Juka Namida
▍Messages : 116
▍Âge : 34
▍Sujets : Totalement dispo' : )
▍Relations : Ouverte à toutes sortes de relations
▍Études : Etudes d'arts
▍Statut Social : Riche, malheureusement
▍État Civil : Libre comme l'air
▍Humeur : Inégale
▍Citation : J'ai choisi deux verbes auxiliaires : Être vaut mieux qu'Avoir
CARACTER SHEET
▍Popularity:
    (20/100)
▍Relationship:
 |  Sujet: Juka Namida - « dérangeante.&.dérangée » - 100% Dim 1 Nov - 19:21 | |
| I - Carte d'Identité
Nom : Namida. Si vous avez déjà entendu ce nom quelque part, c'est normal.
Prénom : Juka. Simple, facile à retenir, et original, mais que demande le peuple ?
Âge : 20 ans
Profession : Étudiante à Todai, on applaudit.
Groupe : TODAI STUDENTS I suppose.
Avatar : Anna Tsuchiya
Post Vacant : Nop'
II - Description
Physique : « C’est dommage, elle est si jolie, je serais bien sorti avec elle si elle n’était pas aussi étrange »
« En tout cas j’adore son style vestimentaire, y’a pas à dire »
« Quand on dit que les yeux sont le reflet de l’âme ! A chaque fois quelle me regarde j’ai l’impression qu’elle peut lire en moi et qu’elle va m’attaquer »
Physiquement ? Hum, physiquement... La première chose qu'on peut remarquer, c'est que je suis plutôt petite, pour ne pas dire vraiment petite. Je fais dans les 1m57. « Ce n'est pas si petit que ça », me direz vous, seulement quand on compare avec les autres filles de ma fac, et bien on peut dire que si, ça l'est. « Tout ce qui est petit est mignon », ce genre de conneries... Deuxième chose, et cette fois positive, que l'on remarque chez moi, ce sont mes yeux. De beaux et profonds yeux caramels, qui me donnent un regard de renard, caractéristiques chez moi, intenses et pénétrants. Tu peux avoir l’impression que je te passe au rayon X à chaque fois que je t’observe. Mes cheveux sont… Et bien, indéfinissables. Pourquoi ? Parce qu’il m’arrive très souvent de changer de coiffure, bien qu’en général je préfère rester dans les tons et les coupes simples. Le jour où tu me verras avec les cheveux vert fluorescent n’est pas encore arrivé. Je m'amuse souvent - inconsciemment, à passer sa main dedans pour les tirer en arrière sur le haut de ma tête, ça me détend, ça me donne un air sauvage et nonchalant et puis, de toute façon, c’est devenu un tic. Mon teint de peau est plutôt pâle, mais il faut dire que je ne fais rien contre, et cette pâleur contribue à accentuer les petites pochettes semblables à des cernes que je possède en dessous des yeux. Ni trop marquées, ni absentes, elles ne sont néanmoins pas disgracieuse et font partie de mon charme plutôt sombre. Charismatique, disons nous. Mon air noir, qui peut tout aussi bien attirer que dégoûter, n'est pourtant pas synonyme d'une méchanceté, puisque contrairement à ce qu'on peut croire, je ne suis pas méchante. Juste réaliste. Je ne suis... Ni plantureuse, ni « planche à pain », mais encore une fois c'est l'une des choses que je ne tiens pas vraiment en compte. Je suis plutôt mince, bien que mon alimentation ne diffère pas vraiment de celle des autres. J’ai l’avantage de ne jamais prendre un gramme quelque soit ce que je peux avaler.
Pour les fringues, je n'ai pas de style à part entière. Disons que le mien tire plus vers le rock-punk, même si je déteste mettre des étiquettes sur tout et faire des stéréotypes. Par habitude, j'achète des vêtements toujours une taille plus grande que la mienne, ce qui fait qu'on a l'impression que je nage un peu dedans. Des chaînes qui pendent, des fois, des badges partout, souvent... Et tout le temps un collier en cuir noir autour du cou, très serré. Je me maquille tout le temps de noir, pas du noir très foncé, mais plutôt qui donne un effet "ombre", bien que des fois j'opte pour du violet foncé ou du pourpre... En fait, même mon aspect physique montre à quel point je suis détachée de tout.
Caractère : « Cette nana là, il vaut mieux ne pas la fréquenter, elle est purement et simplement effrayante ! »
« Je me souviens qu’une fois, durant un cours d’histoire des arts, une fille de notre classe s’est évanouie et elle, elle a éclaté de rire… »
« Juka, tout le monde la connaît, c’est juste une folle-dingue »
Ah, les gens parlent et parlent, ils ne savent faire que ça, parler sans rien savoir. Bon, je dois quand même l’avouer, je suis loin d’être une fille facile à comprendre. Et peut-être bien que je suis timbrée, sans doute. C’était ce que tu voulais lire ? Il y a beaucoup de choses qui me définissent, ça pourrait partir du idiote et aller jusqu’au sensible, en passant par le sage et le dévergondée. Comment ça, ce n’est pas du tout la même chose ? Mais avec moi tout s’accorde, voyons. Regarde un peu.
Je ne suis pas méchante. Enfin, pas foncièrement méchante. Disons juste que je ne montre jamais ce que je pense réellement et que ce petit sourire au coin de la lèvre que tu vois constamment n’est pas là pour dire « hey, man, je me paye ta tête là ». Quoique, si, peut-être un peu. Ça dépend. C’est ça qui est le plus difficile avec moi, c’est de savoir quand je plaisante, et quand je ne plaisante pas. Tu peux croire que je suis toujours en train de cracher mon venin, ce qui n’est pas entièrement faux vu que je ne montre jamais ce que je pense, quand en fait à l’intérieur de ma petite tête c’est totalement autre chose qui se passe. Derrière cette attitude désinvolte se cache, malgré tout, une souffrance terrible et une maturité exemplaire. Je suis quelqu’un de très renfermée sur moi-même, d’insondable. Même mes yeux sont un rempart face à ce que je pense et ressens. Mais ne te méprends pas : ça ne veut pas dire que j’ai un cœur de pierre. Au contraire, je suis sûrement une des personnes les plus sensibles de ce vaste monde… J'ai juste appris que dans la vie il faut se démerder seul parce que les amis te trahissent tous un jour, et que même les personnes qui sont censés t'être les plus proches ne seront jamais là quand tu en auras vraiment besoin. Je n’ai aucun scrupule, aucun tabou ou autre chose du même genre, et tu peux être sûr que tu si es ma victime je n’éprouverais aucun remord. Je parle ouvertement de tout, ce qui peut mettre dans l’embarra certains. J'aime mettre quelqu'un mal à l'aise, j'aime qu'on ne me comprenne pas, j'aime qu'on me déteste, j'aime qu'on ai peur de moi car, comme ça, personne ne peut savoir qui je suis réellement. Et ça, c'est ce que j'aime par dessus tout. Être une véritable énigme. Le genre d'énigme qui, quand tu essayes de la comprendre, t'enferme dans son piège et te rend totalement perdu. J'ai de l'humour, ô que oui, j'en ai. Mais mon humour à moi est spécial. Tu ne vois pas ? Et bien, pour t'expliquer, je peux rire de choses qui te donneront plutôt envie de vomir, de pleurer et même de hurler. C'est ce qu'on appelle l'humour noir. Il est mauvais, méchant, terrible, cruel, tout ce que tu veux, et pourtant il existe bien et je l'adopte à 200%. Quand je prends la parole, c'est soit pour te balancer une réplique bien placée à la figure, soit pour faire une remarque déplacée. Il est, ma foi, bien rare que je dise quelque chose de sincère et de pensé. Pas que je sois une totalement imbécile, loin de là, mais encore une fois ce que je pense et ressens réellement, tout ça est enfoui bien profond à l'intérieur de moi.
En résumé, à première vu, je peux paraître insensible, folle, et détachée, c’est ce qui est le plus important à retenir, je crois. Et tu sais quoi ? Ça me plaît. Même si, force m'est d'admettre que quelques fois la solitude que je porte sur mes épaules depuis si longtemps me pèse...
Histoire :
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« My mouth is dry with words I cannot verbalize » 
« Mon père, je ne le connais pas, je ne l’ai jamais connu, et ça m’est égal. Je suis sûr que c’était un con. Tout ce que m’en a dit ma mère c’est qu’il était américain, et apparemment très connu dans son pays et surtout très riche. Ma mère, j’en ai rien à faire d’elle, ce n’est qu’une garce alcoolique. Elle vit des millions qu’elle a gagné avec le divorce entre elle et mon père, et je suis certaine que se mettre en cloque n’était qu’un alibi. Un moyen de pouvoir tout faire trancher de son coté, et le pire, c’est que ça a marché. Elle vit comme bon lui semble, d’hôtel en hôtel, de suite de luxe en suite de luxe, couchant avec le plus fortuné du coin, se mariant à droite à gauche et divorçant ensuite pour profiter un maximum de la vie et de ses plaisirs. C’est ça, pour profiter surtout de la naïveté des hommes et de leur fric moi je dis. Elle n’a jamais été foutue d’aimer et ce n’est pas aujourd’hui que ça va commencer. Je crois d’ailleurs que c’est d’elle que je tiens de ce coté là, même si je ne suis pas à un stade aussi avancé que le sien. Il m’est déjà arrivé de la retrouver complètement saoule sur le balcon d’une de ses suites alors que j’allais lui rendre visite, en peignoir et en sous-vêtements. A chaque fois que ça arrive, je me dis que la chose que j’ai devant moi n’est pas ma mère, que je n’ai jamais eu de mère et qu’aujourd’hui c’est moi contre le monde. Depuis quelques mois je ne vais plus la voir. Elle m’insupporte, me débecte. C’est vrai que grâce à elle je n’ai aucun problème d’argent, et j’en ai même bien plus qu’il ne le faudrait, sauf que moi l’argent je m’en tamponne. On n’a pas besoin d’être riche pour être heureux. On a besoin d’être aimé. Mais ça, il faut croire que c’est quelque chose que ma mère n’a jamais compris.
Il m’est souvent arrivé, dans ma jeunesse, alors que j’étais aux soins de ma mère et que celle-ci m’oubliait fréquemment dans les supermarchés, d’observer les familles que je voyais, des familles aimées et aimantes, avec un papa, une maman, et deux beaux enfants tout roses et en bonne santé. A chaque fois que j’en croisais, je me disais : « regarde, Juka, regarde, ça c’est ce que tu n’auras jamais ». Tu n’as pas idée de la souffrance que la vie m’apportait, chaque jour, tout le temps… A l’école, j’étais la risée parce que je n’avais pas de père, parce que j’étais étrange déjà et que ma mère arrivait souvent avec quelques grammes d’alcool en trop dans le sang et qu’elle ne marchait même plus droit. Une honte. Plus tard, durant l’adolescence, c’était pire, on me montrait du doigt parce que j’avais des moyens « volés », comme les gens disaient, et aussi parce que ma façon d’être effrayait trop les gens pour être appréciée. Je n’avais jamais vraiment eu d’ami, et ce n’est pas en cet instant que ça allait commencer. Je me souviens qu’en fin de lycée j’étais amoureuse d’un garçon plutôt beau, mais malheureusement pour moi c’était un crétin fini qui pensait plus au nombre de fille qu’il se ferait qu’à se poser véritablement. Je lui avais d’ailleurs avoué mon amour pour lui, et il m’avait rit au nez. Quel naze. C’est durant toute mon enfance et mon adolescence que je me suis forgé le caractère si impassible que j’ai aujourd’hui. Ne m’attrister de rien. Ne rien regretter. Ne rien envier. Ne rien vouloir. Ne rien attendre. On dit que l’espoir fait vivre, moi je dirais plutôt qu’il tue à petit feu.
Et pourtant, pourtant, quelque chose me maintient sur le droit chemin. Quelque chose m’aide à tenir, comme un pilier. C’est ma passion pour l’Art. J’aime toutes sortes d’arts, que ce soit la peinture, le dessin, la musique, la couture, l’écriture, la photographie… Je touche à tout. Mais mes points forts résident quand même dans la musique et le chant, grâce à la voix spéciale qui m’a été donné, seul cadeau du ciel que j’ai eu depuis toujours. Comme je maîtrise assez bien la guitare et le piano, il m’arrive de me produire dans les petits bars de Tokyo, pour me faire un peu d’argent. Oui, car depuis que je suis majeure j’évite de vivre avec l’argent sale de ma mère, je ne veux pas lui être dépendante. Ma liberté est ce que j’ai de plus précieux maintenant. Et c’est quelque chose qu’elle ne pourra pas m’enlever. Bref, je peux donc dire que je suis une artiste, et c’est pourquoi j’ai décidé il y a deux ans de commencer des études d’arts. Je suis arrivé aux portes de l’école avec pour unique bagage ma guitare, un paquet de cigarette et une détermination de fer. Cela faisait un an que je ne vivais plus sous la tutelle de ma mère, j’avais fugué peu avant mes 18 ans pour prendre mon envol. Je n’avais pas peur de la police. De toute façon, j’étais certaine que ma mère ne me chercherait pas. Qu’est-ce que ça pouvait bien lui faire que je ne sois plus sous son toit – si on peut parler d’un toit, alors que depuis ma naissance elle ne m’avait jamais vraiment accordé d’attention particulière ?
Ainsi, j’ai commencé à apprendre tout ce que je pouvais dans le domaine qui constituait le plus grand de ma vie, et j’en suis là aujourd’hui. J'étais très bonne en anglais au lycée, c'est une langue que j'ai toujours beaucoup aimé, ce qui fait qu'aujourd'hui je prends des cours particuliers pour le parfaire bien que je le parle déjà couramment. Je n’ai toujours pas vraiment d’amis, je n’ai pas de copain non plus – plutôt rêver, mes relations se font en général au lit, et je n’ai aucune idée de ce qu’est devenue ma mère. J’évite tous ses appels – quand il y en a, et je ne prends pas non plus de nouvelles d’elle. Qu'elle meurt, ça m’est égal.
Mon ambition, dans la vie ? Vivre, ce serait déjà pas mal. » III - Interpersonnel
Relations : Moi et les autres ? Rien que cette phrase en elle-même est étrange. Peu me supportent, à vrai dire. Peut-être aucun, d'ailleurs. En général, on me connaît par réputation, mais pas plus que ça. Je pense que tu vois parfaitement ce que je veux dire quand je dis que les gens ont trop souvent tendance à prêter attention aux "on dit". Bien qu'avec moi, je dois l'avouer, les "on dit" fonctionnent, normalement. Je n'ai pas de petit-ami, oh non non, l'amour j'ignore totalement ce que c'est. L'amour réciproque, véritable, je ne l'ai jamais connu. Moi, je suis plutôt pour les relations d'un soir... J'aime coucher avec des hommes, je le dis haut et fort et je ne m'en cache pas. De toute façon, c'est tout ce qu'ils peuvent apporter de bien, donc autant en profiter.
Je n'ai pas d'ami ni quoique ce soit qui s'en apparente, enfin je pense, même si je parle plus à certaines personnes qu'à d'autre (après ce sera selon les relations que je fonderais avec les autres membres). De toute façon, les gens ont peur de moi, ils me fuient tous, c'est assez comique. En tout cas, ce qui est sûr, c'est que des relations j'en ai, et même des très étranges. J'adore quand c'est compliqué, ça donne du piment aux choses. IV - Le RPGiste
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Dernière édition par Juka Namida le Mar 3 Nov - 15:45, édité 28 fois | |
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