Mon dieu, mais tais-toi. [PV Junpei Mayuko. ]

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Kumiko marchait les poings serrés. Mais pour qui elle se prenait celle-là? C'est pas possible. Elle soupira. Oui, Kumilo était un peu (beaucoup) énervée. Rien de grave, juste sa mère. Elle avait prétexté qu'elle ne travaillait pas encore assez et qu'il fallait qu'elle s'y mette. Et que son comportement change et vite. La jeune fille marchait aléatoirement ne sachant pas réellement ce qu'elle allait faire. Les magasins peut-être? Ça détend. La jeune fille prit donc la direction Shibuya. Elle marchait sans se rendre compte d'où elle allait réellement. Toujours aussi furax.
Elle ne comprenait pas pourquoi sa mère était aussi dur avec elle. Elle l'avait déjà envoyé loin de tous ses amis dans un pays étranger qu'elle ne connaissait pas plus que ça, dans une famille qu'elle n'avait pas vu temps de fois que ça.
Elle l'avait coupé de tout ceux qu'elle aimait. De son école et de ses petites habitudes., de sa popularité tout ça pour des prétextes bidons. Du moins, c'est ce que pensait la jeune fille. Elle rebelle. Bon d'accord, elle avait un don assez hors du commun pour s'attirer des problèmes dès qu'elle se trouvait hors de chez elle. Mais ce n'était pas tellement de sa faute. Ce n'est pas une raison pour l'envoyer à l'autre bout de la terre.
Et puis, ça faisait bien longtemps qu'elle était là. Elle ne lui manquait pas? Il faut croire que non. Même à des centaines de kilomètres de chez elle. Un pensionnat n'aurait-il pas suffit. Et que pendant quelques semaines.

La jeune fille était perdue dans ses pensées. Sans vraiment s'en rendre compte elle se retrouva dans un endroit qu'elle ne connaissait pas. D'ailleurs, elle ne connaissait pas grand chose ici.

Kusso. J'suis où?

Kumiko regarda autour d'elle, cet endroit était bizarre. Il n'y avait rien mis à part des immeubles et des immenses poubelles. La jeune nippone tourna sur elle même. Qu'est-ce qu'elle faisait là? Comment avait-elle fait pour attérir dans un endroit pareil? Tout ça c'était à cause de sa mère. Si elle avait arrêté de la critiquer quoi qu'elle fasse, elle ne se serait pas perdue comme ça. Pourquoi est-ce que cette histoire la mettait dans un tel état. Elle avait l'habitude maintenant, iie? Il faut croire que non.
Ce désintérêt total de sa mère la rendait plus triste qu'il n'y parait. Pourquoi fallait-il qu'elle la critique tout le temps? Nouveau soupir.

Une nouvelle fois, elle regarda autour d'elle. Où pouvait-elle bien se trouver encore? C'est pas possible, elle avait vraiment le don de se mettre dans des situations pas possible. Que pouvait-elle bien faire maintenant. Si elle essayait de revenir en arrière. Oui, pourquoi pas.
Sur ceux elle fit demi-tour et partit... Dans la mauvaise direction >___< Et sans s'en rendre compte. (Baka.)

Elle erra comme ça pendant de longues minutes, puis pendant une heure. Ne sachant pas où elle se trouvait, la jeune nippone commença a devenir alarmée. Les gens lui paraissaient de moins en moins net. Et la peur prit le dessus. Elle sortit son portable. Mais qu'est-ce qu'elle faisait? Si elle appelait quelqu'un, sa mère allait encore la rabaisser. Sa respiration s'accéléra soudain. Que se passait-il? Elle ne savait même plus par où elle était arrivée. Il n'y avait rien ici, à part des immeubles. Elle ne savait plus quoi faire. Tout d'un coup, les larmes lui montèrent aux yeux. Elle sortit son portable malgré tout.

Bip... Bip... Bip...
" Alo, Junpei.. Je ne sais pas où je suis. "Dit la jeune fille en éclatant en sanglots.
"Je t'en supplie, n'en parle pas à ma mère... Je... Je voulais aller faire les magasins pour me détendre. Et ... Je n'arrive pas à retrouver mon chemin... Gomen ne. Je suis trop bête."

Kumiko pleurait pour de bon. Sa mère avait raison ce n'était qu'une bonne à rien.

Pour une fois, Junpei pouvait étudier tranquillement. Pas de Keiji pour le ralentir, pas de Naoki pour lui poser des questions, pas de Miho pour le distraire aussi fourbement que possible. À son bureau, de la musique en fond sonore pour se couper totalement du monde, lunettes sur le nez, ordinateur ouvert et pile de bouquins jusqu’à côté… notre ténébreux master étudiant était en action depuis déjà une bonne heure.

D’accord, il y avait bien eu Miho qui lui avait téléphoné pour essayer de l’appâter chez-elle, mais il avait été fort! Pour une fois… Oui il avait su résister, lui disant qu’il avait à faire. Et pour cause, elle était toujours la raison du retard qu’il accumulait doucement, alors s’il voulait se permettre encore un peu de retard, il devait plancher quelques heures pour se mettre à jour, voir peut-être s’avancer un peu. Le point positif d’être un surdoué dans son genre était justement de pouvoir se permettre quelques écarts de temps à autres, ne? =p

Bref, ne parlons plus de ceci, un Peipei le nez plongé dans ses livres n’était pas très intéressant. Avec sa mine concentrée, son petit pli qui lui barrait le front, son air absent du reste du monde et cette fâcheuse tendance à marmonner et se parler tout seul… rien de bien exceptionnel, rien qui valait réellement la peine de s’y attarder.

Son téléphone portable vint alors troubler sa concentration et sa séance de travail. Ronchonnant un peu devant ce dérangement, Junpei quitta tout de même ce qu’il était en train de faire, se levant pour aller à la table de chevet près de son lit pour y prendre son portable sur le chargeur. Un rapide coup d’œil à l’afficheur lui appris qu’il s’agissait de Kumiko. Pourquoi lui téléphoner? Si elle avait quelque chose à lui dire il lui suffisait d’attendre d’être de retourne à la maison, ne?

Oui en théorie, à moins que ce ne soit très important. Cette pensée mit fortement la puce à l’oreille du ténébreux qui décrocha sans plus attendre.

-Moshi moshi?

Kumiko ne savait pas où elle se trouvait? Elle semblait alarmée du moins et ne voulait surtout pas que sa mère ne l’apprenne. Se mordillant la lèvre inférieure, Junpei se mit à réfléchir à toute allure. Kumiko perdue dans Tokyo et il fallait se la jouée discret… oui, il voulait bien la couvrir, du moins pour cette fois, il mettrait les choses au clair plus tard de toute façon. Le plus important pour le moment était de la calmer, trouver où elle se trouvait et la rejoindre.

-Respire Kumi-chan, ce n’est pas la fin du monde, ne?

Se disant, le jeune homme retourna à son bureau de travail, repoussant ses livres d’une main avant de mettre son ordinateur portable devant lui et de s’asseoir.

-Tu vas commencer par regarder autour de toi, trouver un commerce, un nom de rue, quelque chose pour que je puisse savoir où tu es.

Le tout dit d’une voix très calme et neutre. Inutile de paniquer pour si peu, du moins à son avis. Mais il n’était peut-être pas très bien placé pour parler. Il avait vécu dans cette ville toute sa vie, pas comme Kumiko qui n’était pas là depuis si longtemps que ça…

Invité

La jeune fille téléphone en main se laissa glisser le long d'un murs. Entre deux poubelles aussi grandes qu'elle. Elle se retrouver dans un quartier de Tokyo dont elle ne connaissait ni le nom ni quoi que se soit d'autre. La seule et unique chose qu'elle pouvait dire, c'est qu'elle avait sacrément peur.
Elle ne savait ni d'où elle venait, ni comment repartir d'ici.

* Baka, Baka, Baka *

Voilà les trois mots qu'elle avait envie de hurler. Comment pouvait-on être aussi stupide. Elle savait bien qu'elle ne connaissait pas assez bien cette ville pour marcher sans savoir où aller exactement.
La nippone avait envie de se taper la tête contre le mulrs tellement elle se sentait stupide. Mais Jinpei était la première personne à qui elle avait pensé. Malgré le risque que ça revienne aux oreilles de sa mère. Sa mère... Rien que d'y penser une bouffé de rage monta sur les joue de la jeune fille.
Déjà qu'elle pleurait. Dans cette état, elle n'était pas belle à voir. Mais ne se préoccupant pas du tout de son apparence, elle essaya de se calmer. Mais rien à faire.
Ses lèvres trembler et sa respiration était saccadée. La crise d'angoisse la guettait.

-Respire Kumi-chan, ce n’est pas la fin du monde, ne?

La fin du monde? Iie pas tout à fait, mais si sa mère l'apprenait. Non il ne fallait pas qu'elle pense à ça. Surtout pas...

Iie, eto... Si ma mère l'apprend..

Kumiko essaya de reprendre son souffle. Peine perdue. Elle pensait déjà aux concéquences que ce malheureux événements aurait... Sa mère l'enverrait en Alaska, ou ... Dans un pays froid avec des pingouins et des ours. Et Kumiko avait une peur bleu des ours.

-Tu vas commencer par regarder autour de toi, trouver un commerce, un nom de rue, quelque chose pour que je puisse savoir où tu es.

Autours d'elle. Deux poubelles, des gens plutôt étrange. Quand aux magasins, jamais elle ne rentrerait là dedans... Elle avait l'horrible impression d'être dans un films d'horreur, quand l'héroïne se retrouve coincé dans la ruelle par son agresseur.
Kumiko secoua la tête. Il fallait qu'elle se sorte ses pensés de la tête. Se relevant avec peine, elle marcha un peu et vit un bar miteux et tellement crasseux qu'on ne voyait rien, ni l'enseigne, ni a travers les vitre.
Non, elle ne pouvait se résoudre à rentrer là dedans.

Je suis entouré de ... Des poubelles. Et il y a un bar bizarre... C'est tout ce que je vois... Gomen neee...

Se retenant du mieux qu'elle pouvait pour ne pas fondre en larme une nouvelle fois. La jeune nippone se mordit les lèvres. Comment avait-elle fait pour atterrir dans un endroit pareil?

-Calme-toi s’il te plait, je vais pas appeler en Angleterre pour dire à ta mère que tu t’es perdue, voyons.

Toujours aussi calme et imperturbable. Junpei, maître de la situation! Heureusement qu’il savait faire preuve de ce calme lorsque les gens lui demandaient de l’aide. Parce que lorsque les choses lui arrivaient à lui, il fallait bien admettre que le ténébreux avait tendance à être encore pire que Kumiko >.> Les fins du monde, ça pouvait se produire de tant de façons avec Mayuko Junpei!
Bref, revenons-en plutôt à Kumiko qui était perdue quelque part en ville et qui ne donnait aucun indice valable à Junpei pour qu’il puisse reconnaître l’endroit où elle se trouvait. Il ne connaissait pas non plus toute la ville par cœur hélas, bien qu’il pouvait s’y repérer très facilement.

Est-ce que kakkoii Peipei rendait les armes? Ahah! C’était très mal connaître l’élève numéro un continuel de Sakurai durant trois ans!

-Bon, dans ce cas, tu vas prendre une photo avec ton portable et me l’envoyer.

Ah Jun, il n’y avait que toi pour être aussi génial!
*O*
Ahem oui bon, dans certains cas, parce que si c’était Miho qui t’appellerait pour te dire qu’elle est perdu, tu aurais déjà contacté l’armée en parlant de kidnapping au lieu d’un égarement, probablement >.>
Eeeeeh? Même pas vrai d’abord è__é
Ah ouais, tu veux parier?
>.>

Attendant donc patiemment que Kumiko lui envoie cette photo, lorsqu’il la reçu, le jeune homme grimaça légèrement. Ce n’était pas le meilleur endroit pour se perdre. Oui genre, il y avait de meilleurs endroits que d’autres pour se perdre >.> Bien sûr que non! Mais bon, ça, c’était un coin plutôt mal fréquenté et Kumiko faisait très tâche dans le décor, elle ne tarderait pas à attirer l’attention et Junpei n’avait pas spécialement envie de miser sur ce qui pouvait arriver.
Enlevant ses lunettes qu’il avait toujours sur le nez, Junpei les posa sur son bureau, se levant de sa chaise. Il quitta la pièce tout en rappelant Kumiko. Bien qu’il soit un poil plus inquiet pour elle maintenant, il demeurait toujours calme lorsqu’il s’adressait à elle. Mieux valait lui éviter la panique, ça ne serait que pire.

-Je sais à peu près où tu es Kumi-chan, je vais venir te chercher, d’accord?

Ce n’était pas vraiment une question en soit puisqu’il était déjà pratiquement sur son vélo. Le chauffeur était déjà parti avec sa mère et sa sœur, Junpei n’avait plus que cette ressource pour aller vite. Vivement ses vingt ans et son permis de conduire è__é
Patience beau brun, plus que quatre mois à attendre pour ça! *o*
Bref, il enfourcha son vélo et se mit en route, restant en ligne avec Kumiko quand même.

-Ça va prendre un peu temps, mais je reste avec toi au téléphone, tu n’as qu’à me parler de n’importe quoi.

Vingt minutes au téléphone? Tu vas défoncer ton forfait mon vieux x_x
Nous le savons, mais avait-on un autre choix? Puis hey, il pouvait franchement ce le permettre, radin va >.>

Invité

C'est vrai après tout, qu'avait-elle crut? Pourquoi aurait-il appeler sa mère. Mais elle était tellement obsédée par ça qu'elle ne pensait à rien d'autre. Le film d'horreur avait décidé de jouer les prolongation on dirait. Respirant un grand coup elle se tenait droite se concentrant du mieux qu'elle pouvait sur les paroles de Junpei.
Regardant de gauche à droite, Kumiko eu soudain l'envie de partir en courant. Qu'est-ce qu'elle faisait dans un endroit pareil?! Elle avait toujours cru que l'impression d'entendre son sang battre dans ses tempes ne pouvait se passer que dans les films. Mais finalement non. Dans la réalité aussi il pouvait se passer ce genre de chose. Tout n'était pas qu'effets spéciaux.
Elle avait sans aucun doute regarder beaucoup trop de films d'horreur. Tout en s'imaginant des choses plus horribles les unes que les autres la jeune fille raccrocha son téléphone.

Prendre une photo? Après tout c'était une bonne idée. Mettant son téléphone en face d'elle Kumiko appuya sur le déclencheur et envoya son chef-d'oeuvre à Junpei. Elle n'eut pas a attendre bien longtemps, son portable vibré déjà dans ses mains.
Il savait donc où elle se trouvait. Une chance, car elle, elle n'en avait pas la moindre idée. De plus elle commençait sérieusement à se poser des questions sur les personnes qui fréquenter cette endroit. Certes, ils étaient très peut, mais.. Il n'était pas normal, du moins pour elle. Pourquoi avait-il fallut qu'elle regarde autant de films? Essayant de se sortir de la tête les images de zombies et de Jack l'éventreur du crâne, la jeune fille secoua la tête.
Elle réfléchie, elle ne devait pas être si loin que ça, après tout elle n'avait pas mis des heures à atterrir ici. Plus que quelques minutes et elle serait bientôt sortit de se cauchemar.

-Ça va prendre un peu temps, mais je reste avec toi au téléphone, tu n’as qu’à me parler de n’importe quoi.

Tout le château de sable s'écroula... Pourquoi fallait-il que ça prenne du temps... Plus les minute passaient et plus son imagination divagué. Manquerait plus qu'il face nuit...
Sa respiration s'accéléra de nouveau. Elle ne voulait pas passer une minute de plus dans cet endroit. Mais de toute façon elle n'avait pas tellement le choix.

Je, je ne sais pas quoi te dire, sauf... Que là, y'a des gens bizarre qui me regarde...

Elle jeta un regard affolait un peu partout. Aucunes issus de secours. Si quelqu'un décidait de l'attaquai au couteau, ou à la tronçonneuse, elle ne pouvait rien faire d'autre que crier. Son imagination lui joua des tours de plus belle.
Il fallait qu'elle relativise. Qu'elle RE LA TI VI SE. Ça pourrait être pire, elle pourrait être dans une maison hanté.

-La bizarrerie, c’est très relatif Kumi-chan. Tu vois moi, je suis pas si étrange que ça et pourtant on me regarde toujours avec des gros yeux quand j’affirme être une nullité culinaire. Comme si c’était invraisemblable que je n’arrive pas à faire du riz convenablement juste parce que j’ai des A+++ dans toutes les matières

Il venait réellement de dire cette bêtise? Eh bha oui. Il préférait tenter de la faire rire un peu que de lui dire de se planquer dans une poubelle pour ne pas se faire remarquer. D’abord parce que rire c’était moins paniquant, ensuite parce que ce n’était pas subtile d’aller se planquer dans une poubelle, que ce n’était pas très hygiénique et en plus… si elle était cachée dans une poubelle, il la retrouverait comment?

Et quoi de mieux que la fameuse malédiction des cuisines pour détendre un peu Kumiko? Il fallait dire que Junpei, si habile dans tout, qui ne peut pas se servir du jus d’orange sans déclancher une catastrophe, c’était plutôt risible, ne? Mais ainsi va la vie. Peipei devenait un empoté profond lorsqu’il se trouvait dans cet endroit maudit qu’était la cuisine, on ne pouvait rien y faire sinon l’accepté et vivre avec.
Ah Peipei, kakkoii *O*
^O^

S’en suivit donc un long blabla inutile et stupide made in Junpei pour distraire l’esprit de Kumiko de la panique qui était en train de la rendre dingue. Heureusement, Jun était aussi un bon orateur, ce qui lui permettait de ne pas être à court de sujets de conversation et de ne pas emplir son blabla de « eto… » à n’en plus finir. Il aborda un peu tout et n’importe quoi. Parlant de ce qu’il avait mangé au petit déjeuné, en passant par la dernière création de sa mère, abordant même le dernier délire du duo Junpei/Masao.

Bref, le vingt minutes ne s’écoula pas trop lentement ainsi, du moins pour Junpei. Heureusement qu’il était en grande forme physique! Ça lui permettait de pédaler et taper la causette en même temps. Finalement, il arriva dans le secteur où se trouvait sans aucun doute Kumiko. Il ralentit donc sa vitesse pour se permettre d’observer les gens avec un peu plus d’attention. On le regardait un peu comme une bête de foire, mais Junpei n’était pas facilement impressionnable, alors ça ne le dérangea pas plus que ça.

-Bon, je crois que j’y suis Kumi-chan. Si tu vois un taré à vélo, c’est sûrement moi.

Elle ne devrait pourtant pas être bien dure à repérer dans ce secteur. Comme lui, elle détonnait atrocement avec les gens du coin.

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