avec qui j’ai pu m’entendre dans ma vie. Avec elle, j’étais heureux et j’avais moins peur des gens. Elle aimait les mangas et se déguisait en eux. À cette époque déjà, je n’étais pas très sociable mais je ressemblais plus à vous, déchets, que maintenant. Toutefois, lorsque j’ai perdu Ayu. Oui, on peut dire que c’est là que j’ai dégénéré et que je me suis rendu compte qu’être attaché à des personnes vivantes… ce n’était qu’une perte de temps. C’est probablement à ce moment là que je me suis voué corps et âme aux jeux vidéo et à tout cet aspect théorique. Peut-être pour retrouver Ayu quelque part dans ce monde virtuel…. Hum…
J’utilise également le pseudonyme Ayu lorsque j’incarne un rôle féminin dans mes jeux vidéo. PFEH. Pourquoi je vous raconte ça ?
Histoire :Mon histoire maintenant ? Pfeh.
Je suis né à Inaba, dans la préfecture de Tottori en 1992. Mes parents sont des bourgeois qui possèdent une entreprise d’électricité, je ne suis pas le fils de n’importe qui. Vous voyez ? Comme Inaba est un petit village, nous connaissions à peu près tout le monde. Je m’amusais surtout avec la fille des voisins, une certaine Ayu. Je ne me rappelle plus comment nous nous sommes connu. Je crois que c’était lorsque je lisais un Shônen Jump assis contre sa maison et qu’elle m’a remarqué. Seulement, je me souviens qu’elle avait lancé un « Tomoya-kun ». Ce qui sous-entend qu’on se connaissait déjà. Bleh. Peu importe. On s’est rencontré d’une manière ou d’une autre.
On s’amusait bien après tout. On faisait des trucs de gosses et elle avait bien remarqué que j’aimais beaucoup les mangas et les jeux vidéo. Elle m’avait dit qu’elle serait ma « super-héroïne » qui me sauverait en cas de problèmes. Promesses de gosses. Tout ça. Comme c’est mignon, empli de bons sentiments mais terriblement stupides. Non, je ne me suis absolument pas contredit avec ce que j’ai écrit avant. Vous délirez. Ecoutez ce que je dis pas ce que je fais. PLEBE. Nous étions proches, peut-être même plus proches qu’entre frères et sœurs.
Seulement qu'un jour, mes parents, ces cons, ont voulu déménager d'Inaba pour aller dans la ville, la grande cité de Tokyo. J'ai beau leur avoir demandé pourquoi on déménageait, le coup du « J'en ai marre d'Inaba » ne m'a jamais vraiment plu. Bon, le problème de ce déménagement était évidemment Ayu. Partir alors que c'était la seule personne avec qui j'arrivais à m'entendre allait rester derrière moi. C'était un peu méchant. Mes parents avaient beau dire que j'allais me faire de nouveaux amis, j'étais PERPLEXE. Oui, PERPLEXE.
Et j'avais raison, une fois à Tokyo, je n'arrivais pas à sacquer les camarades de classe. Stupides, simplets, inutiles. Je n'arrêtais pas de les descendre en cours... Ce qui faisait qu'ils me descendaient en dehors des cours. J'insultais ouvertement les profs lorsqu'ils commettaient des erreurs. Non, franchement. Evidemment, c'était à ce moment-là que j'ai développé ma manie pour les datings sims. C'est donc également par là que j'ai découvert CE jeu. Le jeu qui a plus ou moins changé ma vie. Kanon. Ce jeu dont la fille principale s'appelait Ayu. Ayu! Comme l'Ayu d'Inaba. Je suis longtemps resté scotché devant ce jeu, ne serait-ce que pour Ayu.
Je vois à vos yeux plein de dégout, enfin pour ceux qui ont les trippes d’avoir lu jusqu’ici, que vous me considérez comme un rebut de la société. Comme un déchet humain. Ouais, c’est uniquement de votre faute. Vous n’aviez qu’à être moins stupides en cours.
Bref, après une longue année de souffrance et de désolation. Il y eut L’ACCIDENT. Le terrible accident. Pas le genre d’accident « Ouh la, il y eut plus de peur que de mal ». Non, le terrible accident qui m’a vraiment déchiré la tête.
J’étais dans la rue avec ma GameBoy Advance (Je jouais à Riviera :The Promised Land si vous voulez tout savoir) quand je me suis pris un gros camion dans la tronche. Camion de livrais de matelas « TOUDOUX : Pour une douceur incarné ». TU PARLES. Il m’a heurté en plein fouet, me propulsant à des mètres à côtés, me pétant la tronche contre une voiture et me faisant rouler par terre comme un bouritos mal préparé. Cet accident m’a fait beaucoup de mal. J’ai du aller à l’hopital (enfin une clinique privée) pendant de nombreux mois puisqu’il fallait me réparer. Y a pas à dire on se soigne beaucoup plus facilement dans les RPGs. On a qu’à lancer une potion dans les airs et hop, soigné ! Là non, c’est lent. C’est long et le pire, c’est incertain. J’aurai pu crever. Vraiment. Heureusement que mes parents ont voulu prendre le meilleur médecin sur le marché parce que j’aurai vraiment pu mourir. Je ne me souviens de pas grand-chose vu que j’étais dans le coma. On m’a juste dit qu’on venait me visiter souvent. La famille probablement.
Finalement, on me remit sur pieds. Je décidai de vivre loin de mes parents. Je n’étais pas ingrat mais ils me soulaient à me reprocher presque d’avoir eu un accident. C’était ma faute si Toudoux n’est qu’un ramassis de mensonges ? Bande de cons.
De plus, j’étais inscrit à une école de riches. Devais-je VRAIMENT aller dans une école de riche ? Les riches normaux sont généralement des sous-merdes qui ne vivent que par l’argent et le luxe. Que des Paris Hilton. Ou des euh… Marseille Hilton. Je suis amplement supérieur à ces abrutis. C’est sans problèmes que je me suis hissé au rang des élèves les plus intelligents du lycée… Quand je daigne venir. Ce qui n’est pas souvent le cas, je passe le plus clair de mon temps à sécher les cours pour m’amuser avec des filles virtuelles.
Ce n’est probablement pas cette année que je vais trouver quelqu’un qui me fasse sortir de ma tanière. Au mieux, je finirai comme le protagoniste de « Welcome to the NHK ». PFEH !
Relations : Soyons fous, parlons à la troisième personne rien que pour ce passage.
Tomoya ne parle pas beaucoup avec les « inconnus » et lorsqu’il parle, c’est avec un ton rempli de dédain et de mépris. Il fait également beaucoup de rapprochement avec ses jeux vidéo si vous dites une phrase qu’il ne fallait pas. Il est souvent cloîtré chez lui, ce qui le rend difficile à attraper de toute manière. Il est souvent de mauvaise humeur (surtout si vous lui parlez) donc il essayera coûte que coûte de terminer la conversation le plus rapidement possible.
Il ne faut pas lui en vouloir ou même se fâcher s’il se montre désagréable avec vous. S’il est comme ça, c’est uniquement parce que vous êtes stupide/insignifiant/moche/humain/idiot (rayez mention inutile)
Mais au fond de lui, ce n’est qu’un être blessé qui ne veut que de l’amour. Le véritable amour ! Avec un grand A et un MOUR qui suit ! L’amour que seul Ayu/Kururu/Beatrice est capable de lui donner.
Pseudo : Bleh
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